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La fabrique d’un révolutionnaire, Otto Wilhelm Kuusinen (1881-1918)

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Maurice Carrez

Remerciements

Texte intégral

1Cet ouvrage est issu du manuscrit original que j’ai présenté en octobre 2006 pour une habilitation à diriger des recherches devant un jury composé de madame la professeure Marie-Pierre Rey et messieurs les professeurs Risto Alapuro, Patrick Chariot, Jean-Paul Depretto, Antti Kujala et Serge Wolikow qui ont bien voulu, dans leur mansuétude, m’adresser leurs félicitations.

2Au cours des quinze ans durant lesquels il a pris forme, la liste de ceux dont je suis redevable s’est allongée. Ayant tous, à un titre ou à un autre, participé à l’élaboration de ce travail, je voudrais ici leur apporter l’expression de toute ma gratitude.

3A tout seigneur tout honneur, je souhaite rendre hommage aux personnels des centres d’archives que j’ai fréquentés en Finlande, tout particulièrement à ceux des Archives ouvrières et des Archives du Peuple. Leur disponibilité et leur gentillesse ont été un régal pour moi et un encouragement permanent à poursuivre.

4J’aimerais redire aussi à Pertti Haapala, Risto Alapuro, Antti Kujala, Seppo Hentilä, Tuomo Olkkonen, Pauli Kettunen et Tauno Saarela combien leur rôle dans ce travail a été important. Ils m’ont non seulement stimulé de leurs conseils ou aidé dans mes démarches, mais ont eu aussi la patience d’écouter mes longs soliloques, ce qui n’est pas une mince affaire. Merci aussi à Kirsti Steibel pour son judicieux apport en matière de langue suédoise.

5J’ai trouvé aussi, au sein de l’I.H.C. de Dijon et de l’UMR Georges Chevrier, une atmosphère propice au dépassement de soi. C’est un cadeau dont j’apprécie a posteriori la valeur. Les techniciens du centre, en particulier Lilian Vincendeau ete Hedi Mazzaoui, ont été d’une patience angélique pour m’expliquer les arcanes de l’informatique. Serge Wolikow a su, pour sa part, en tant que directeur d’habilitation, me laisser une grande liberté. Je l’en remercie bien volontiers.

6J’ai une grande dette par ailleurs envers Jean-Marc Olivier et Jean-François Berdah avec qui nous essayons au jour le jour de gérer la Revue d’Histoire Nordique. Leurs encouragements et leur enthousiasme m’ont redonné ces dernières années du baume au cœur. Je ne saurais assez leur signifier ma reconnaissance. C’est grâce à eux que j’ai pu devenir membre associé de FRAMESPA et trouver la maison d’édition qui a accepté de prendre un aussi long manuscrit, cadeau formidable dans le monde d’aujourd’hui où il faut toujours raccourcir pour satisfaire des lecteurs trop pressés.

7Les collègues juristes qui m’accueillent chaque midi à leur table depuis longtemps ont contribué, pour leur part, au maintien de la flamme car leur drôlerie et leur sens de la fraternité sont de précieux adjuvants dans les moments de doute.

8Je ne voudrais pas oublier non plus dans cet hommage Patrick Charlot, Marie-Pierre Rey et Jean-Paul Depretto qui ont eu, en dépit de leurs obligations multiples, la grande gentillesse de lire les centaines et centaines de pages que je leur ai envoyées quelques semaines avant l’échéance. Ce n’était pas une sinécure, j’en suis conscient, mais ils ont accompli ce pensum avec un sérieux qui les honore.

9Quant à ceux enfin qui partagent ma vie, ma famille, mes proches, mes vieux amis de France ou de Finlande, ils savent ce que j’ai souffert pour arriver au bout de cette entreprise. C’est leur amour et leur affection qui m’ont permis d’avancer envers et contre tout. Beaucoup d’entre eux ne liront sans doute jamais ce livre, mais ils sont pourtant, sans le savoir, ses artisans associés.

10L’auteur

© Presses universitaires du Midi, 2008

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