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Vicomtes et vicomtés

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Hélène Débax

Annexes

Les Murat, « dits vicomtes » et vicomtes

Jean-Luc Boudartchouk

Texte intégral

ANNEXE 1

1. La charte de Bredons (1059-début 1066)

1[Édition Axel Müssigbrod, Die Abtei Moissac 1050-1150. Zu einem Zentrum Cluniacensischen Mönchtums in Südwestfrankreich, München, 1988, p. 205-206, ex. BnF, Coll. Doat 128, f. 94r-96r].

2« Donation faite par Guillaume de Murato Castello Vicomte au monastère de Clugni, et a Durand abbé de Moissac de l’Église appelée Bredoms fondée a l’honneur de St. Pierre, de St Paul, et de Thimotée son disciple au pays d’Auuergne pour l’ame de Girbert son Pere de sa mere et de Pierre son frere]

  • 1 Edouard de Dienne a transcrit, pourtant d’après le même document [« Transcription du XVIIe siècle (...)

3Ab hodierno die et deinceps omnes in quorum manibus haec notatio meæ cessionis deuenerit scire fideliter volo, quod ego Wilelmus de Murato Castello Vicecomes nominatus1 cedo Christo Domino Deo et sanctis ejus apostolis Petro et Paulo ac Cluniacensium loco celeberrimo illam ecclesiam quæ Bredoms vocatur vulgari vocabulo, quæ est fundata in honore eorumdem apostolorum Petri et Pauli, et eius discipuli Thimotei in pago aruernico quam etiam hactenus Bernardus Henrici, et Pater ejus, atque omnes genealogia eius de me, vel de ante prædecessoribus meis in feuum tenuerunt. Totam ergo ecclesiam intrinsecus et extrinsecus, et quidquid ad illius Ecclesiæ ius attinet sicut idem Bernardus Heinrici dimisit in exitus sui die vltimo fratri suo Duranno Abbati simul et Episcopo Tholosanæ Ecclesiæ, præfato Cluniacensium Loco dono tali tenore, vt quamdiu prædictus Durandus Moisiacensium Abbas vixerit subditam loco sancti Petri Monasterio Moisiaco tenen possideat, et fructu illius vtens habeat. Post suum vero decessum similiter per ipsam conuenientiam omnes successores illius abbates, et Monachi præfati monasterii sancti Petri Moisiacensis, quamdiu fideli vixerint devotione, seu juncti fuerint loco Cluniensi vbi nunc Domnus Hugo Abba uidetur officium abbatis tenere habentes possideant, et absque vlla contradictione cuiuscumque successoris mei teneant. Istud autem donum taliter constrictum permanere volo, vt numquam homines de illorum parentibus qui hactenus præfatam Ecclesiam habuerunt in feuum attemptare præsumant ibi facere Castellum, aut turrim, aut vllum munimen, quod pro arce habeatur, nisi sola Ecclesia. Si vero quod absit me prohibente fuerit mandans præcipio successori meo quicumque fuerit ille, vt tamdiu causam contradicat donec prædicti Monasterii Moysiacensis monachis stabilitum, atque ad habitandum habilem restituat locum, et illuc dei seruitium pro cuius amore ista constituo pro anima Patris mei Girberti, et matris meæ, et fratris mei Petri, ac mea iugiter facere fatigat, vt autem cessio mea hæc firma perpetuo maneat, me qui hanc paginam firmaui subtiliter inserendo scribere mandaui, et eos in quorum testimonio et præsentia stipulaui annectere jussi. Signum Willelmi vicecomitis. Signum Duranni Abbatis simul et Pontificis, cuius probitate ac industria facta sunt haec. Signum Stephani Henrici. Signum Bernardi fratris eius, qui cartam istam firmauerunt. Signum Stephani Armanni. »

  • 2 Léonce Bouyssou, « Une notice du XIIe s. relatant la donation de l’église de Bredons à l’abbaye de (...)

4Une notice du XIIe siècle, peu connue, retrace brièvement (au prix de quelques raccourcis et approximations) les origines du prieuré clunisien de Bredons ; Guillaume de Murat y est également cité, peut-être à l’occasion d’une consécration de l’église de Bredons en 10952.

5« Sacro sancte ecclesie loco bredom quod est fundatum in honore sancti timotei et sancte crucis cumsecrante eo durante tolonensis episcopo adque Raimundo lectorensis episcopo consilio claromunte chapitulo misso decanum nomine falcone, Robertus comes auernensis et Willelmus vice comes de murat. Et bernardus ainricus, et amblardus comtor de noneta, et amblardus de bereson, et robertus de castel, et bertrannus ihcterius dederunt domino deo ac sanctis apostolis eius Petro, et Paulo, et domno hugone cluniacensi cenobii abbate, et duranto episcopo adque abate moysiaco feuum ex omnibus feuatoribus suis qualicumque modo adquirere potuerint habitatores supradicto loco ecclesie sancti timotei que vocatur bredom, totum in aliodio damus et concedamus, subitione eterna subditum maneat, si aliquis hoc donum infringere uoluerit sit dampnatus adque excommunicatus cum data et abiron et postea firmum permaneat. »

ANNEXE No 2

Les Murat : quelques repères généalogiques sur 9 générations…

Génération I

6Girbert, père de Guillaume, mort avant 1059/1066. Epouse anonyme, mère de Guillaume, morte avant 1059/1066.

Génération II

7Guillaume (I), Guillelmus de Murato Castello vicecomes nominatus, ou Willelmi vicecomitis. … 1059/1066-1095… Cède ses droits sur Bredons à Moissac (1059/1066). Présent en 1095 pour une consécration de l’église de Bredons. Se croise en 1095.

8PIERRE, frère de Guillaume, mort avant 1059/1066.

Génération III

9Jean (I), fils de Guillaume, vicomte de Murat ( ?),… 1102… Se croise en 1102-1103 avec Guillaume comte d’Auvergne.

10Pierre, frère de Jean,… 1095…

Génération IV

11Pierre (I), fils de Jean, vicomte de Murat,… 1150…, fait hommage à Raymond Bérenger de Provence en 1150 pour tous ses biens.

12Petronille, prieure de La Vaudieu en 1148 ( ?).

Génération V

13Guillaume (II), fils de Pierre (I), mort sans postérité, vicomte de Murat, chevalier… 1187-1196…, se croise en 1187, veut être nommé le premier au ban des seigneurs de la Haute-Auvergne, notamment au détriment des Pierrefort, souscrit pour les Rodez.

14Jean de Murat, se croise en 1187 avec le vicomte Guillaume.

15Bertrand de Murat, chevalier… 1199…

16Pierre (II), fils de Pierre (I), vicomte de Murat,… 1205-av. 1239, en conflit de préséance avec les Apchon, les Pierrefort et les Mercoeur. [Branche cadette : les Murat-Cheylanne :

17Amblard de Murat, fils de Pierre (II), vicomte de Cheylanne en 1215.

  • 3 Marcellin Boudet, Cartulaire du Prieuré de Saint-Flour, Monaco, 1910, XXXIX.

18Armand de Murat, fils d’Amblard, dominus Armandus vicecomes, en 12573.

19Guillaume, fils d’Armand ( ?) vicomte de Cheylanne, ca. 1260.

20Marguerite, vicomtesse de Cheylanne, 1284.]

Génération VI

21Pierre (III), fils de Pierre (II), vicomte de Murat par la grâce de Dieu (1240),… 1239-1270…, présent en 1239 au traité entre Raymond de Toulouse et Hugues de Rodez, épouse Gaillarde de La Tour, vit encore en 1270.

22Guillaume, élu évêque du Puy en 1248, mort en 1251.

Génération VII

23Pierre (IV), fils de Pierre (III), vicomte de Murat, chevalier… 1263-avant 1273, concède une charte de coutumes à Murat en 1263, épouse Marquise de Peyre, combat le comtor d’Apchon.

24[Branche cadette :

25Astorg, fils de Pierre (III), vicomte et seigneur d’Albepierre,… 1240-1269…]

26Geraud… 1248…

27Pons, chanoine de Brioude,… 1277…

Génération VII

28Guillaume (III), fils de Pierre (IV), vicomte de Murat, damoiseau puis chevalier… 1269-av. 1304, ép. Eléonore de Calmont vers 1280, confirme les franchises de Murat (1283), fait hommage à Carlat (1285), accorde des franchises à Chastel (1287) et à Albepierre (1292).

Génération VIII

29Begon (I), fils de Guillaume (III) vicomte de Murat, damoiseau puis chevalier,… 1303-1359/1360, fait hommage à Carlat en 1303, épouse Blayde de Caylus en 1304, part en guerre contre les vicomtes de Carlat, prétend que la vicomté ne relève d’aucun seigneur (1320), finit par prêter hommage en 1351, renouvelle les privilèges de Murat (1357).

30Pierre… 1314-1360…

31Guillaume (IV), fils de Guillaume (III) vicomte de Murat, cadet de Bégon… 1300-1360…, épouse vers 1320 Marquise de Pons, héritière de Turenne et de Carlat.

Génération IX

32Renaud, fils de Guillaume (IV), vicomte de Murat… 1360-1404, en lutte contre les Cardaillac.

33Pierre, fils de Guillaume (IV)… 1395…

34Helix, fille unique de Bégon, épouse en 1329 Bertrand de Cardaillac dont le fils Guillaume s’empare de la vicomté au détriment des Murat à partir de 1361.

ANNEXE 3

Les armoiries des Murat

  • 4 Ambroise Tardieu, Dictionnaire des anciennes familles de l’Auvergne, Moulins, 1884, p. 262.
  • 5 Jean-Baptiste Bouillet, Nobiliaire d’Auvergne, Clermont-Ferrand, 1846 à 1853 s.v. Murat, dans une (...)
  • 6 Arch. Nat., J 272, no 121 [hommage au roi de Guillaume de Murat]. Cf. Louis Douët d’Arcq, Collecti (...)

35Les armoiries des Murat4 sont très parlantes : « d’azur, à trois fasces muraillées et crénelées d’argent, la première de cinq créneaux, la seconde de quatre, et la dernière de trois ; celle-ci ouverte en porte ronde au milieu ». La tradition locale veut que le blason fasse référence aux fortifications du château et de la ville de Murat. Il est attesté sur sceau à l’époque du vicomte Guillaume III, en 1283 « trois fasces crénelées, sceau en cire jaune à deux lacs de soie verte5 », puis en 12846.

  • 7 Bouillet, Nobiliaire d’Auvergne…, s.v. Murat. Le sceau cité en exemple par Bouillet résulte d’une (...)
  • 8 Cf. Bouillet…, Tardieu…, s.v. Murat.
  • 9 Cf. Bouillet…, Tardieu…, s.v. Carlat.
  • 10 Cf. Bouillet…, Tardieu…, s.v. Cardaillac et Brezons ; Alfred Loussert, Les seigneurs de Brezons (C (...)

36Il existait toutefois un autre blason7 : « écartelé, aux Ier et 4e d’azur, à trois fasces muraillées et crénelées d’argent, la première de cinq créneaux, la seconde de quatre, et la dernière de trois ; celle-ci ouverte en porte ronde au milieu, qui est de Murat ; aux 2e et 3e de gueules, au lion léopardé d’or, qui est de Carlat8. ». Est-ce le signe d’une alliance familiale (dont nous n’avons nulle trace par ailleurs), ou l’illustration de prétentions de Murat (quartiers 1 et 4) sur Carlat (quartiers 2 et 3) ? Il faudrait toutefois s’assurer ce blason « de gueules, au lion léopardé d’or » est bien celui de Carlat. Or, on ne connaît pas les armes de la famille éponyme originelle mais l’on donne parfois pour les Carlat « de gueules, au lion d’or (et d’autres fois d’argent)9 ». À défaut, on peut considérer qu’il s’agit sans doute les armes des Rodez, « de gueules, au léopard lionné d’or », en tant que vicomtes de Carlat. Mais on ne peut exclure que ce lion ne soit en fait celui des Cardaillac, « de gueules, au lion d’argent » et il rappelle également, dans une moindre mesure, celui des Brezons, « de gueules, au lion échiqueté d’or et d’azur10 ».

Fig. 1 : La région de Murat (Cantal). Extrait de la carte de Cassini, vers 1779.

Fig 2 : La région de Murat. Extrait de la Carte généralle des Montagnes de la Haute Auvergne par le Sieur de Clerville, Paris, 1642.

Fig. 3 : Les trois necks basaltiques de la région de Murat. Au premier plan à droite, le rocher de Bredons ; au second plan, Murat et le rocher de Bonnevie ; dans le lointain, Chastel-sur-Murat. Carte postale ancienne reproduisant l’œuvre de E. Tudot, 1830, coll. part.

Fig. 4 : Variation sur l’œuvre de E. Tudot, anonyme, 1881. (Publié dans V.A. Malte-Brun, Le Cantal, géographie, histoire, statistique, administration, 1882, p. 39).

Fig. 5 : Les trois rochers basaltiques de Murat : Bredons, Bonnevie et Chastel (début du XXe siècle). Carte postale ancienne, coll. Michel Arnaud.

Fig. 6 : La vallée de l’Allagnon, Murat et Chastel (début du XXe siècle). Carte postale ancienne, coll. part.

Fig. 7 : L’église du prieuré de Bredons (début du XXe siècle). Carte postale ancienne, coll. Marius Lherme.

Fig. 8 : Le neck basaltique de Chastel-sur-Murat (début du XXe siècle). Carte postale ancienne, coll. P. Glaize.

Notes

1 Edouard de Dienne a transcrit, pourtant d’après le même document [« Transcription du XVIIe siècle d’après l’original, alors aux archives de l’abbaye de Moissac. Bibliothèque Nationale, fonds Doat, vol. 128, fol. 94 »] : « Guillelmus de Murato Castello, vicecomes nominatus ». Cf. Gustave Saige, Comte Edouard de Dienne, Documents historiques relatifs à la vicomté de Carlat, Monaco, 1900, 2 vol, vol. 2, Supplément aux documents historiques relatifs à la vicomté de Carlat, II, p. 3-4, [datée ca. 1070]. L’édition du texte par Bouffet est fautive, à cause d’une erreur d’impression ; il s’agit d’une reproduction de l’édition de 1900. Cf. Hippolyte Bouffet, Bredom, sa paroisse, sa seigneurie, son prieuré et les paroisses affiliées, Aurillac, 1909, p. 249-250.

2 Léonce Bouyssou, « Une notice du XIIe s. relatant la donation de l’église de Bredons à l’abbaye de Moissac et sa consécration », Revue de la Haute-Auvergne, 1955, p. 498-500. Édition revue et corrigée dans Axel Müssigbrod, Die Abtei Moissac 1050-1150. Zu einem Zentrum Cluniacensischen Mönchtums in Südwestfrankreich, München, 1988, p. 202. C’est cette édition que nous reproduisons. Cf. également BnF, fonds Latin, 12750, fol. 11 à 13 et 137, consécration de l’église de Bredons en 1095, où serait cité Guillaume de Murat (non consulté). La Chronique des abbés de Moissac est très laconique, parlant du rôle de Durand de Bredons : Multa loca […] acquisivit : […] in provincia sua Bredoniense obtimum locum cum ecclesiis et appendiciis suis […]. Cf. Régis De La Haye, Chronique des abbés de Moissac, éditée, traduite et annotée par Régis de la Haye, Maastricht-Moissac, 1994, p. 84.

3 Marcellin Boudet, Cartulaire du Prieuré de Saint-Flour, Monaco, 1910, XXXIX.

4 Ambroise Tardieu, Dictionnaire des anciennes familles de l’Auvergne, Moulins, 1884, p. 262.

5 Jean-Baptiste Bouillet, Nobiliaire d’Auvergne, Clermont-Ferrand, 1846 à 1853 s.v. Murat, dans une confirmation des franchises accordées à Murat par son père.

6 Arch. Nat., J 272, no 121 [hommage au roi de Guillaume de Murat]. Cf. Louis Douët d’Arcq, Collection des sceaux, Paris, 1863, t. I, no 413.

7 Bouillet, Nobiliaire d’Auvergne…, s.v. Murat. Le sceau cité en exemple par Bouillet résulte d’une erreur, mais ce blason écartelé existe bel et bien.

8 Cf. Bouillet…, Tardieu…, s.v. Murat.

9 Cf. Bouillet…, Tardieu…, s.v. Carlat.

10 Cf. Bouillet…, Tardieu…, s.v. Cardaillac et Brezons ; Alfred Loussert, Les seigneurs de Brezons (Cantal). Notes et recueils historiques, Aurillac, 1994, 223 p.

Table des illustrations

Légende Fig. 1 : La région de Murat (Cantal). Extrait de la carte de Cassini, vers 1779.
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/11049/img-1.jpg
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Légende Fig 2 : La région de Murat. Extrait de la Carte généralle des Montagnes de la Haute Auvergne par le Sieur de Clerville, Paris, 1642.
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/11049/img-2.jpg
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Légende Fig. 3 : Les trois necks basaltiques de la région de Murat. Au premier plan à droite, le rocher de Bredons ; au second plan, Murat et le rocher de Bonnevie ; dans le lointain, Chastel-sur-Murat. Carte postale ancienne reproduisant l’œuvre de E. Tudot, 1830, coll. part.
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/11049/img-3.jpg
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Légende Fig. 4 : Variation sur l’œuvre de E. Tudot, anonyme, 1881. (Publié dans V.A. Malte-Brun, Le Cantal, géographie, histoire, statistique, administration, 1882, p. 39).
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Légende Fig. 5 : Les trois rochers basaltiques de Murat : Bredons, Bonnevie et Chastel (début du XXe siècle). Carte postale ancienne, coll. Michel Arnaud.
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Légende Fig. 6 : La vallée de l’Allagnon, Murat et Chastel (début du XXe siècle). Carte postale ancienne, coll. part.
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/11049/img-6.jpg
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Légende Fig. 7 : L’église du prieuré de Bredons (début du XXe siècle). Carte postale ancienne, coll. Marius Lherme.
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/11049/img-7.jpg
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Légende Fig. 8 : Le neck basaltique de Chastel-sur-Murat (début du XXe siècle). Carte postale ancienne, coll. P. Glaize.
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/11049/img-8.jpg
Fichier image/jpeg, 674k
URL http://books.openedition.org/pumi/docannexe/image/11049/img-9.jpg
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