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Et Toulouse pour apprendre

 | 
Marielle Mouranche

L’université dans la société

L'université dans la ville

Texte intégral

Les bâtiments

• Du Moyen Âge au xixe siècle : le quartier latin de Toulouse

1Jusqu'au xvie siecle, l'université proprement dite ne dispose par de locaux réservés a son usage. L'enseignement, les réunions, les examens se tiennent dans des couvents, des églises ou des salles louées par les maîtres, dans le bourg, dans un périmètre étroit proche de la basilique Saint-Sernin. Les seuls bâtiments spécifiques fréquentés par les étudiants sont les collèges, qui offrent à certains d'entre eux le gîte et le couvert. La notion de bâtiment universitaire, à la charge de la ville, apparaît au xvie siècle. En 1516, suite aux demandes de l'université de Toulouse, le parlement ordonne à la ville de construire six « escoles » pour la faculté de Droit, qui ne sont achevées qu'en 1522. Les locaux, légèrement remaniés, seront utilisés jusqu'à la fin du xviiie siècle. À proximité immédiate, la faculté de Médecine dispose également au début du xvie siècle d'un bâtiment, restauré en 1600. L'enseignement de la faculté des Arts se donne au collège de l'Esquille, puis dans une salle de la faculté de Droit et au collège jésuite.

91 Description de la métropolitaine ville de Toulouse université et siège du parlement de Languedoch, 1645. Plan gravé sur cuivre par Boisseau.
Les « escoles » sont signalées par les numéros 15 à 19.
AMT ii674

92 Arrêt du parlement de Toulouse ordonnant aux capitouls de construire six écoles dans la rue Valade. 1516. Registre papier.
ADHG 1 B 16

Les bâtiments

• Le xixe siècle : début de l’extension du périmètre universitaire

2Au début du xixe siècle, l'installation des écoles et facultés se fait avec difficulté et souvent de façon insatisfaisante. L'école de Droit est la première à trouver un emplacement stable, dans ses anciens locaux de la rue de l'Université, avec quelques transformations vu leur état de délabrement déjà patent à la fin du xviiie siècle. L’école de Médecine retrouve également ses bâtiments d'Ancien Régime, bien trop étroits, jusqu'aux années 1830. La municipalité, craignant les risques de maladies que pouvaient engendrer les études anatomiques, l'installe dans un quartier moins peuplé, le faubourg Saint-Michel.

93 L'école de Droit : « Plan de l’ancienne université de Droit avec les constructions projetées ». 1807. Dessin aquarellé (planche 2).
ADHG PG 284 [2]

94 « École de médecine et jardin des plantes ». Lithographie de Delor d'après un dessin de Perrin, dans : Jean Mamert CAYLA et Cléobule PAUL. Toulouse monumentale et pittoresque. 28e livraison. Toulouse, J-B. Paya, [1842 ?].
BUA, SCDT1, Resp Pf xix

3Les facultés des Lettres et des Sciences sont les plus mal logées : elles se partagent tant bien que mal plusieurs salles du lycée, rue Lakanal, et les divers projets de déménagement n’aboutissent que pour les Lettres, installées en 1853 rue de Rémusat, dans l'ancien hôtel du Sénéchal.

4Il faut attendre le dernier tiers du xixe siècle pour que Toulouse bénéficie de locaux universitaires satisfaisants. La ville, passant des conventions avec l'État, entreprend une série de constructions nouvelles, dans la lignée des « palais universitaires » construits à l'époque dans les grandes villes françaises. Elle choisit de doter chaque faculté d'un bâtiment propre, avec quelques services communs à plusieurs facultés, comme les bibliothèques ou des salles d’examen.

5La faculté de Droit est réaménagée et complétée par de nouveaux locaux entre 1878 et 1883. C’est ensuite le tour de la faculté des Sciences, dont les nouveaux bâtiments sont construits sur les allées Saint-Michel (actuellement Jules-Guesde] entre 1885 et 1889. La faculté de Médecine, mitoyenne, est inaugurée par le président Sadi Carnot en 1891. Les enseignements de pharmacie occupent alors les locaux laissés vacants, avant de bénéficier au début du xxe siècle de la construction d'une annexe de la nouvelle faculté de Médecine. Un nouveau quartier universitaire est ainsi édifié dans le faubourg Saint-Michel, caractérisé par des bâtiments au caractère monumental. Le dernier édifice est celui de la faculté des Lettres, construit à côté de la faculté de Droit et achevé en 1892.

95 « Hôtel St Jean proposé par Mr Arzac pour le logement des facultés » [des Sciences et des Lettres]. 1838. Lithographie de Gurzac.
BUA, SCDT1 Resp Pf pl 130588

96 Les facultés de Médecine et de Sciences, sur les allées Saint-Michel, au début du xxe siècle. Carte postale.
AMT 9F1923

97 Les facultés de Droit et des Lettres, rue de [Université, au début du xxe siècle. Carte postale, éditions Bayard.
AMT 9Fi6186

Les bâtiments

• Le xxe siècle : la dispersion

6Les constructions de la fin du xixe siècle, pourtant considérées à l'époque par certains comme démesurées, deviennent insuffisantes dès le début du xxe siècle face à la diversification des enseignements et à l'accroissement des effectifs. Quelques agrandissements peuvent avoir lieu sur place, mais des constructions nouvelles se succèdent également, dans divers endroits de la ville, au gré des possibilités foncières : institut d’Électrotechnique rue Riquet (1909), institut agricole, devenu ENSAT, dans le quartier de la Croix de Pierre (1948), institut de Chimie dans le faubourg Saint-Michel (1920), institut d'Études politiques à côté de la faculté de Droit (1949). Mais, dans les années 1960, toutes les facultés étouffent dans leurs locaux et les doyens soumettent à l'État des projets de constructions nouvelles. Le premier à aboutir sera celui de la faculté des Sciences qui s'installe progressivement, à partir de 1962, dans un très vaste campus situé à Rangueil sur des terrains très peu densément peuplés. Une partie de la faculté de Médecine la rejoint en 1969. Dans la décennie suivante, la nouvelle faculté des Lettres, dont le plan général est approuvé en 1968, s’installera quant à elle dans le quartier du Mirait nouvellement aménagé. Le Droit et l'Économie resteront en centre-ville.

98 Vue aérienne du quartier de Rangueil à la fin des années 1960. Photographie.
ADHG 26 Fi 31555 TP 3222

Les professeurs dans la ville

7Après la période difficile des débuts de l'université, les relations entre les professeurs de l'université de Toulouse ont parfois été conflictuelles, mais au total, l'université a toujours été plutôt bien intégrée aux institutions toulousaines.

8Au Moyen Âge, beaucoup de maîtres de la faculté de Droit siègent au parlement de Toulouse, jusqu'à ce qu'un arrêt de la fin du xvie siècle interdise le cumul de l'enseignement et de la profession d’avocat, ce qui n'empêche pas les liens de persister. Plusieurs professeurs exercent les fonctions de capitoul, comme Antoine Dumay (1601), François de Boutaric (1707 et 1710). Mais les relations avec la ville peuvent être aussi très conflictuelles, le plus souvent pour des questions d'exemptions fiscales, ou pour défendre le « for ecclésiastique » qui soustrait les membres de l’université à la juridiction laïque.

99 Procès opposant la ville de Toulouse et l’université suite aux contestations sur le paiement de la cotisation levée pour l'entrée du roi à Toulouse. 1536. Recueil factice de 10 pièces.
AMT FF92

9À partir du xixe siècle, les professeurs de l'université sont souvent parfaitement intégrés dans la vie locale. Ils sont massivement présents dans les sociétés savantes toulousaines : Jeux floraux, société des Sciences, Inscriptions et Belles-lettres... On les retrouve également au sein des œuvres de bienfaisance ou dans l'administration d’établissements locaux. Les médecins en particulier jouent un rôle essentiel dans les hôpitaux de la ville. Certains sont également présents dans la vie politique locale et de nombreux professeurs ont été maires ou conseillers : Picot de Lapeyrouse, Gatien-Arnoult, Huc, Jaurès, Ourliac... Parallèlement, la municipalité est présente dans les grands moments de la vie universitaire toulousaine, finance un certain nombre d'enseignements, a un rôle déterminant dans la création de certains instituts et prend en charge, jusqu’aux premières décennies du xxe siècle, l'essentiel des locaux.

100 Enveloppe à l'emblème de ta revue Lo gai saber, appartenant à Henri Duméril, professeur à ta faculté des Lettres à partir de 1892, mainteneur des jeux floraux.
BUA, SCDT1 nc

101 ACADÉMIE DES JEUX FLORAUX. Rapport sur le concours des prix de vertu, lu... par M. Joseph Bressoles. Toulouse, É. Privat, 1903. Ex. dédicacé à A. Rodière.
BUA, SCDT1 Resp pf pl B 622

102 Affiche pour le recrutement d'un chef de clinique d'obstétrique. 1924.
ADHG 3310 W102

103 Portrait de Gatien-Arnoult. Lithographie, Victor Delarue, [1848 ?].
Gatien Arnoult (1800-1886) a été professeur de philosophie à la faculté des Lettres à partir de 1831, mainteneur des Jeux floraux, secrétaire perpétuel de l'académie des Sciences, député de la Haute-Garonne, conseiller municipal, maire de Toulouse...
BUA, SCDT1 Resp Pf Est

Les étudiants dans la ville

• La vie quotidienne

10Le problème du logement des étudiants non toulousains s’est posé dès le Moyen Âge : la bulle de Grégoire IX d'avril 1233 stipule déjà que « les citoyens toulousains disposant de maisons vacantes sont tenus de loger les étudiants en les louant à un prix convenable ». Quatre taxateurs sont chargés de fixer le prix des loyers. Des fondations charitables, les collèges, offrent également le gîte et le couvert aux étudiants pauvres : apparus relativement tard à Toulouse (le premier collège durable ne date que de 1329), ils connaissent un grand développement à partir du milieu du XIVe siècle. Étroitement associés à l'université dès l'origine, ils prennent de plus en plus d’importance en son sein à partir du milieu du xve siècle. Ils évoluent profondément aux xvie et xviie siècles : certains disparaissent, certains restent de simples maisons pour étudiants boursiers (« petits collèges »), d’autres assurent l'enseignement des humanités jusqu'à la philosophie (« collèges de plein exercice »).

104 Vue perspective du collège de Mirepoix. Début xxe siècle.
Aquarelle par André Monserié. Restitution du collège de Mirepoix fondé en 1417,
actuellement disparu.
MVT cat. 427

11Au xixe siècle et durant plusieurs décennies au xxe siècle, le logement chez l'habitant ou dans de petites pensions est quasiment la seule solution offerte aux étudiants, ce qui offre un revenu d'appoint à de nombreux Toulousains, surtout dans l'« hypercentre », comme le révèle une enquête de 1883. Cette indépendance effraie de nombreux parents et quelques internats privés voient le jour, comme l’école auxiliaire de droit fondée avec le soutien de la faculté de Droit pour encadrer les étudiants « jetés dans une grande ville » et « exposés à mal user de cette extrême liberté ».

105 Caricature de ta logeuse dans : L'Écho des étudiants de Toulouse, 9e année, no 58, janvier 1934.
BUA, SCDT1 86866

12Il faut ensuite attendre le xxe siècle pour que les instances publiques organisent des structures collectives pour les étudiants. En 1920, l'université de Toulouse soutient la création d'une Maison des étudiantes, l'une des premières en France. Installée rue du Taur, elle propose 25 puis 80 chambres, un jardin et un terrain de tennis. En 1940,400 étudiants français et étrangers sont logés dans des bâtiments à Papus, qui sont incendiés en 1944. Un projet de reconstruction sur place est envisagé, mais au début des années 1950, c'est le site de l'île du Ramier qui est choisi. L’action du doyen de la faculté des Lettres Daniel Faucher et du recteur Paul Dottin est décisive.

13Une société HLM de l'université est créée pour réaliser le projet, bientôt relayée par le CROUS (centre régional des Œuvres universitaires) : la première tranche est livrée fin 1954, l’ensemble n’est achevé qu'en 1967, offrant plus de 1500 chambres.

106 Pétition de membres de ta Maison des étudiantes à sa directrice sur le projet de permettre l'accès du terrain de tennis aux étudiants. 1925 AUT1 NC

107 Cité universitaire Daniel Faucher. Un des deux bâtiments construits en 1954 par Robert-Louis Vialle. Photographie d’Annie Noé-Dufour.
SCP, RMP

14La restauration collective est également longue à se mettre en place. Une Maison des étudiants, avec restaurant et salle de réunion, ouvre en 1924. En 1948, un restaurant universitaire est mis en place rue des Lois (dans la salle capitulaire du couvent des Cordeliers], et fonctionne jusqu'en 1974. D'autres restaurants suivront comme celui du Clos normand, géré par l'AGETUNEF à partir de 1956, ou celui de Notre-Dame.

109 Restaurant universitaire de la rue des Lois, vers 1960 (dans la salle capitulaire du couvent des Cordeliers). Photographie. CROUST

108 Plateau de restaurant universitaire en métal. Vers 1950.
CROUST

110 Tract d'appel à la grève contre le budget voté pour les universités, notamment pour réclamer plus de cités, plus de restaurants universitaires et plus de bourses. Février 1954.
ADH G 2559 W 33

Les étudiants dans la ville

• Les loisirs

15La sociabilité étudiante, surtout à partir du xixe siècle, évoque des clichés qui tendent à associer les étudiants à l'image d'un farniente permanent. Même s’il faut se garder des généralités, il est juste de dire que les loisirs occupent une grande part de la vie estudiantine. Les tavernes, puis les cafés, restent, à Toulouse comme ailleurs, des lieux incontournables : simples lieux de rencontres ou théâtre de fêtes mémorables comme la « Nuit de l'existentialisme » organisée par l'association des Étudiants de Toulouse en 1948 et animée par Boris Vian. Le goût pour la danse est également une constante avec, bien entendu, une évolution des genres selon les modes. En revanche, la fréquentation assidue des théâtres et des concerts est surtout marquante dans la première moitié du xixe siècle.

111 Publicités pour des bars toulousains dans l'Écho des étudiants de Toulouse, février-mars 1940.
BUA, SCDT1 86866

112 La nuit de l’existentialisme, soirée organisée par l’AGET en 1949, animée par Boris Vian. Étudiants posant avec un modèle des Beaux-arts. Photographie de Jean Dieuzaide. 1949.

16Les étudiants participent aussi aux réjouissances publiques de ta ville, ou même les organisent. Au tournant des xixe et xxe siècles, les fêtes de chanté de la ville, associées au carnaval depuis 1860, sont organisées par l'association des Étudiants de Toulouse. Elles donnent lieu à toute une série de réjouissances - retraites aux flambeaux, cavalcades, batailles de fleurs et de confetti, corridas de toros, matchs de football, courses de bicyclettes et bien entendu nombreux bals et concerts - détaillées dans des programmes illustrés par des amateurs et financés par de très nombreuses publicités. Le carnaval sera ressuscité en 1934 par l'AGET, en lien avec le comité des fêtes de la ville. En 1949, l'AGET organise encore un toro de fuego sur la place du Capitole.

113 Affiche pour tes fêtes de charité des étudiants de Toulouse de 1913 par Georges Andoni.
CAMT, AF 3404

114 Programme officiel des fêtes de charité des étudiants de Toulouse en 1913. Toulouse, Imprimerie J. Baylac

17Le sport est aussi une composante essentielle des loisirs estudiantins à partir de la fin du xixe siècle. Les étudiants toulousains sont d'ailleurs à l’origine d’un des emblèmes de la ville de Toulouse : le Stade toulousain, né en 1907 de la fusion du SOET (stade olympien des Étudiants de Toulouse) et de l’USEV-Véto sport. Le SOET est créé en mars 1896 par des étudiants de l’université pour pratiquer plusieurs disciplines, mais c'est le rubgy qui rencontre le plus de succès. En maillot rouge et écharpe noire, l’équipe s'entraîne sur la Prairie des Filtres. En 1906, Charles Audry, médecin à l’Hôtel-Dieu, devient co-président du club avec Ernest Wallon, professeur de droit à l’université. En 1927 est formé le TUC (Toulouse université club), club sportif universitaire avec plusieurs sections qui utilise les installations sportives du Bazacle, puis le stade Hunziger à partir de 1941. Les salles privées profitent de cette clientèle jeune et certaines n’hésitent pas à ouvrir des séances spéciales pour les étudiants ou les étudiantes.

115 Photographie du Stade olympien des étudiants de Toulouse, sur le terrain du Sport athlétique bordelais, en 1906.
STR

116 Publicité pour le gymnase Bayrou dans l'Écho des étudiants de Toulouse, no 42, déc. 1931.
BUA, SCDT1 86866

Les étudiants dans la ville

• Une présence parfois conflictuelle

18Les étudiants toulousains ont depuis le Moyen Âge la réputation d'être particulièrement turbulents, et même violents, ce qui ne manque pas de perturber la vie locale. Rabelais écrit dans un passage célèbre de Pantagruel : « Pantagruel vint à Toulouse, où apprit fort bien à danser et à jouer de l’épée à deux mains, comme est l'usance des écoliers de ladite université ». Les rixes sont innombrables et dégénèrent parfois, comme lors de l'affaire Aimery Bérenger en 1332 où un capitoul qui tente de rétablir le calme lors d'un chahut est molesté par le serviteur d'un étudiant que les capitouls font exécuter peu après. Jusqu'au xviie siècle, d'innombrables ordonnances viennent rappeler en vain l'interdiction du port de l'épée pour les étudiants.

117 Audition de témoins dans l'affaire Aimery Béranger. 1332. Dans une copie contemporaine des pièces du procès. Registre papier.
AMT FF57

19Dans les premières décennies du xixe siècle, ['université reçoit encore des plaintes pour les perturbations semées dans la ville par les étudiants, notamment dans les théâtres ou lors de rares manifestations politiques. Puis les choses se calment et l'agitation étudiante - en dehors des manifestations politiques - relève plus du folklore.

118 Affichette manuscrite appelant à un rassemblement étudiant au pré des « Sept Deniers ». 29 mars 1740. Affiche enlevée de la porte de la faculté de Médecine et rapportée aux capitouls.
AMT FF540

119 Arrêt du parlement renouvelant, sous peine de mort, l'interdiction de réunion et du port de l'épée des étudiants de l’université de Toulouse suite au rassemblement du pré des « Sept Deniers ». Affiche.
AMT AA304/10

Table des illustrations

Légende 91 Description de la métropolitaine ville de Toulouse université et siège du parlement de Languedoch, 1645. Plan gravé sur cuivre par Boisseau.Les « escoles » sont signalées par les numéros 15 à 19.AMT ii674
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-1.jpg
Fichier image/jpeg, 230k
Légende 92 Arrêt du parlement de Toulouse ordonnant aux capitouls de construire six écoles dans la rue Valade. 1516. Registre papier.ADHG 1 B 16
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-2.jpg
Fichier image/jpeg, 29k
Légende 93 L'école de Droit : « Plan de l’ancienne université de Droit avec les constructions projetées ». 1807. Dessin aquarellé (planche 2).ADHG PG 284 [2]
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-3.jpg
Fichier image/jpeg, 84k
Légende 94 « École de médecine et jardin des plantes ». Lithographie de Delor d'après un dessin de Perrin, dans : Jean Mamert CAYLA et Cléobule PAUL. Toulouse monumentale et pittoresque. 28e livraison. Toulouse, J-B. Paya, [1842 ?].BUA, SCDT1, Resp Pf xix
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-4.jpg
Fichier image/jpeg, 88k
Légende 95 « Hôtel St Jean proposé par Mr Arzac pour le logement des facultés » [des Sciences et des Lettres]. 1838. Lithographie de Gurzac.BUA, SCDT1 Resp Pf pl 130588
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-5.jpg
Fichier image/jpeg, 51k
Légende 96 Les facultés de Médecine et de Sciences, sur les allées Saint-Michel, au début du xxe siècle. Carte postale.AMT 9F1923
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-6.jpg
Fichier image/jpeg, 96k
Légende 97 Les facultés de Droit et des Lettres, rue de [Université, au début du xxe siècle. Carte postale, éditions Bayard.AMT 9Fi6186
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-7.jpg
Fichier image/jpeg, 41k
Légende 98 Vue aérienne du quartier de Rangueil à la fin des années 1960. Photographie.ADHG 26 Fi 31555 TP 3222
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-8.jpg
Fichier image/jpeg, 96k
Légende 99 Procès opposant la ville de Toulouse et l’université suite aux contestations sur le paiement de la cotisation levée pour l'entrée du roi à Toulouse. 1536. Recueil factice de 10 pièces.AMT FF92
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-9.jpg
Fichier image/jpeg, 71k
Légende 100 Enveloppe à l'emblème de ta revue Lo gai saber, appartenant à Henri Duméril, professeur à ta faculté des Lettres à partir de 1892, mainteneur des jeux floraux.BUA, SCDT1 nc
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-10.jpg
Fichier image/jpeg, 49k
Légende 101 ACADÉMIE DES JEUX FLORAUX. Rapport sur le concours des prix de vertu, lu... par M. Joseph Bressoles. Toulouse, É. Privat, 1903. Ex. dédicacé à A. Rodière.BUA, SCDT1 Resp pf pl B 622
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-11.jpg
Fichier image/jpeg, 22k
Légende 102 Affiche pour le recrutement d'un chef de clinique d'obstétrique. 1924.ADHG 3310 W102
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-12.jpg
Fichier image/jpeg, 38k
Légende 103 Portrait de Gatien-Arnoult. Lithographie, Victor Delarue, [1848 ?].Gatien Arnoult (1800-1886) a été professeur de philosophie à la faculté des Lettres à partir de 1831, mainteneur des Jeux floraux, secrétaire perpétuel de l'académie des Sciences, député de la Haute-Garonne, conseiller municipal, maire de Toulouse...BUA, SCDT1 Resp Pf Est
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-13.jpg
Fichier image/jpeg, 25k
Légende 104 Vue perspective du collège de Mirepoix. Début xxe siècle.Aquarelle par André Monserié. Restitution du collège de Mirepoix fondé en 1417,actuellement disparu.MVT cat. 427
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-14.jpg
Fichier image/jpeg, 72k
Légende 105 Caricature de ta logeuse dans : L'Écho des étudiants de Toulouse, 9e année, no 58, janvier 1934.BUA, SCDT1 86866
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-15.jpg
Fichier image/jpeg, 92k
Légende 106 Pétition de membres de ta Maison des étudiantes à sa directrice sur le projet de permettre l'accès du terrain de tennis aux étudiants. 1925 AUT1 NC
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-16.jpg
Fichier image/jpeg, 79k
Légende 107 Cité universitaire Daniel Faucher. Un des deux bâtiments construits en 1954 par Robert-Louis Vialle. Photographie d’Annie Noé-Dufour.SCP, RMP
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-17.jpg
Fichier image/jpeg, 262k
Légende 109 Restaurant universitaire de la rue des Lois, vers 1960 (dans la salle capitulaire du couvent des Cordeliers). Photographie. CROUST
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-18.jpg
Fichier image/jpeg, 210k
Légende 108 Plateau de restaurant universitaire en métal. Vers 1950.CROUST
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-19.jpg
Fichier image/jpeg, 48k
Légende 110 Tract d'appel à la grève contre le budget voté pour les universités, notamment pour réclamer plus de cités, plus de restaurants universitaires et plus de bourses. Février 1954.ADH G 2559 W 33
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-20.jpg
Fichier image/jpeg, 197k
Légende 111 Publicités pour des bars toulousains dans l'Écho des étudiants de Toulouse, février-mars 1940.BUA, SCDT1 86866
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-21.jpg
Fichier image/jpeg, 111k
Légende 112 La nuit de l’existentialisme, soirée organisée par l’AGET en 1949, animée par Boris Vian. Étudiants posant avec un modèle des Beaux-arts. Photographie de Jean Dieuzaide. 1949.
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-22.jpg
Fichier image/jpeg, 53k
Légende 113 Affiche pour tes fêtes de charité des étudiants de Toulouse de 1913 par Georges Andoni.CAMT, AF 3404
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-23.jpg
Fichier image/jpeg, 397k
Légende 114 Programme officiel des fêtes de charité des étudiants de Toulouse en 1913. Toulouse, Imprimerie J. Baylac
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-24.jpg
Fichier image/jpeg, 146k
Légende 115 Photographie du Stade olympien des étudiants de Toulouse, sur le terrain du Sport athlétique bordelais, en 1906.STR
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-25.jpg
Fichier image/jpeg, 177k
Légende 116 Publicité pour le gymnase Bayrou dans l'Écho des étudiants de Toulouse, no 42, déc. 1931.BUA, SCDT1 86866
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-26.jpg
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Légende 117 Audition de témoins dans l'affaire Aimery Béranger. 1332. Dans une copie contemporaine des pièces du procès. Registre papier.AMT FF57
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-27.jpg
Fichier image/jpeg, 91k
Légende 118 Affichette manuscrite appelant à un rassemblement étudiant au pré des « Sept Deniers ». 29 mars 1740. Affiche enlevée de la porte de la faculté de Médecine et rapportée aux capitouls.AMT FF540
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-28.jpg
Fichier image/jpeg, 245k
Légende 119 Arrêt du parlement renouvelant, sous peine de mort, l'interdiction de réunion et du port de l'épée des étudiants de l’université de Toulouse suite au rassemblement du pré des « Sept Deniers ». Affiche.AMT AA304/10
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/20922/img-29.jpg
Fichier image/jpeg, 181k

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