Remerciements
p. 9
Texte intégral
1Je souhaite adresser de vifs remerciements à mes coauteurs, qui ont été d’une patience remarquable durant la gestation de ce livre dont la palette tient tant aux richesses et nuances de leurs profils respectifs. Je suis tout spécialement reconnaissante à Fabrice Flahutez pour mon profit de ses qualités américaines biologiquement inexpliquées : son caractère positif, son pragmatisme, son soutien généreux, solide mais exercé à distance. Des remerciements également appuyés à François Trémolières, professeur de littérature française à l’université Rennes 2, pour ses réflexions précieuses et pour l’élégance sous le sceau de laquelle il place chacune de ses intentions, chacune de ses paroles.
2Je suis également redevable à mon unité de recherche, l’équipe d’accueil 4441 HAR (Histoire des arts et des représentations), pour son aide financière à la publication, et à mes éditeurs inspirés et méticuleux, particulièrement Laurence Patarit, toujours à la fois réactive et ouverte à l’échange.
3Dans une direction cette fois toute personnelle, je remercie les deux hommes de ma vie : mon mari et notre fils, auxquels je dois tant et qui sont l’alpha et l’oméga de mon équilibre dans ma vie professionnelle.
4Conjointe à celle de directrice d’ouvrage, ma qualité de coauteure m’amène à remercier deux catégories précises de personnes. D’abord les personnels des bibliothèques que je fréquente, à Nanterre, à Paris, à Troyes et en d’autres villes, particulièrement à Dijon, ma ville d’adoption depuis trente ans, où les personnels de la Bibliothèque patrimoniale et d’étude, ceux de la bibliothèque du musée des Beaux-Arts et ceux de la Bibliothèque universitaire Droits-Lettres, dont Mme Pascale Besson et Mme Patricia Vadrot, manifestent un dévouement à leurs lecteurs et un sens du service public absolument exceptionnels.
5Deuxième catégorie de personnes auxquelles je souhaite rendre hommage ici : les étudiants, nos étudiants – des étudiants dont on se plaît, entre collègues, à parfois déplorer le manque de rigueur avec le catastrophisme surjoué de mères plutôt comblées qui ne croient pas à leurs fables. Des étudiants, aussi et surtout, qui, par leurs qualités propres et par le lien de bienveillance qu’ils nous autorisent à tisser, dans leur direction mais pour un bénéfice réciproque, garantissent le sel de notre métier d’enseignant-chercheur et des occasions d’inoubliables rencontres du cœur et de l’esprit – une autre Énigme en Histoire de l’art dont le présent ouvrage est une célébration enthousiaste.
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Information, document, œuvre
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