Table des matières
Christophe Juhel
Avant-proposAymat Catafau
Une forme urbanistique originale : les mas de la ville intra-muros (Perpignan, XIIIe-XVe siècle)- 1. Nombre et localisation des mas urbains
- Paroisse Saint-Jean, quatorze mas :
- Paroisse la Real, huit mas :
- Paroisse Saint-Jacques, six mas :
- Paroisse Saint-Mathieu, trois mas :
- Mas non localisés, quatre :
- Mas, coronells et colomines
- 2. Description et typologie des mas urbains
- Le mas : une grande propriété, comprenant plusieurs maisons
- Le mas, description : la ruelle et placette, l’entrée, le passage au-dessus de la ruelle, le puits
- Les voisins du mas
- Les nuisances dans les mas, raisons de l’action publique
- Le mas et ses noms : des désignations différentes selon les origines, petite typologie
- 3. Origines et devenirs des mas urbains
- Le lotissement de la colomina d’en Comte de Salses : des mas aux coronells
- Les mas transformés pour construire les pareries (parairies)
- Vers la disparition des mas : les grands hôtels particuliers des XVIe-XVIIIe siècles
Christophe Juhel
Les réalisations d’urbanisme à Perpignan au XVIIIe siècle- I. Des réalisations concrètes d’une ampleur croissante
- A. Des améliorations longtemps éparses et ponctuelles…
- 1. Les questions de voirie ordinaire
- 2. Les aménagements de biens privés
- a. Les alignements
- b. Détruire ou réparer les constructions menaçant ruine
- B. Des réalisations d’envergure assez tardives
- 1. Le percement de la rue de la nouvelle intendance
- 2. L’élargissement de la rue Notre Dame
- II. Un cadre juridique et financier à définir
- A. Des difficultés juridiques multiples à surmonter
- 1. Les conflits de compétence
- 2. Quelles méthodes employer ?
- B. Un urbanisme miné par les questions financières
- 1. Les dépenses à financer
- 2. Quel moyen de financement ?
- a. L’impariage, une ressource limitée
- b. Les emprunts réalisés auprès de particuliers
- c. La mise à contribution des riverains
- Conclusion
Didier Baisset
Les Te Deum dans les villes du Roussillon aux XVIIe et XVIIIe siècles ou l’usage politique d’un rituel monarchiqueJean-Luc Laffont
Le pavé des rues toulousaines sous l’Ancien Régime (XVIe-XVIIIe siècle)- I. Les cadres institutionnels de la « police du pavé », composante de la police de la voirie
- A. La juridiction en fait de police de la voirie
- B. L’exercice de la police de la voirie
- II. La question du pavé au XVIIe siècle
- A. La question des pavés, du milieu des années 1640 à la fin des années 1680
- B. La question des pavés, de la fin des années 1680 aux années 1710
- III. La question du pavé durant le XVIIIe siècle
- A. La question du pavement des rues toulousaines durant la première moitié du XVIIIe siècle
- B. La question du pavé à l’heure de l’embellissement de la ville
Jahiel Ruffier-Méray
Les cimetières de l’aire toulonnaise au XIXe siècleFaire cohabiter les vivants et les morts
- I. Cimetières et gestion de la ville : où domicilier les morts ?
- A. Une cohabitation délicate
- 1. Une douloureuse prise de conscience
- 2. Le décret du 23 prairial an XII
- B. La redomiciliation des défunts : la création de nouveaux cimetières dans l’aire toulonnaise
- 1. La création du cimetière Sainte-Anne : le bras de fer avec l’Armée
- 2. La création du cimetière de Hyères : nuisances et hygiène
- II. Cimetières et respect dû aux défunts : entre science et croyances
- A. Éternité de la mort, fragilité de la vie
- 1. Exhumation et réinhumation
- 2. La salle d’autopsie
- B. La délicate alchimie entre vivants et disparus
- 1. Les vivants au service du respect des morts : le personnel du cimetière
- 2. Des désordres qui font désordre