Table des matières
Rémy Pech
Avant-proposJean-François Berdah
PréfaceJean-François Berdah
Bertrand de Lafargue : un « historien atypique »Première partie. Un aperçu de l’œuvre de Bertrand de Lafargue
- Les prémices de l’investissement industriel
- La typologie bancaire classique
- Les grandes réorientations françaises (1870-1914)
- Le procès des banquiers
- L’intervention de l’État (1914-1940)
- L’État dirigiste (1940-années 1960)
- Restructurations dans un cadre libéral (années 1960 et 1970)
- Le banquier, l’industriel, l’État et l’épargnant
- Conclusion
- Un pays dominé
- Reconstruction d’une identité nationale, aspirations nationales et lutte pour la souveraineté : la question suédo-norvégienne, 1814-1905
- La construction d’une démocratie parlementaire
- Le scandinavisme
- L’accès à la souveraineté (juin 1905)
- Défense de la souveraineté et expressions du nationalisme, 1905-1920
- Le problème de la neutralité et la Première Guerre mondiale
- Identité et nationalisme : L’image, le messianisme, la « conquête »
- Conclusion
- Les concepts
- Quelle exigence démocratique ?
- Libéralisme économique et capitalisme
- L’histoire
- Gironde et Montagne
- Les Manchestériens
- Débats « fin de siècle »
- Small is beautiful
- « L’État-providence »
- Le débat
- La grande offensive libérale
- La démocratie minimaliste, ou démocratie censitaire
- Mondialisation et dérégulation des marchés financiers
- Un nouveau totalitarisme ?
- Retour à l’exigence démocratique
Deuxième partie. Hommage à Bertrand de Lafargue
John Peter Collett
Une révolution ratée en Norvège (1790-1794) ?- Les grands marchands à Christiania – un noyau d’opposition ?
- Un soulèvement armé en Norvège aidé par la Suède ?
- Une élite norvégienne divisée et hésitante
- Mécontentements norvégiens et revendications institutionnelles
- Un champ public s’ouvre : le patriotisme
- La campagne en faveur d’une université nationale – un nouveau moment révolutionnaire
- Le projet d’une université norvégienne : une campagne politique ratée
Kai Østberg
La France révolutionnaire. Modèle et image d’horreur en Scandinavie de 1789 à 1871- La Suède de Gustave III : La Révolution comme prérogative royale
- Le Danemark-Norvège : une monarchie absolue, mais libérale, se laisse enfin effrayer par la Révolution française
- 1814-1848 : Les progrès du libéralisme, ses variantes radicales et conservatrices
- 1848 : Nationalisme, socialisme et réaction
- La Commune de Paris : L’image de l’horreur prend le dessus
- Les effets des « guerres de principes » français – en résumé et en perspective
Kåre Tønnesson
La Norvège libre et sa constitution de 1814 : fruit de la Révolution et des ambitions de BernadotteJean-Marc Olivier
Aux origines de la prospérité scandinave : le règne de Jean-Baptiste Bernadotte devenu Charles XIV Jean de Suède-Norvège (1810-1844)- Naissance du double royaume de Suède-Norvège
- Le renoncement suédois à la Finlande : un tournant décisif dans l’histoire nordique
- Le renversement des alliances
- La campagne victorieuse de 1813 contre Napoléon
- 1814 : l’année décisive en Norvège
- L’ère de la neutralité et de la paix prolongée
- La recherche d’un développement économique et social durable
- Dette et stabilisation monétaire
- Ravitailler le pays grâce aux progrès agricoles
- Primauté du commerce et des transports selon Charles Jean
- Encourager l’art du fer et l’exploitation des forêts
- Un bilan économique magnifié
Jean-François Berdah
La Baltique au regard des voyageurs européens au XIXe siècle. Une contribution à l’histoire régionalePatrick Cabanel
Livre, école et nation : la Suède du Merveilleux voyage de Nils Holgersson (1906-1907)Maurice Carrez
L’année 1917 en Finlande : une inconnue ?Jean-Paul Depretto
La protestation ouvrière en URSS (1918-1929)Hubert Bonin
Toulouse, place bancaire (dans l’entre-deux-guerres) ?- 1. Une économie bigarrée
- 2. Le temps des maisons de banque
- A. Un paysage bancaire traditionnel
- B. Crise et adaptation
- Klehe au sein de la Banque privée
- Courtois vers un modèle de banque « moderne » ?
- 3. Une révolution : une grande banque moderne à Toulouse ?
- A. La création de la Société toulousaine de Cic
- B. Des doutes sur le sort de la Société toulousaine
- C. La Société toulousaine intégrée à la Société bordelaise : une défaite de la place de Toulouse ?
- D. Un embryon de banque « moderne », le Crédit Agricole mutuel
- Conclusion
Albert Broder
Banque allemande et banque française, 1860-1930. Une réponse différentielle aux réalités de l’économie nationale ?- Environnement des systèmes avant 1914
- Évolution du rôle de la banque dans la structuration de l’économie allemande (avec quelques échappées sur la France)
- Avant 1914
- Répartition du risque bancaire dans l’électrotechnique allemande en 1900
- De la guerre à la crise, 1914-1929
- La question allemande et le canal américain
- Les modifications dans le comportement des banques allemandes.
- Les filiales autonomes à l’extérieur
- Transformation et adaptation des méthodes dans les relations extérieures de la banque allemande
- La France entre stabilité et changement
- La question du rôle de la banque dans l’industrie
- Les activités extérieures de la banque française
- L’emprunt à long terme dans les pays tiers.
- Le problème de l’acceptation dans le contexte des échanges extérieurs.
- Remarques en guise de conclusion ouverte