Table des matières
Jean-Michel Minovez
Arts décoratifs et industrie. L’exemple de la faïence fine et de la porcelaine, milieu XVIIIe-XIXe siècleLa recherche, les essais
Jacques G. Peiffer
Une confusion historique : terre de pipe et faïence fine- À la recherche d’un terme générique
- La faïence « fine » stannifère
- Que sont les terres blanches ?
- L’évolution des pâtes
- Une pléthore de vocables
- La terre de pipe
- Terre blanche
- La terre d’Angleterre et la terre de France
- Terre de pipe, terre blanche, terre anglaise, un même sens
- Un exemple de l’évolution chronologique des termes
- La « faïence fine de terre de pipe »
- Conclusion
Jean Rosen
La terre de pipe de Nevers : essais du XVIIIe et productions du XIXe siècle- Historique
- Le rôle d’Edme Serrurier et de Nevers dans les débuts de la terre de pipe en France
- Les tentatives de Jacques et Simon Robert au XVIIIe siècle
- Deux autres tentatives nivernaises mal connues : Assenfraxe (1793) et Souroux à Chantemerle (1800)
- Les Dubois et Senly (1794-1822), fabricants de terre de pipe « façon anglaise » à Nevers
- Philippe Dubois et Pierre Senly (1794-1806)
- « Dubois père et fils », et « Dubois frères » (1806-1820, et 1820-1822)
- Pierre Senly (1813-1845)
- Les productions
- Composition de la terre de pipe de Nevers
- L’archéologie
- Les collections
- Conclusion
Béatrice Pannequin
La faïence fine à travers l’Enquête des préfets (1805-1810)Des essais à l’industrialisation
Christian Maire
Du « grain de riz » à l’impression. Industrialisation et produit céramique révolutionnaire : « la faïence fine »- La « faïence fine » fut lontemps méprisée et écartée par les historiens de la céramique : sa faute, être industrielle ?
- Recherche des indices d’industrialisation, sources de l’explication de cette mise à l’écart, en comparant une manufacture de « faïence fine » avec une activité admise comme une industrie du XVIIIe siècle
- La céramique et l’industrie du XVIIIe siècle : le choix de l’entreprise d’Oberkampf à Jouy-en-Josas
- La manufacture du Pont-aux-Choux peut-elle être représentante de la « faïence fine » en France au XVIIIe siècle ?
- La manufacture d’indienne de Jouy-en-Josas et celle de « faïence fine » du Pont-aux-Choux : des aspects industriels qui se recoupent ?
- Bénéfices et valeurs des entreprises
- La politique commerciale
- À la recherche d’une clientèle
- Les bourgeoisies : clientèles recherchées par le Pont-aux-Choux ?
- Un espace productif organisé
- Évolutions techniques sans mécanisation
- Le motif « grain de riz »
- Naissance de l’esthétisme industriel ?
- La révolution de l’impression sur céramique dont s’empare la « faïence fine »
- La « faïence fine » fut sanctionnée pendant 240 ans pour son succès industriel considéré comme fautif
Jean-Michel Lassure et Gérard Villeval
La faïence fine à Martres-Tolosane (Haute-Garonne)Jean-Marc Olivier
L’essor de la faïence fine de Salins (Jura)- L’attractivité du faubourg industrieux de Salins
- Le résistible déclin salinois après l’effondrement de l’exploitation du sel
- Une nébuleuse d’ateliers et de petites usines
- Une tradition céramique
- La faïencerie des capucins : grands projets et déceptions (1857 – 1885)
- L’arrivée de deux faïenciers expérimentés de Nans-sous-Sainte-Anne (Doubs) : Granger et Monniotte
- Le grand projet initial
- Une petite usine (1862-1885)
- L’expansion (1885 – Entre-deux-guerres)
- Nouveaux apports financiers et techniques (1885-1911)
- Le décollage industriel
- Les succès commerciaux
Faïence fine et iconographie : l’apport à l’imagerie du XIXe siècle
Emile Decker
Une imagerie sur faïence : les assiettes parlantes à sujets imprimés de la manufacture de Sarreguemines- Formes et variations de l’imagerie sur faïence
- Apparition des assiettes à thèmes dans la production des faïenceries au XIXe siècle
- Les supports et leurs formes
- Le décor
- Auteurs des gravures et sources de l’iconographie
- Les thèmes abordés
- Les sujets d’actualité
- La célébration des grands moments de l’histoire de la nation française
- Les scènes de genre
- Les paysages
- L’humour
- L’imagerie pédagogique et plaisante
- Conclusion
Jacqueline du Pasquier
À propos des recueils de dessins de la manufacture de Vieillard conservés aux Archives municipales de BordeauxMarie-Germaine Beaux-Laffon
Mutation des représentations et du goût au milieu du XIXe siècle Iconographie de la guerre de Crimée sur faïence fine impriméeProblème d’attribution et réévaluation des productions porcelainières
Chantal Meslin-Perrier
Quelques réflexions sur les difficultés d’identification des porcelaines françaises au début du XIXe siècleHélène Guibet, Dominique Pain et Antoine Verney
Porcelaines de Basse-Normandie, examen critique des productions de la Manufacture de Bayeux sous la direction des familles Langlois et Gosse (1812-1878)- Introduction : les enseignements d’une exposition temporaire
- Les caractères généraux de la production bayeusaine
- L’inventaire des marques et des signatures
- Vers un répertoire typologique des formes et des décors
- Examen critique de la documentation relative à l’histoire de la manufacture
- Description des sources
- Les sources imprimées
- Les sources manuscrites
- Présentation synthétique des données recueillies
- Aperçu du développement économique de l’entreprise
- Le personnel de la manufacture
- Caractérisation de la production
- L’examen direct des pièces
- La formation d’une série de référence : la collection du Musée de Bayeux
- Caractéristiques des pièces étudiées
- La production de Pierre-Joachim Langlois (1812-1830)
- La production Veuve Langlois (1830-1847) et de ses filles (1848-1849)
- La production François Gosse (1851-1870) de son fils et de sa belle-fille (1870-1878)
- Conclusion
- Planche I : porcelaine de Bayeux, production Joachim Langlois (1812-1830)
- Planche 2 : porcelaine de Bayeux, production Veuve Langlois* (1830-1847)
- Planche 3 : porcelaine de Bayeux production Gosse (1849-1878)
- Planche 4 : Porcelaine de Bayeux production Gosse (1849-1878)
Ouvriers et entrepreneurs de la faïence fine et de la porcelaine
Tamara Préaud
Alexandre Brongniart et la faïence fineBernard Bumpus
Léon Arnoux chez MintonAnnick Moreau-Feunteun
Les Haviland, industriels de la porcelaine, leurs artistes et leur impact sur le marché américain dans la deuxième moitié du XIXe siècleClaude Lacombe
Faïence, faïence fine et porcelaine en Périgord au XVIIIe siècle : des hommes et des productions entre polyvalence des ouvriers et transferts de connaissances- Porcelaine et faïence fine en Périgord
- Jean-Baptiste Cabirol et la fabrique de porcelaine de Saint-Jean-de-Côle
- Claude Bonnet et la tentative de production de « faïence fine » à Bergerac
- La fabrique de « faïence fine » de Montignac
- De la qualité du travail des peintres ou tourneurs en faïence ou en porcelaine en Périgord, Limousin, Landes ou Saintonge
- Une preuve de la compétence : les maîtres ouvriers
- Une appellation : les assiettes « à la Bergerac »
- Des clients loin du Périgord
- Le système de comptabilisation et de dénomination de la taille des faïences périgourdines au XVIIIe siècle
- Des employeurs en quête d’ouvriers qualifiés
- Entre fourberie et incompétence ?
- Les transferts de technologie, de savoir-faire et de poncifs liés au déplacement des ouvriers
- La faïencerie périgourdine au XVIIIe siècle : une sorte de « laboratoire » permanent au personnel souvent polyvalent
- Une sorte de « laboratoire » permanent
- Un personnel souvent polyvalent
- De marchand de faïences, de peintre ou tourneur en faïence, à directeur de faïencerie
- De la faïence à la porcelaine et de tourneur à responsable de la cuisson
- Conclusion
Jean-Michel Minovez
Conclusion
