Remerciements

1Le deuil entre sans doute, pour une certaine part, dans toute écriture. Deuil, bien sûr, lié au fait de ne pas pouvoir tout dire, surtout lorsqu’il s’agit, comme c’est le cas ici, de ramener une longue et prolixe thèse de doctorat à un livre un peu plus comestible. Mais ce deuil est un exercice productif, dont l’écriture et la pensée sortent incontestablement renforcées. La première version de cette Communauté du dehors est disponible en format numérique, dans Papyrus (le dépôt institutionnel de l’Université de Montréal). Mais à ceux et celles qui, par hasard ou par curiosité, tomberaient sur cette première mouture, je tiens à rappeler que la seule version pleinement endossée et revendiquée par l’auteur reste celle, raccourcie et mise à jour, qu’ils tiennent actuellement dans leurs mains.

2Merci à Benoît Melançon (dont l’influence sur ma façon de travailler est plus grande qu’il ne le croit) pour sa confiance. Il aura facilité, par sa lecture franche et bienveillante, le travai