Le pouvoir dans la Bonne Ville
Les consuls de Rodez sous l’Ancien Régime
Ils sont quatre dans le Bourg et quatre dans la Cité. À eux huit, ils gouvernent Rodez sous l’Ancien Régime. Unis par des liens politiques, familiaux et amicaux, les consuls tissent la toile d’une trentaine de lignages qui se retrouvent régulièrement à la tête du pouvoir municipal. Ainsi, leurs sphères publique et privée se confondent-elles pour le bien et l’honneur de la capitale du Rouergue.
Comment ces Ruthénois entrent-ils dans la Maison de Ville ? Comment s’y maintiennent- ils ? Q...
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- Éditeur : Presses universitaires du Midi, Société des lettres, sciences et arts de l’Aveyron
- Collection : Méridiennes
- Lieu d’édition : Toulouse
- Année d’édition : 2000
- Publication sur OpenEdition Books : 01 septembre 2020
- EAN (Édition imprimée) : 978-2-912025-04-3
- EAN électronique : 978-2-8107-0994-6
- DOI : 10.4000/books.pumi.26986
- Nombre de pages : 645 p.
Première partie. Anatomie du pouvoir consulaire
Deuxième partie. Le consulat en actions
Troisième partie. Les consuls en famille
Pièces justificatives
Quelques jalons pour une bonne lecture de la grille
Les termes de langue d’oc, les plus nombreux, sont inscrits en italiques
Ils sont quatre dans le Bourg et quatre dans la Cité. À eux huit, ils gouvernent Rodez sous l’Ancien Régime. Unis par des liens politiques, familiaux et amicaux, les consuls tissent la toile d’une trentaine de lignages qui se retrouvent régulièrement à la tête du pouvoir municipal. Ainsi, leurs sphères publique et privée se confondent-elles pour le bien et l’honneur de la capitale du Rouergue.
Comment ces Ruthénois entrent-ils dans la Maison de Ville ? Comment s’y maintiennent- ils ? Quelles sont les formes et les représentations du pouvoir municipal ? Quel est le poids de l’État dans le jeu et les enjeux politiques de ces notables de province ? Tel est le premier objet de ce livre, côté cour. Côté jardin, l’auteur nous invite à pénétrer dans l’intimité des familles, à l’intérieur de leurs belles demeures, en ville comme aux champs, afin de les regarder vivre et de mieux comprendre les formes de la sociabilité patricienne dans une petite ville de province.
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