Table des matières
Anne Carol
Avant-proposDéfinition et visibilité
Véronique Dasen et Armand M. Leroi
Homme ou bête ? Le dieu caché de l’anencéphale d’HermopolisMichèle Janin-Thivos
Monstre ou pervers : l’hermaphrodite à l’époque moderneRégis Bertrand
Jean-Louis Bourdini (vers 1565-1616), l’« hydrocéphale de Marseille » ou la longue célébrité d’un crâneAnne-Emmanuelle Demartini
Portrait d’un criminel en monstre moral sous la monarchie de Juillet : discours sur Pierre-François LacenaireLa réintégration du monstre dans l'ordre du monde
Marcel Bernos
Anomalies physiques, monstruosités et sacrementsLe monstre métaphorique
Martine Vasselin
Des oxymores en peinture : têtes idéales et têtes monstrueuses dans l’art florentin de Léonard de Vinci à Agnolo Bronzino- La conception florentine de la beauté élaborée durant le XVe siècle
- Une recherche de canons logiques, antiques et consensuels : la norme de perfection et ses contraires
- Cette symétrie
- Une conception « mystique » de la beauté
- L’effet de la beauté : « bellezze che inamorino »
- La conception florentine de la personnalité humaine
- La théorie des affetti : le corps comme miroir de l’âme chez Alberti et Léonard
- L’âme architecte de son logis : la beauté morale influe sur la beauté physique
- La vertu nue et le vice masqué, les allégories de Bronzino
- La conception florentine du rôle de l’art durant la Renaissance
- La peinture comme outil de savoir : l’exploration de la diversité des physionomies : les curiosités de Léonard de Vinci
- La peinture comme libre expérimentation créative : caricatures et grotesques
- La beauté et l’art comme moyens d’élever l’âme des « regardants » vers Dieu : les sonnets de Michel-Ange
Jacques Guilhaumou
Les monstres dans l’ordre social. Généalogies du « monstre en politique » de Machiavel à Sieyès