Table des illustrations et crédits photographiques

p. 273-278


Texte intégral

1Couverture : L’Apparition du Christ ressuscité à sa mère de l’église de Vallant-Saint-Georges (Aube). Détail : L’ange à l’orgue portatif. © Région Grand-Est/Inventaire/ Jacques Philippot.

2 L’imitation plastique, une énigme picturale : le rapport entre l’esthétique, l’iconographie et le lieu de la statuaire feinte chez Jan van Eyck

3Fig. 1 (p. 20) : Jan van Eyck, La Vierge au chancelier Rolin, vers 1435, huile sur panneau, 66 x 62 cm. Paris, musée du Louvre.

4Fig. 2 (p. 25) : Jan van Eyck, La Vierge au chancelier Rolin, vers 1435, détail. Paris, musée du Louvre.

5Fig. 3 (p. 28) : Jan van Eyck, La Vierge au chanoine Van der Paele, 1436, huile sur panneau. 122 x 157 cm. Bruges, musée Groeninge.

6Fig. 4a, 4b, 4c, 4d, 4e, 4f (p. 31) : Jan van Eyck, La Vierge au chanoine Van der Paele, détails. Bruges, musée Groeninge.

7Fig. 5 (p. 32) : Jan van Eyck, L’Annonciation dans une église, 1434-1436, huile sur panneau transposée sur toile. 90,2 x 34,1 cm. Washington, National Gallery of Art.

8Fig. 6 (p. 34) : Jan van Eyck, Le Triptyque de Dresde, 1437, huile sur panneaux. Dresde, Gemäldegalerie Alte Meister.

9Fig. 7 (p. 39) : Jan van Eyck, La Vierge de Lucques, détail, 1435-1440, huile sur panneau. 65,5 x 49,5 cm. Francfort, Staedelsches Kunstinstitut.

10Fig. 8 (p. 40) : Jan van Eyck, La Vierge dans une église, 1438-1440, huile sur panneau. 31 x 14 cm. Berlin, Gemäldegalerie.

11Fig. 9 (p. 41) : Jan van Eyck, La Vierge dans une église, détail. Berlin, Gemäldegalerie.

12Fig. 10 (p. 44) : Jan van Eyck, Retable de l’Adoration de l’Agneau mystique, détail. Gand, cathédrale Saint-Bavon.

13Fig. 11 (p. 49) : Jan van Eyck, Les Époux Arnolfini, détail, 1435, huile sur panneau, 82,5 x 60 cm. Londres, National Gallery.

14 Fig. 12 (p. 53) : Jan van Eyck, Retable de l’Adoration de l’Agneau mystique, revers extérieurs, détail. Gand, cathédrale Saint-Bavon.

15Fig. 13a (p. 56) : Jan van Eyck, Retable de l’Adoration de l’Agneau mystique, détail. Gand, cathédrale Saint-Bavon.

16Fig. 13b (p. 57) : Jan van Eyck, Retable de l’Adoration de l’Agneau mystique, détail. Gand, cathédrale Saint-Bavon.

17Fig. 14 (p. 63) : Jan van Eyck, Le Triptyque de Dresde, revers extérieurs, 1437, huile sur panneaux. 37,5 x 27,5 cm. Dresde, Gemäldegalerie Alte Meister.

18Fig. 15 (p. 68) : Jan van Eyck, Le Diptyque de l’Annonciation, vers 1436, huile sur panneau, 39 x 24 cm. Madrid, musée Thyssen-Bornemisza.

L’énigmatique retable de Vallant-Saint-Georges (v. 1530-1540) ou De la bonne définition du mot mystère

19Fig. 1 (p. 81) : L’Apparition du Christ ressuscité à sa mère, vers 1530-1540, albâtre avec traces de dorure et de polychromie. H. 62 cm, L. 44 cm, Pr. 25 cm. Vallant-Saint-Georges, église paroissiale Saint-Julien l’Hospitalier. © Région Grand-Est/ Inventaire/Jacques Philippot.

20Fig. 2 (p. 82) : L’Apparition du Christ ressuscité à sa mère. Vers 1530-40. Albâtre avec traces de dorure et de polychromie. H. 62 cm. ; L. 44 cm. ; Pr. 25 cm. Vallant-Saint-Georges, église paroissiale Saint-Julien l’Hospitalier. © Région Grand-Est/Inventaire/ Jacques Philippot.

21Fig. 3 (p. 85) : L’Apparition du Christ ressuscité à sa mère. Détail : L’ange à l’orgue portatif. © Région Grand-Est/Inventaire/Jacques Philippot.

22Fig. 4 (p. 86) : L’Apparition du Christ ressuscité à sa mère. Détail : Le Christ. © Région Grand-Est/Inventaire/Jacques Philippot.

23Fig. 5 (p. 89) : L’Apparition du Christ ressuscité à sa mère, page enluminée des Heures de Saint-Florentin d’Amboise, enlumineur de l’entourage de Jean Le Tavernier, vers 1460-1465. Tours, BM, ms. 219, fol. 87.

24Fig. 6 (p. 91) : L’Apparition du Christ ressuscité à sa mère, détail de la baie 2 de l’église Saint-Georges de Chavanges, premier quart du xvie siècle et xixe siècle (restauration) © Région Grand Est – Inventaire général. Cliché : Jacques Philippot.

25Fig. 7 (p. 92) : L’Apparition du Christ ressuscité à sa mère. Détail : L’ange à l’orgue portatif. © Région Grand-Est/Inventaire/Jacques Philippot.

26Fig. 8 (p. 93) : Lorenzo Lotto, Ange de l’Annonciation. Vers 1530. Peinture à l’huile sur toile. 82 x 42 cm. Jesi, pinacothèque communale.

27Fig. 9 (p. 95) : L’Apparition du Christ ressuscité à sa mère. Détail : L’ange à l’orgue portatif. © Région Grand-Est/Inventaire/Jacques Philippot.

28Fig. 10 (p. 97) : Urs Graf, Mercenaire de face, 1513, dessin à la plume 29,4 x 21,6 cm. Bâle, Kunstmuseum, inv. U.X.43.

29Fig. 11 (p. 98) : Suiveur de Jan Gossart, Jeune femme portraiturée en sainte Marie-Madeleine (d’après Gossart). xviie siècle. Peinture à l’huile sur bois. 51,5 x 39,8 cm. Anvers, musée Mayer van den Bergh (inv. MMB.0042).

30Fig. 12 (p. 100) : L’Apparition du Christ ressuscité à sa mère. Vers 1530-40. Albâtre polychromé. H. 27 cm, L. 18 cm, Pr. 6 cm. Paris, Louvre, inv. OA216. © musée du Louvre, Dist. RMN-Grand Palais/Pierre Philibert.

31Fig. 13 (p. 103) : Détail d’un feuillet de diptyque en ivoire, Île-de-France, premier quart du xive siècle. H. 24 cm, L. 12,5 cm. Paris, Louvre, inv. OA11097. © RMN-Grand Palais (musée du Louvre) / image RMN-GP.

Hopper ou la fausse énigme

32Fig. 1 (p. 106) : Edward Hopper, Chop Suey, 1929, 81,3 x 96,5 cm. Coll. M. et Mme Barney A. Ebworth © Adagp, Paris, 2019.

33Fig. 2 (p. 108) : Edward Hopper, Illustration pour le Shady d’Eva Moore Adams publié dans le n° 76 (déc. 1924) du Scribner’s Magazine, crayon Conté, 76 x 55 cm. New York, Whitney Museum © Adagp, Paris, 2019.

34Fig. 3 (p. 110) : Edward Hopper, Le Bistrot, 1909, 59 x 72 cm. New York, Whitney Museum © Adagp, Paris, 2019.

35Fig. 4 (p. 112) : Edward Hopper, Compartment C, Car 293, 1938, 50 x 45 cm. New York, Armonk, Collection IBM © Adagp, Paris, 2019.

36Fig. 5 (p. 114) : Edward Hopper, House by the Railroad, 1925, 61 x 73,7 cm. New York, MOMA © Adagp, Paris, 2019.

37Fig. 6 (p. 117) : Edward Hopper, Morning in the city, 1944, 112 x 152 cm. Williamstown, Williams College, Museum of Art © Adagp, Paris, 2019.

38Fig. 7 (p. 118) : Edward Hopper, The City, 1927, 71 x 91 cm. Tucson, The University of Arizona Museum of Art © Adagp, Paris, 2019.

39Fig. 8 (p. 120) : Edward Hopper, Drugstore, 1927, 73 x 101 cm. Boston, Museum of Fine Arts © Adagp, Paris, 2019.

Hans Bellmer et les petites mains de l’ombre : l’énigme des graveurs d’interprétation

40Fig. 1a et 1 b (p. 125) : Schéma de l’auteur montrant le nombre de cuivres ou planches édités en fonction des années ; Schéma de l’auteur montrant le nombre d’épreuves tirées en fonction du temps.

41Fig. 2 (p. 126) : Couverture du livre Cécile Reims grave Hans Bellmer, avec un texte de Quignard Pascal et Beaumont-Maillet Laure et avec un appareil critique de Flahutez Fabrice, Issoudun, musée de l’Hospice Saint-Roch, Paris, Éd. Cercle d’art, 2006.

42Fig. 3 (p. 127) : Hugnet Georges, Œillades ciselées en branche, Paris, Éditions Jeanne Bucher, [10 mars] 1939. 28 feuillets (56 p.) tiré à 231 exemplaires de format 13,5 x 9,5 cm (in-32 Grand Aigle). Illustré par 25 dessins de Hans Bellmer reproduits en héliogravure avec des retouches au burin et encrés en couleur sur le cuivre, imprimés sur les presses de Jean-Jacques Taneur.

43Fig. 4 (p. 128) : Auch Lord, [Bataille Georges], Histoire de l’œil, Paris, K Éditeur, (faux-titre 1940), juillet 1947.

44Fig. 5 (p. 129) : Anatomie par l’image (répertoriée no 10.3 dans Fabrice Flahutez, Catalogue raisonné des estampes de Hans Bellmer, Paris, Nouvelles Éditions Doubleff, 1999), épreuve lithographique unique en 2 couleurs sur un feuillet double de papier vélin d’Arches (dimensions du papier : 56 x 38 cm ; de l’image : 38,5 x 28 cm) sans la couleur rose mais avec une dominante jaune, signée par Hans Bellmer et datée de 1952 en bas à gauche, édition à compte d’auteur, 1950. Collection particulière, Paris © Adagp, Paris, 2019.

45Fig. 6 (p. 130) : Hans Bellmer, Dans le bon sens, gravure originale au burin et aquatinte multicolore, 40,5 x 32,5 cm, tirage à 60 exemplaires sur papier de Rives Terre de Sienne naturelle, numérotés en bas à gauche et signés en bas à droite. Un exemplaire répertorié au département des estampes de la Bibliothèque nationale de France, Paris Éditions Georges Visat, fin 1963-début 1964 © Adagp, Paris, 2019.

46Fig. 7 (p. 132) : Bellmer Hans, Petit traité de morale, ouvrage illustré de dix héliogravures reprises au burin par Cécile Reims (Dimensions de la gravure : 26,5 x 40 cm et du papier : 45 x 64 cm). Tirage à 150 exemplaires sur Vélin d’Arches et XX exemplaires sur papier Japon nacré réservés aux collaborateurs et au dépôt légal. Tirage simple à part de chaque planche en 12 exemplaires. Relieur Leroux 1975. Achevé d’imprimer le 24 Juillet 1968. Paris, Éditions Georges Visat, 1968 © Adagp, Paris, 2019.

47Fig. 8 (p. 133) : Schéma de l’auteur montrant l’évolution des dimensions du coup de planche (surface indicielle en cm2) en fonction du temps.

48Fig. 9a et 9b (p. 134) : Deux gravures de Bellmer montrant la transformation du format et du motif de l’image dans le temps : Madame Édwarda de Pierre Angélique (pseudonyme de Georges Bataille) (Répertoriée n° 24.2). Pointe sèche et burin, datant (depuis) 1955. Dimensions : 18,5 x 8 cm. Tirage original pour J. J. Pauvert de 3 épreuves de chaque gravure en 1956 ; Variations autour de Madame Édwarda. (Répertoriée n° 126.4). Gravure d’interprétation réalisée entre 1968-1972 par Cécile Reims au burin et à la pointe sèche. Dimensions de la gravure : 36 x 18 cm et du papier : 56 x 38 cm. Imprimerie Daniel Moret à Paris. 1971. Tirage sur papier Japon nacré à 100 exemplaires et 5 exemplaires marqués E.A. et 5 exemplaires marqués H. C. Paris, Éditions Galerie Bosquet, 1972.

49Fig. 10a et 10b (p. 136) : Schéma de l’auteur montrant l’évolution des dimensions entre les gravures originales et les gravures d’interprétation en fonction du temps ; Gravure originale de Hans Bellmer pour Œillades ciselées en branche de 1939 et sa variante en gravure d’interprétation par Cécile Reims en 1972.

Les dessous du Jardin de la France : les jardins effroyables d’Hamilcar

50Fig. 1 (p. 142) : Max Ernst, Le Jardin de la France, 1962, huile sur toile, 114 x 168 cm, Paris, MNAM-Centre Pompidou (inv. : AM 1982-190).

51Fig. 2 (p. 147) : Alexandre Cabanel, La Naissance de Vénus, 1863, huile sur toile, 130 x 225 cm. Paris, musée d’Orsay.

52Fig. 3 (p. 150) : Anselm Feuerbach, Nymphe au repos, 1870, huile sur toile, 112 x 190 cm. Nuremberg, Germanisches Nationalmuseum.

53Fig. 4 (p. 155) : Michel Richard-Putz, Salambô, 1898, huile sur toile. Localisation actuelle inconnue.

Comment un nom peut-il en cacher un autre ? Les aléas d’une mauvaise graphie liée à la condition d’une femme artiste : le cas Lucile Franque

54Fig. 1 (p. 187) : Lucile Messageot (épouse Franque), Portrait de la famille Messageot-Charve, huile sur toile, v. 1798, 156 x 127 cm. Lyon, musée des Beaux-Arts.

« Mystère », « règle » ou « tromperie » ? L’énigme de la couleur dans les écrits sur l’art à l’époque contemporaine

55Fig. 1 (p. 216) : Paillot de Montabert, Traité complet de la peinture, Paris, Delion, 1829-1851, pl. 104 : Le clair-obscur ; le coloris.

56Fig. 2 (p. 218) : M.-E. Chevreul, De la loi du contraste simultané, Paris, Pitois-Levrault, 1839, pl. 4 : Construction chromatique hémisphérique.

57Fig. 3 (p. 219) : M.-E. Chevreul, De la loi du contraste simultané, Paris, Pitois-Levrault, 1839, p. 123 : Assortiments ternaires des couleurs complémentaires entre elles avec le noir.

58Fig. 4 (p. 220) : J. W. von Goethe, Farbenlehre, t. I, Tübingen, Cotta, 1810, page de titre.

59Fig. 5 (p. 221) : Robert Delaunay, Disque, 1912 (ou 1913 ?), D. 134 cm. Collection privée.

60Fig. 6 (p. 222) : Wassily Kandinsky, On the spiritual in art (traduction anglaise de : Kandinsky, Über das Geistige in der Kunst, Munich, R. Piper & Co., 1911), New York, 1946, pl. 1 : première paire des contrastes.

61Fig.7 (p. 223) : CharlesBlanc, Grammaire desartsdudessin, Paris, Renouard, 1867, p. 563 : la rose chromatique.

62Fig. 8 (p. 223) : J. W. von Goethe, Erklärung der zu Goethe’s Farbenlehre gehörigen Farbtafeln, t. I, Tübingen, Cotta, 1810, fig. 1.

63Fig. 9 (p. 224) : Bernard Dupuy Du Grez, Traité sur la peinture, 1649, extrait de l’avertissement : « Cette Muse (de la peinture) est représentée dans la Troisième Taille douce avec la Palette et les Pinceaux, imitant la couleur des plus beaux objets ». Gravure de J.P. Rivals.

64Fig. 10 (p. 225) : Bernard Dupuy Du Grez, Traité sur la peinture, 1649, p. 350 : schéma explicatif du « Traité d’optique pour supplément à la quatrième dissertation sur la composition ».

65Fig. 11 (p. 226) : Bernard Dupuy Du Grez, Traité sur la peinture, 1649, p. 120 : vignette de fin de la « Dissertation seconde – Qu’est ce que le dessein et des moyens de s’y avancer ».

66Fig. 12 (p. 226) : Bernard Dupuy Du Grez, Traité sur la peinture, 1649, p. 228 : vignette de fin de la « Troisième dissertation – Du coloris, en quoi il consiste, et du choix qu’on peut en faire ».

67Fig. 13 (p. 228) : Johannes Müller, Handbuch der Physiologie des Menschen, Koblenz, Hölschen, vol. 2, 1837, p. 296 : cercle chromatique.

68Fig. 14 (p. 229) : Johannes Müller, Handbuch der Physiologie des Menschen, Koblenz, Hölschen, vol. 2, 1837, p. 367 : schéma des « images différées ».

69Fig. 15 (p. 231) : Barnett Newman, Who’s Afraid of Red, Yellow and Blue ?, 1966, huile sur toile, 190 x 121 cm. Collection privée.


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