Table des matières
I – Ancrages institutionnels et socioculturels
Jean-Luc Laffont
Les cadres institutionnels de la médecine à Toulouse au siècle des Lumières- Les structures institutionnelles
- Les établissements hospitaliers
- Les établissements d’enseignement : Faculté de médecine et École royale de chirurgie
- Les structures sanitaires de l’hôtel de ville
- Les capitouls et le conseil de santé
- Les capitouls et les questions sanitaires et médicales
- Les capitouls chargés des hôpitaux
- Le Conseil de santé
- Le capitaine au fait de la santé, rouage essentiel de l’administration municipale
- Les attributions du capitaine au fait de la santé en temps d’épidémie
- Les attributions du capitaine au fait de la santé en temps ordinaires
- L’évolution des attributions du capitaine au fait de la santé
- Les professionnels de la santé au service du Capitoulat
- Les personnels de santé permanents
- Médecins et chirurgiens ordinaires de la ville
- Le chirurgien lithotomiste
- L’accoucheur juré de la ville
- Le professeur vétérinaire de la ville
- Le recours à des praticiens « vacataires »
- En temps d’épidémie
- En temps ordinaires
- Conclusion
Samira Bana
Les vénériens toulousains et leur accueil dans les hôpitaux au XVIIIe siècle- La prise en charge des vénériens
- Les conflits entre les deux hôpitaux de la ville
- Fraudes et arrestations, derniers recours face à la maladie
- La population des syphilitiques, une sociologie lacunaire
- Hommes et enfants, deux groupes de malades mal connus
- Les femmes
- La syphilis, une maladie sociale
- Un révélateur des relations sexuelles illégitimes
- Le poids de la culpabilité des femmes
II – Tâtonnements vers une nouvelle médecine
Camille Sans
Jean Fronton (1685-1774) et le début de la chirurgie obstétricale à Toulouse- Le parcours d’un chirurgien toulousain renommé
- Devenir chirurgien
- Vers la renommée
- L’exercice des fonctions de chirurgien-accoucheur
- Un chirurgien spécialisé dans l’obstétrique
- Le diagnostic et la cure
- L’ondoiement
- Les rapports avec les autres acteurs de la santé
- De sévères critiques à l’encontre des sages-femmes
- Des relations parfois houleuses avec les hommes de l’art et le monde savant
- Des collaborations fructueuses
- Lecture des modernes et démarche expérimentale
- Le rejet de l’autorité des anciens
- La connaissance des grands noms de la médecine moderne
- Des outils de connaissances propres aux Lumières : les périodiques et la correspondance
- La pratique de l’autopsie
- Fronton au cœur des débats scientifiques du XVIIIe siècle
- La question de la césarienne
- Conclusion
Didier Foucault
Un pionnier toulousain de l’électrothérapie : Masars de CaselesJean-Yves Bousigue
Entre expérience et raison : Naissance d’une épistémologie chirurgicale ?
