Table des matières
Dominique Bonmati
PréfacePlaidoyer pour une approche transversale résolument anticipative
Titre I. Un contexte juridique favorable
- Chapitre I. L’amorce juridique vers de nouveaux fondements juridiques
- Section I. Des conditions propices aux réformes juridiques
- §1. Un contexte juridique international favorable
- A. Une avancée politique majeure
- 1. La position environnementale américaine
- 2. La position environnementale nippone
- B. Une avancée technique latente
- 1. Lourdeur des blocages institutionnels
- 2. La nécessité de réformer les institutions onusiennes
- §2. Un contexte juridique générateur de nouveaux droits opposables
- A. De nouveaux droits environnementaux opposables directs
- 1. Droit opposable au principe de sécurité hydrique des États
- 2. Droit opposable au principe de sécurité agraire et sanitaire
- B. De nouveaux droits environnementaux opposables connexes
- 1. Droit opposable au principe sécuritaire de préservation des espèces vivantes, dont l’Homme
- 2. Droit opposable au principe sécuritaire de préservation des espaces
- Section II. Des conditions propices au lancement de nouveaux objectifs juridiques
- §1. Des objectifs contractuels environnementaux
- A. Un objectif souhaitant limiter l’incertitude environnementale
- 1. Porter une attention particulière aux lignes directrices
- 2. Réfléchir à une autre approche juridique
- B. Un objectif visant à éviter les dommages environnementaux
- 1. Anticiper davantage pour réguler les responsabilités environnementales
- 2. Anticiper davantage en réinventant de nouvelles stratégies sécuritaires
- §2. Des objectifs techniques environnementaux
- A. Des objectifs renforçant la jurisprudentielle internationale
- 1. La reconnaissance d’un droit à un environnement sain et équilibré
- 2. Les limites de cette reconnaissance en droit européen et interne
- B. Des objectifs renforçant les outils de médiation et d’expertise environnementales
- 1. L’expertise environnementale
- 2. La médiation environnementale
- Chapitre II. L’amorce juridique vers la transposition de nouveaux principes
- Section I. Une marche vers la transposition du principe d’équité environnementale
- §1. La marche vers un droit à la préservation des ressources naturelles
- A. Une nature juridique nouvelle à travers le principe du « jus cogens »
- 1. Rappel de la notion de jus cogens
- 2. Rappel de la consécration du principe de jus cogens
- B. Un champ de compétence juridique nouveau
- 1. Application du principe de jus cogens en droit de l’environnement
- 2. Portée du principe de jus cogens en droit de l’environnement
- §2. La marche vers un droit à la préservation de l’Homme
- A. Des fondements juridiques nouveaux
- 1. Plaidoyer pour une reconnaissance juridique du principe de vulnérabilité
- 2. Portée de cette reconnaissance
- B. Des domaines d’intervention novateurs
- 1. Intervention dans le domaine de l’énergie
- 2. Intervention dans le domaine stratégique en terme sécuritaire
- Section II. Une marche vers la transposition du principe d’équilibre environnemental
- §1. Dialoguer autour du renforcement juridique pour un nouvel équilibre des pouvoirs
- A. Plaidoyer pour une stratégie juridique nouvelle
- 1. Reconnaître la mémoire culturelle du territoire
- 2. Suggestions de redéfinition de la CDB
- B. Échanger sur des responsabilités environnementales nouvelles
- 1. L’émergence d’un nouveau lien de gouvernance
- 2. L’émergence d’une souveraineté environnementale « partagée »
- §2. Dialoguer pour la reconnaissance juridique du principe d’intérêt général environnemental
- A. Rappel d’une émergence progressive du principe d’intérêt général environnemental
- 1. Rappel d’un droit forestier en souffrance
- 2. Rappel des conséquences d’un droit forestier en souffrance
- B. Rappel d’une portée juridique évolutive du principe d’intérêt général environnemental
- 1. La notion de cohérence territoriale et la réforme des collectivités
- 2. La notion de cohérence territoriale et le code de l’urbanisme français
Titre II. Un contexte doctrinal et jurisprudentiel favorable
- Chapitre I. Repenser par le dialogue le rattachement au droit naturel
- Section 1. Plaidoyer pour réfléchir à la reconnaissance de la notion de res commmunes rares de l’Humanité
- §1. Le constat d’une absence de rattachement à la notion juridique de res communes
- A. Dialoguer autour d’un rattachement nécessaire à d’autres principes fondamentaux
- 1. Finalités du droit international de l’environnement et responsabilités des États
- 2. L’évolution des droits anglo-saxon et romano-germanique
- B. Dialoguer autour d’un rattachement nécessaire à d’autres droits et devoirs fondamentaux
- 1. Plaidoyer pour le rattachement des ressources naturelles à la notion de res communes
- 2. Plaidoyer pour le rattachement des ressources naturelles à la notion de Patrimoine commun de l’Humanité
- §2. Le paradigme juridique autour de la nouvelle qualification juridique
- A. Une nature juridique équivoque
- 1. Dialoguer autour d’un rattachement mutant lié à l’évolution en droit interne
- 2. Dialoguer autour d’un rattachement mutant lié à la notion de rareté non encore retenue
- B. Une fonction juridique réductrice
- 1. Dialoguer autour d’un rattachement de la fonction juridique à la notion d’usage
- 2. Portée de ce rattachement en droit des contrats
- Section II. Plaidoyer pour échanger sur la reconnaissance des res communes fragiles
- §1. Échanger sur un droit à préserver véritable
- A. Poser les fondements d’une nature juridique nouvelle
- 1. Dissonance juridique
- 2. Dissonance sécuritaire
- B. Échanger pour entrevoir les finalités d’une fonction juridique novatrice
- 1. Constat d’une incertitude structurelle
- 2. Constat d’une incertitude économique
- §2. Échanger en termes d’identification juridique des risques environnementaux
- A. Dialoguer sur les modes d’identification juridique des risques
- 1. Constat de principales problématiques
- 2. Constat de problématiques connexes
- B. Dialoguer sur les modes d’identification des sujets de droits victimes
- 1. Sur le besoin de renforcer l’identification des victimes principales et par ricochet
- 2. Sur le besoin de renforcer l’identification en transversalité sécuritaire
- Chapitre II. Repenser par le dialogue le rattachement au droit commun
- Section I. Plaidoyer pour échanger sur une nouvelle notion de res stricto sensu
- §1. Constater la nature juridique réductrice du caractère marchand
- A. Une nature juridique dangereusement réductrice
- 1. Un aspect matériel réducteur incohérent
- 2. Un aspect immatériel restant à instaurer
- B. Une ambivalence internationale dangereusement perceptible
- 1. Une ambivalence souhaitée pour des raisons juridiques
- 2. Une ambivalence souhaitée pour des raisons économiques
- §2. Constater la portée juridique insécuritaire du caractère marchand
- A. Échanger sur la typologie classique mondiale
- 1. Dialoguer sur la nécessité de repenser en terme de finalité et caractéristiques
- 2. Dialoguer sur la nécessité de repenser en terme de régulation
- B. Échanger sur une autre typologie contemporaine en termes sécuritaires
- 1. Dialoguer sur la nécessité de repenser en terme de droits et devoirs
- 2. Dialoguer sur la nécessité de repenser en terme de stratégie juridique responsable
- Section II. Plaidoyer pour échanger autour d’un droit d’usage lié au droit de propriété
- §1. Anticiper par la réflexion juridique autour d’une autre notion d’appartenance
- A. Réorganiser par le dialogue le raisonnement juridique en droit international
- 1. Réorganiser ensemble en terme de droit intellectuel
- 2. Réorganiser ensemble en terme de droit coutumier local
- B. Réorganiser par le dialogue le raisonnement juridique en droit interne
- 1. Réorganiser ensemble autour de la notion juridique d’appartenance
- 2. Réorganiser ensemble autour de la notion juridique de créance
- §2. Anticiper par le dialogue les inadaptations liées à la notion d’exploitation
- A. Requalifier ensemble la définition juridique imprécise du principe d’exploitation
- 1. Requalifier ensemble en termes d’exploitation responsable
- 2. Requalifier ensemble en termes sécuritaires d’obligation de moyens et non de résultat
- B. Requalifier ensemble la fonction juridique du principe d’exploitation
- 1. Réfléchir ensemble à un principe d’équilibre juridique sécuritaire
- 2. Réfléchir ensemble à un principe d’équilibre économique sécuritaire
Plaidoyer pour une approche transversale réellement sécuritaire
Titre I. Une approche itérative sécuritaire nouvelle
- Chapitre I. Plaidoyer pour échanger sur une stratégie sécuritaire anticipative
- Section I. Réfléchir à une sécurité juridique environnementale nouvelle
- §1. Renforcer juridiquement par le dialogue le caractère fondamental de l’environnement
- A. Établir ensemble une nature juridique nouvelle reposant sur un processus itératif
- 1. Regards croisés sur des modes de gouvernances responsables
- 2. Regards croisés sur des modes de gouvernances en transition
- B. Transposer juridiquement par le dialogue le principe de bio-civilisation
- 1. Transposition souhaitable en terme de gouvernance
- 2. Transposition possible en terme de stratégie sécuritaire
- §2. Renforcer ensemble les moyens de lutte visant la protection de l’environnement
- A. Échanger pour une sécurité juridique environnementale renforcée
- 1. Renforcement propice en matière de corruption environnementale
- 2. Renforcement limité en matière de corruption environnementale
- B. Échanger pour une coopération internationale renforcée
- 1. Un renforcement nécessaire
- 2. Un renforcement itératif
- Section 2. Réfléchir ensemble à une solidarité environnementale novatrice
- §1. Dialoguer pour retenir la notion juridique de territoire environnemental
- A. Une autre définition en droit international
- 1. Nouveau triptyque
- 2. Nouvelle architecture juridique de l’État
- B. Une autre définition en droit interne
- 1. Nécessité d’une magistrature « verte » présente
- 2. Nécessité d’une magistrature « verte » formée
- §2. Dialoguer pour repositionner juridiquement les acteurs environnementaux
- A. Échanger sur l’adaptation de ce repositionnement à l’aune du principe de solidarité environnementale
- 1. Visualiser les peuples sous l’angle de l’égalité
- 2. Visualiser les interdits fondamentaux
- B. Échanger sur l’adaptation de ce repositionnement à l’aune du principe d’accès et de partage des savoirs
- 1. Visualiser une nouvelle « boussole » juridique
- 2. Visualiser un droit commun de l’humanité
- Chapitre II. Créer ensemble une dynamique juridique sécuritaire
- Section 1. Échanger autour d’une dynamique sécuritaire transversale nouvelle
- §1. Dialoguer pour intégrer transversalement le caractère multidimensionnel des enjeux
- A. Poser ensemble les enjeux juridiques transversaux nouveaux
- 1. Des enjeux de santé publique et d’Intérêt général
- 2. Des enjeux de sécurité publique
- B. Délimiter ensemble les enjeux périphériques multiples
- 1. Miser sur une autre démarche
- 2. Miser sur une autre transversalité
- §2. Affronter transversalement ensemble le caractère complexe des discordances
- A. Analyser ensemble les discordances juridiques émergentes
- 1. L’absence d’une définition commune universelle
- 2. La notion d’intérêt commun de l’Humanité
- B. Anticiper ensemble les discordances techniques latentes
- 1. Apprendre à anticiper autrement
- 2. Apprendre à anticiper ensemble
- Section 2. Échanger sur une dynamique sécuritaire autour de nouveaux objectifs juridiques
- §1. Reconnaître ensemble l’émergence du principe d’équilibre des milieux endémiques
- A. Réfléchir ensemble à une nature juridique nouvelle
- 1. Proposer une approche responsable
- 2. Proposer une stratégie foncière responsable
- B. Entrevoir ensemble une portée juridique novatrice
- 1. Une portée novatrice en terme de sécurité juridique
- 2. Une portée novatrice en terme de responsabilité juridique
- §2. Dialoguer pour renforcer les responsabilités environnementales existantes
- A. Se fonder ensemble sur le principe de sécurité environnementale
- 1. Un renforcement transversal
- 2. Un renforcement linéaire
- B. Revoir ensemble les limites constatées dans la pratique environnementale actuelle
- 1. L’exemple de la gestion des risques inondations
- 2. La portée de l’exemple reposant sur une gouvernance des risques
Titre II. Une approche endémique sécuritaire nouvelle
- Chapitre I. Plaidoyer pour dialoguer sur une stratégie sécuritaire de préservation de l’Humanité
- Section 1. Échanger pour rattacher la stratégie sécuritaire à des principes à portée universelle
- §1. Réfléchir ensemble à une stratégie sécuritaire reposant sur l’intérêt général de l’Humanité
- A. Établir ensemble une nature juridique nouvelle fondée sur un droit commun environnemental
- 1. Les fondements
- 2. Portée
- B. Retenir ensemble une fonction juridique orientée sur un devoir commun environnemental
- 1. Contenu
- 2. Portée
- §2. Réfléchir ensemble à une stratégie sécuritaire reposant sur les res communes de l’Humanité
- A. Réinventer ensemble une définition juridique
- 1. Contenu
- 2. Portée
- B. Reconnaître ensemble une portée juridique non exhaustive
- 1. Des bienfaits insoupçonnés
- 2. Des effets durables
- Section 2. Échanger pour orienter une stratégie sécuritaire autour d’une refondation juridique et technique
- §1. Établir ensemble de nouvelles conditions de fond et de forme
- A. Échanger sur une refondation juridique du contrat de mandat environnemental
- 1. Réinventer le cercle de gouvernance du VIème siècle
- 2. Réinventer le contrat de mandat
- B. Échanger sur une refondation juridique du rôle des acteurs
- 1. Une refondation au nom de l’intérêt général de l’Humanité
- 2. Une refondation reposant sur la notion de « pater familias »
- §2. Dialoguer autour d’une stratégie circulaire tripartite
- A. Échanger sur un fondement nouveau reposant sur le croisement entre savoirs, pouvoirs et vouloir
- 1. Constater l’absence de croisement
- 2. Redessiner les liens intrinsèques entre l’Homme et la Nature
- B. Échanger sur des domaines portant sur le croisement entre savoirs, pouvoirs et vouloir
- 1. Une meilleure transversalité des accords internationaux
- 2. Une meilleure transversalité des protocoles
- Chapitre II. Plaidoyer par le dialogue pour une stratégie sécuritaire de préservation du Vivant
- Section 1. Redessiner ensemble une stratégie endémique fondée sur une démarche juridique transversale
- §1. Reconnaître ensemble le caractère juridique fondamental et nécessaire des espèces vivantes
- A. Rechercher ensemble le caractère juridique fondamental des espèces
- 1. Reconnaître les interactions
- 2. Revoir le principe de continuité des systèmes
- B. Échanger sur la reconnaissance du caractère nécessaire des espèces
- 1. Une reconnaissance visant une meilleure sécurité juridique
- 2. Une reconnaissance visant sur une résilience nouvelle
- §2. Échanger sur la reconnaissance juridique du caractère interdépendant et éphémère des espèces vivantes
- A. Apprendre à reconnaître juridiquement le caractère interdépendant des espèces
- 1. Les fondements de cette reconnaissance
- 2. La portée de cette nécessaire reconnaissance
- B. Échanger sur la reconnaissance juridique du caractère éphémère des espèces
- 1. Les fondements de cette reconnaissance juridique
- 2. La portée de cette reconnaissance
- Section 2. Réfléchir ensemble à la transversalité juridique d’une stratégie sécuritaire endémique nouvelle
- §1. Réfléchir ensemble au renforcement juridique des données
- A. Des fondements juridiques basés sur le principe de sécurité
- 1. La nécessité d’ordre sécuritaire
- 2. La nécessité d’intérêt général
- B. Une extension juridique fondée sur le caractère nécessaire
- 1. Un rattachement souhaité à la notion de res communes
- 2. Un rattachement souhaité au principe de préservation et au droit d’accès
- §2. Réfléchir ensemble à l’extension juridique des moyens de protection
- A. Une extension du principe de précaution environnementale
- 1. L’émergence d’une obligation positive internationale environnementale de moyens
- 2. Le renforcement de l’aspect procédural environnemental
- B. Une extension du principe de responsabilité environnementale
- 1. Une extension portant sur l’appréciation de la gestion « pater familias » des institutions
- 2. Une extension portant sur l’évolution sécuritaire du droit international des brevets