1 Cf. partie « L’indemnité du tribunal ».
2 G. Thür et H. Taeuber, Prozessrechtliche Inschriften, 1994, no 17, l. 63-66.
3 Chiron, 29, 1999, 267-268, l. 14-20.
4 Dernière édition par C. V. Crowther dans Chiron, 29, 1999, p. 257-266 qui modifie très peu le texte présenté par M. Holleaux et L. Robert in M. Holleaux, Études III, p. 27-37.
5 ABSA, 1945, p. 45-46.
6 Delphinion 152.
7 SEG I, 132.
8 Chiron, 29, 1999, 273-274, l. 12-16.
9 Les Hautes terres de Carie, p. 139-144, no 36.
10 Chiron, 29, 1999, 308-309, l. 10-13.
11 I. Ephesos Ia, no 8.
12 I. Adramytteion, no 36.
13 par exemple dans la loi des astynomoi de Pergame, dans les décrets pour Archippè de Kymè, EA, 2, 1983, p. 6, l. 116.
14 Col. I, l. 2-14.
15 Col. II, l. 59-65.
16 Col. II, l. 67-72.
17 Col. IV, l. 217-221.
18 Col. II, l. 59-65.
19 Ainsi dans le décret sur les nouveaux propriétaires dans l’île de Kéos, à Poiêessa, IG XII, 5, no 570.
20 IG XII, VI, 1, no 11, l. 57-59.
21 L. 3-10.
22 I. Mylasa I, 141.
23 I. Mylasa I, 101 et 127.
24 I. Mylasa I, 101.
25 P. Gauthier, Nouvelles inscriptions de Sardes II, 1989, no 4, l. 5-10.
26 I. Erythrai 20 et EA, 9, 1987, 143, no 10.
27 I. Erythrai 122.
28 I. Erythrai 121.
29 I. Mylasa I, 634, 632 et 635.
30 Chiron, 29, 1999, 284-286.
31 Chiron, 29, 1999, 293-294.
32 IG VII, 21.
33 IG VII, 20.
34 I. Iasos 80.
35 TC 61.
36 Pour les familles de juges dans les inscriptions de Cos, cf. C. Crowther, Chiron, 29, 1999, p. 251-319. Le décret de proxénie pour lequel Φίλιστος ’Aρεταφά[νευς] a fait la proposition, a été publié par M. Segre (ED 226). La reconstitution du nom est due à C. Habicht (« Beiträge zu koischen Inschriften », Chiron, 30, 2000, p. 292-293 et p. 306-307).
37 Il est honoré dans le décret I. Erythrai 122. Cf. L. Robert, BCH, 1933, p. 481 et Revue Numismatique 1936, p. 271 pour la datation approximative.
38 Gonnoi II, 77 et IG IX, 2, 507.
39 I. Priene 61 et I. Magnesia 53, l. 17.
40 I. Priene 187.
41 I. Erythrai II, 506, l. 13-14.
42 SEG 12, 390, l. 2-5.
43 Chiron, 29, 1999, p. 257-266.
44 Par exemple I. Priene 60, l. 5-6.
45 Les Hautes terres de Carie, p. 139-144, no 36, l. 9-11.
46 L. Robert, Le Sanctuaire de Sinuri près de Mylasa, 1945, no 11, p. 35-40.
47 Delphinion 153 et IG IX, 2, 508.
48 I. Priene 53 et 59.
49 I. Mylasa 633, 634, 635.
50 I. Priene 121.
51 IG XII, 5, 305.
52 plutôt que Μυλασέσιν δικάσ[αι μο]ι des premiers éditeurs avec l’enclitique maladroit à la césure, R. Merkelbach a restitué Μυλασέσιν δικάσ[εν κα]ὶ (ZPE, 23, 1976, p. 235).
53 I. Iasos 82 et TC 61.
54 Datés de l’époque hellénistique, certainement du IIe siècle av. J.-C., ces deux pinakia retrouvés à Rhodes dans les tombes de leurs propriétaires ont été bien décrits par P. M. Fraser, « Notes on two Rhodian Institutions », ABSA, 67, 1972, p. 119-120. Ils sont notés a (ADelt XXV) et b (ADelt XXVI) dans la publication.
55 Belleten Türk tarik kurumu, 1957, p. 395-427, noiv et cf. Bull. ép. 1959, 252.
56 IG IX, 2, no 1230.
57 N. S. Valmin, Inscriptions de la Messénie, p. 16-30 et pl. xviii, l. 11-14.
58 IG V, 1, 48.
59 IG XII, VI, 1, no 11, l. 51.
60 I. Mylasa I, 101, l. 39-40.
61 I. Tralleis, no 29, l. 4-5.
62 TC 61.
63 JAC, 8, 1993, 40-77.
64 Le terme de dikastagôgue n’est pas exclusivement réservé pour nommer celui qui accompagne les juges étrangers. Il est également employé pour les délégués qui accompagnent les arbitres étrangers dans les conflits entre deux cités. Ainsi dans l’arbitrage entre Boumélita et Halai, les deux cités envoient des dikastagôgues pour mener sur les lieux les arbitres (FD III, 1, no 362, l. 9 ; 25 ; 37). Cette démarche est appelée τὴν δικασταγωγίαν, l. 28.
65 Cf. A. Wilhelm, « Griechische Inschriften rechtlichen Inhalts. XIII. Zu einem Eide von δικασταγωγοί », Pragm. Ak. Athenon 1951, 17 (1), p. 47-48.
66 Chiron, 28, 1998, p. 87-99.
67 I. Erythrai 122, l. 12-15.
68 Delphinion 152.
69 I. Smyrna II, 1, no 579 et no 581.
70 I. Assos 8, l. 5-6.
71 I. Mylasa I, 101.
72 I. Mylasa I, no 134.
73 I. Mylasa I, no 132.
74 TC 16, 31 et 61.
75 Par exemple I. Mylasa I, no 132 ; L. Robert, Le Sanctuaire de Sinuri, 1945, no 11, l. 14 ; I. Tralleis 24, l. 22.
76 I. Mylasa, I, no 134.
77 I. Mylasa, II, no 816 B, no 803.
78 Les témoignages sont réunis par L. Robert dans Mélanges René Dussaud, 1939, II, p. 731-733 et dans Documents d’Asie Mineure méridionale. Inscriptions, monnaies et géographie, 1966, p. 25-29.
79 À Halicarnasse (C. Michel, Recueil, no 1196), à Himère (IG XIV, no 312), à Thasos (BCH, 1928, no 8).
80 BCH, LII, 1928, p. 434.
81 BCH, LVII, 1933, p. 410 et LII, 1928, p. 57-58.
82 BCH, LXVIII-LXIX, 1944-45, p. 159-161, nos 3 et 4.
83 Cf. G. Thériault, « L’apparition du culte d’Homonoia », Les Études classiques, 64, 1996, p. 127-150. Les sources épigraphiques sont difficiles à dater et brèves d’où l’intérêt du texte de Cos sur le règlement de la prêtrise d’Homonoia, publié par D. Bosnakis et K. Hallof, Chiron, 35, 2005, p. 220-222.
84 Cf. R. Étienne et M. Piérart, BCH, 99, 1975, p. 51-75.
85 G. Thériault, Le culte d’Homonoia dans les cités grecques, 1996.
86 M. Segre, EV 2.
87 Sur le culte d’Homonoia à Cos et Calymna, cf. D. Bosnakis et K. Hallof, Chiron, 35, 2005, p. 240-245.
88 Chiron, 29, 1999, p. 285, l. 14.
89 I. Smyrna 579 et 580 ; I. Erythrai 506.
90 I. Magnesia 90 et A. Cassayre, Recueil d’inscriptions juridiques grecques, no 33.
91 Ath. Pol. 51, 3.
92 « Marché et prix à Délos : charbon, bois, porcs, huile et grains », Approches de l’économie hellénistique, Entretiens d’archéologie et d’histoire Saint-Bertrand-de-Comminges, no 7, p. 323-324.
93 Le livre v de l’éthique à Nicomaque expose une analyse de la justice ; plus particulièrement sur la justice distributive ou médiété proportionnelle, les chapitres 6 et 7, sur la justice comme réciprocité et la possibilité de l’équité, chapitres 8-10 et 14.
94 Sur le cas particulier de l’Égypte et les différences selon les tribunaux, cf. R. Taubenschlag, « L’autorité de la chose jugée dans le droit gréco-égyptien », AHDO, III, 1948, p. 299-306 (= OM II, p. 703-711). À partir des sources papyrologiques essentiellement, également E. Berneker, « Das wiederholte Prozessieren in den antiken Rechten », JJP, 1950, IV, p. 253-264. Allusion aux sources de Grèce continentale p. 258 et 261-262.
95 XX, 147.
96 τέχνη ῥητορικὴ (Wale. Rhet. Gr. III, 18).
97 E. Sonne, De arbitris externis, 1888, p. 104-118 (Excursus IV) a répondu par la négative. H. F. Hitzig, Staatsverträge, p. 63-65, ne se prononçait pas.
98 H. H. Schmitt, Staatsverträge III, 1969, p. 345, B. Helly, BCH, 95, 1971, p. 558 note 63. P. Herrmann fait le résumé de ces avis, Ist. Mitt. 29, 1979, p. 266-268. à l’opposé, A. Steinwenter, Die Streitbeendigung durch Urteil, Schiedsspruch und Vergleich, 1925, p. 151-170 et E. Sonne, op. cit.
99 Symbola, 1972, p. 308-338.
100 Par exemple S. Dusanic, BCH, 102, 1978, p. 345-347. La démonstration de P. Gauthier est contestée sur certains points par S. Cataldi, « Atene Polis ekkletos Ἐφέσιμοι ed ἔκκλητοι δίκαι », ASNP, IX (1), 1979, p. 1-37. L’article revient sur le décret athénien pour Chalcis, IG I2, 39. Il ne semble pas s’agir de la question stricte de l’appel devant des tribunaux de même compétence juridique et le contexte de l’empire athénien fausse la problématique.
101 Les économiques, II, 1348, b, traduit par J. Tricot, réédition de 1993, quatrième tirage, éditions Vrin.
102 Traité entre Delphes et Pellana, 1917.
103 Traité entre Delphes et Pellana, 1917, p. 13-16 ; p. 17-18 ; p. 42-44 ; et surtout p. 67-91.
104 Fragment no IA (944+ 1590).
105 Traité entre Delphes et Pellana, p. 17.
106 P. 70.
107 P. 76.
108 P. 79.
109 Fragment II B, l. 5-6.
110 P. 80.
111 P. 328-338.
112 Rev. Phil. 1937, LXIII, p. 337-347.
113 P. 339.
114 Ist. Mitt. 29, 1979, p. 249-271 et A. Cassayre, op. cit., no 27.
115 I. Pergamon I, 1890, no 245.
116 BCH, 95, 1971, p. 555-559 et commentaire de J. et L. Robert, Bull. ép. 1960, 194 et 1969, 237.
117 P. 559, note 63.