Table des matières

• I.a. D’une production féodale à une production communale ?
• I.b. Terres seigneuriales, terres d’église et terres privées
• I.b.1. La disparition de la vigne
• I.b.2 Du XIV^e au XVI^e siècle, passage d’un modèle féodal à un modèle communal ?
• I.b.2.1. La disparition des terres seigneuriales
• I.c La mise en valeur du territoire
• I.c.1 L’espace agricole : le Quart
• I.c.2 La frontière utile, la commune : l’espace agropastoral
• I.c.3 Droits d’usage et propriété : le domaine communal
• I.c.3.1. Les terres agricoles : un espace sous contrôle
• I.c.3.2. L’essartage, une problématique plurielle
• I.c.3.3. La moyenne montagne
• I.c.3.3.a. Les voies de communication
• I.c.3.4. La haute montagne
• I.c.3.4.a. Du droit d’orri au paiement en nature
• I.c.3.4.b. Les cortons, un territoire soustrait au droit commun
• I.d. La répartition du terroir, la structure de la maison
• I.d.1. Le domaine de la maison, modèle ou archétype ?
• I.d.2. La terre, indice directeur ou reflet majeur ?

• II.a. Commune et conseils, l’imbrication des compétences
• II.a.1 Anfochs et casalers, une organisation clanique ?
• II.a.2. Le Conseil Général, un aperçu de son rôle au XVII^e siècle à travers les comptes
• II.a.2.1. Évolution de la valeur et de la répartition de l’impôt (1288-1900)
• II.a.2.2. Les frais du Conseil Général et le foc gros
• II.a.2.3. Le désengagement des anfochs au XVII^e siècle
• II.a.3. Taxes et finances communales
• II.a.3.1. Ascot et llots, la répercussion des frais généraux au niveau local
• II.a.3.2. Frais et taxes communales, le poids spécifique des charges
• II.a.4. Les frais de fonctionnement et les revenus communaux
• II.a.4.1. Fonctionnement et frais extraordinaires
• II.a.4.2. Les revenus communaux
• II.b. La monétisation du marché communal
• II.b.1. Estives et transhumance, droits communs et monopole
• II.b.1.1. De l’implantation des cortons
• II.b.1.2. Estivage, hivernage et transhumance
• II.b.2. Le secteur privé, aiguillon de l’économie communale ?
• II.b.2.1. Compagnies pastorales, organisation et réseaux
• II.b.2.1.a. Les participants et leur entretien
• II.b.2.1.b. Cheptels et transhumances
• II.b.2.2. Les statistiques de l’élevage
• II.b.2.2.a. Parcours, herbages et foires
• II.b.2.2.b. La répartition des frais
• II.b.2.2.c. Les productions dérivées et la dîme
• – La production laitière
• – La production de laine
• – Agneaux et agnelages
• II.b.2.2.d. Investissement et main-d’œuvre
• II.b.2.3. L’influence des compagnies pastorales au niveau local

• III.a. La forge au XVII^e siècle, une initiative privée
• III.a.1. Une production métallurgique médiévale ?
• III.a.2. Des forges qui n’étaient pas à la catalane
• III.a.2.1. Balances commerciales et prises de bénéfice
• III.a.2.2. Le fer dans les relations commerciales au début du XVII^e siècle
• III.b. L’Andorre : une économie de crise florissante
• III.b.1. Tissu, poisson et sel : les compagnies commerciales
• III.b.1.1. Le sel, le congre et la politique de Richelieu
• III.b.1.2. Les épices, les textiles et la mercerie
• III.b.1.3. Bénéfices et géographie des échanges : les compagnies commerciales
• III.b.1.4. Mouvements comptables et crédit
• III. b. 2. Commerce ou contrebande ?
• III.b.3. Les marchés « traditionnels » de 1636 à 1646
• III.c. La crise du XVII^e siècle et ses conséquences
• III.c.1. Le marché céréalier
• III.c.1.1. La fixation des prix céréaliers, la régulation du marché
• III.c.1.2. Rendements et prix. Une région déficitaire ?
• III.c.1.3. Crises céréalières et mortalités
• III.c.2. Dettes et marché foncier. Les conséquences à long terme de la crise
• III.c.2.1. Chapellenies et conjoncture
• III.c.3. Le textile, la production andorrane
• III.c.4. La reprise du marché textile d’exportation (1680-1690)
• III.d. Les modifications profondes du marché andorran (1600- 1715)

• IV.a. Mise en place et développement de la structure de production
• IV.a.1. Importation et commercialisation
• IV.a.2. Implantation et type d’exploitation des nouvelles forges
• IV.a.2.1. L’évolution de la structure de production
• IV.2.1.a. L’introduction des trompes en Andorre
• IV.2.1.b. 1690-1760, deux vagues successives d’implantations
• IV.2.1.c. Le recuit et la nouvelle organisation du travail
• IV.a.3. De la production des forges
• IV.a.3.1. Production et valeur du fer andorran de 1700 à 1815
• IV.a.3.2. Le commerce du fer de 1700 jusqu’à la Guerra del Francès
• IV.a.3.3. 1825-1863, de nouvelles techniques commerciales
• IV.b. Minerai et charbon, exploiter le territoire
• IV.b.1. Les mines aux XVIII^e et XIX^e siècles
• IV.b.1.1. Une pénurie de minerai au XIX^e siècle ?
• IV.b.1.2. Mineurs et salaires
• IV.b.1.2. Le transport du minerai
• IV.b.2. Forêt et charbonnage
• IV.b.2.1. La vente des secteurs de forêt
• IV.b.2.2. Forêt, charbonnage et charbonniers
• IV.c. Le poids spécifique de la sidérurgie en Andorre
• IV.c.1. La forge et le patrimoine communal
• IV.c.2, Les hommes de la forge
• IV.c.2.1. La place des Andorrans à la forge au XIX^e siècle
• IV.c.2.2. La sidérurgie, moteur économique des vallées ?
• IV.c.2.3. Propriété des forges et conjoncture avant 1860

• V.a. L’élevage spéculatif : le cheptel équin
• V.a.1. Hivernage équin et marché de l’herbe
• V.a.2. Prix et vente du cheptel d’équidés
• V.a.3. Offre et demande, les cortons aux XVIII^e et XIX^e siècles
• V.a.3.1. Ovins, équidés et loyers d’estives
• V.a.3.2. Cortons et locataires. La mainmise sur les estives
• V.b. La république des prohoms
• V.b.1. Le tabac, une affaire d’État
• V.c. Crises et conflits sociaux au XIX^e siècle
• V.c.1. Élevage et agriculture, la crise du secteur traditionnel
• V.c.2. Crise et mort de la sidérurgie andorrane
• V.c.3. Population et représentation. L’opposition politique
• V.c.4. La question d’Andorre
• V.c.4.1. Carlistes et libéraux : l’Andorre terre de refuge et de compromis ?
• V.c.4.2. Casinos, contrebande et réformes politiques. La fin d’un système ?

Col (cl.), cortó (ct.), forge (fg.), massf (mf.), monastère (mn.), pic (pc.), rivière (rv.)