1 Josef Simon, «Die Krise des Wahrheitsbegriffs als Krise der Metaphysik. Nietzsches Alethiologie auf dem Hintergrund der Kantischen Kritik», p. 248.
2 Friedrich Kaulbach, Nietzsches Idee einer Experimentalphilosophie, p. 60.
3 Hans Vaihinger, La philosophie du comme si, p. 308. L’édition française du texte de Vaihinger a été tirée de l’édition populaire de 1923, version réduite du texte original. Chaque fois que nous ferons référence à des passages omis dans l’édition française, nous citerons directement le texte allemand.
4 GS § 110.
5 Heinrich Rickert, Die Philosophie des Lebens. Darstellung und Kritik der philosophischen Modeströmungen unserer Zeit, p. 19.
6 Ibid., p. 21.
7 Vaihinger dédie à Forberg un des appendices du livre, en le plaçant entre Kant et Friedrich A. Lange ; cf. H. Vaihinger, La philosophie du comme si, p. 286-293.
8 H. Rickert, Die Philosophie des Lebens, p. 31.
9 Pour une ample considération de l’interprétation de Vaihinger, cf. Josef Schmid, « Erkenntnis durch Fiktion. Nietzsche bei Hans Vaihinger und Max Weber ».
10 C’est en cela que consiste, essentiellement, l’affinité entre Kant et Nietzsche ; cf. J. Simon, « Die Krise des Wahrheitsbegriffs als Krise der Metaphysik », p. 249 sq.
11 J. Simon, Kant. Die fremde Vernunft und die Sprache der Philosophie, p. 522 sq.
12 Ibid., p. 523, n. 63.
13 Friedrich Kaulbach, Philosophie des Perspektivismus, vol. 1: Wahrheit und Perspektive bei Kant, Hegel und Nietzsche, p. 211.
14 H. Vaihinger, «Mitteilungen über das dem Kongress überreichte Werk “Die Philosophie des Als Ob”».
15 H. Vaihinger, Die Philosophie des Als Ob. System der theoretischen, praktischen und religiösen Fiktionen der Menschheit auf Grund eines idealistischen Positivismus. Mit einem Anhang über Kant und Nietzsche (1911), p. xiii.
16 Ibid., p. xiv.
17 Comme pour La philosophie du comme si, même cette édition française ne correspond pas entièrement à l’original allemand. Nous citerons donc directement celui-ci chaque fois qu’il en sera nécessaire.
18 Vaihinger, Nietzsche als Philosoph (1902), p. 4.
19 Vaihinger, « La philosophie de Nietzsche » (1902), p. 474 sq.
20 Ibid., p. 476.
21 Vaihinger, Nietzsche als Philosoph, p. 21 sq.
22 Ibid., p. 22.
23 Vaihinger, « La philosophie de Nietzsche », p. 488.
24 Ibid., p. 492.
25 Cf. Lou Andreas-Salomé, Friedrich Nietzsche in seinen Werken, Frankfurt a.M./Leipzig, Insel, 1983, p. 162 : « Dans aucun de ses livres, comme dans Aurore, on peut entrevoir les passages subtils et les liens conceptuels qui mènent de sa période positiviste à celle qui lui succède, à une philosophie mystique de la volonté. » (Nous traduisons.)
26 Vaihinger, «La philosophie de Nietzsche», p. 495.
27 Ibid., p. 514.
28 Vaihinger, Die Phiosophie des Als Ob, p. xii.
29 Emmanuel Kant, Critique de la raison pure, trad. A. Renaut, Paris, Flammarion, 2006, p. 108.
30 Ibid., p. 107.
31 Ibid., p. 108.
32 Vaihinger, Kommentar zu Kants Kritik der reinen Vernunft, vol. i, p. 288 sq.
33 Ibid., p. iii.
34 JGB § 11.
35 JGB § 21.
36 JGB § 34.
37 JGB § 43.
38 Vaihinger, La philosophie du comme si, p. 20.
39 Nous entendons la volonté de puissance en accord avec Wolfgang Müller-Lauter, Nietzsche. Physiologie de la Volonté de puissance.
40 WL § 1 (KSA 1).
41 L’interprétation nietzschéenne de Darwin est nettement influencée par F. A. Lange, qui donne à un chapitre de sa Geschichte des Materialismus le titre explicite « Darwinismus und Teleologie ». Lange veut maintenir une distinction entre le darwinisme et une « téléologie grossière et anthropomorphique » et, pour cette raison, il le rapproche de ce que Kant définit comme « un deuxième stade de la téléologie », c’est-à-dire une téléologie « objective » ; même si, comme l’admet Lange, Kant ne semble pas dans ce cas « s’en être tenu rigoureusement à ce qui était admis d’un point de vue critique ». Cf. Friedrich A. Lange, Geschichte des Materialismus und Kritik seiner Bedeutung in der Gegenwart, p. 380 ; sur le sujet, se reporter à Domenico M. Fazio, Nietzsche e il criticismo, p. 98 sq. ; je renvoie également à mon article « Kants “kindischer” Anthropomorphismus. Nietzsches Kritik der “objektiven” Teleologie », p. 112 sq.
42 NA 7[25], Ende 1886-Frühjahr 1887 (KSA 12).
43 Vaihinger, La philosophie du comme si, p. 307.
44 Ibid., p. 306.
45 Ibid., p. 270.
46 Ibid., p. 318.
47 Ibid., p. 323.
48 M § 19 (KSA 2). Cf. Vaihinger, La philosophie du comme si, p. 315, n. 226.
49 Vaihinger, La philosophie du comme si, p. 308 sq.
50 Ce qui fait penser que Nietzsche croyait, à cette époque, « obtenir son doctorat non pas en philologie classique, mais en philosophie » (Karl Schlechta et Anni Anders, Friedrich Nietzsche. Von den verborgenen Anfängen seines Philosophierens, p. 58 ; nous traduisons).
51 NA 62[6], Herbst 1864-Frühjahr1868 (KGW I/4).
52 À ce sujet je renvoie, à nouveau, à mon article « Kants “kindischer” Anthropomorphismus », p. 111-119.
53 NA 62[7], Herbst 1864-Frühjahr1868 (KGW I/4).
54 NA 62[52], Herbst 1864-Frühjahr1868 (KGW I/4).
55 Cette affirmation doit être, en tout cas, évaluée avec prudence, étant donné le rôle de premier plan que Vaihinger a eu dans l’histoire des Nietzsche-Archiv.
56 Vaihinger, Die Philosophie des Als Ob, p. 668.
57 Kant, Critique de la faculté de juger, p. 349.
58 Vaihinger, Die Philosophie des Als Ob, p. 668.
59 Ibid., p. 674.
60 Kant, Gesammelte Schriften, vol. xxi, partie iii : Handschriftlicher Nachlaß, vol. viii : Opus postumum, p. 135.
61 Ibid., p. 78.
62 Ibid., p. 8.
63 Ibid., p. 4.
64 Ibid., p. 96.
65 Vaihinger, La philosophie du comme si, p. 278, n. 201.