Edmund Alleyn
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Chapitre 15. Indigo
1988-1994
p. 287-305
Extrait
1Au début de février 1988, Alleyn reçoit une invitation de Léo Rosshandler à exposer à la galerie des arts Lavalin, ce qui représente un tournant pour cette galerie qui a jusqu’ici mis en valeur sa propre collection d’art : « Il me fait plaisir de confirmer que la galerie d’art Lavalin t’accordera une exposition solo en septembre et octobre 1989, les dates précises restant à déterminer. L’exposition comprendra les œuvres que tu as déjà peintes et celles que tu peindras dans les mois prochains. Le titre de l’exposition sera “Élégie pour une journée d’été”1 ». Il ajoute que les encres récentes d’Alleyn lui ont fait grande impression et que l’exposition « comprendra les grands et les très grands formats que tu te proposes d’exécuter. L’événement sera accompagné d’un catalogue illustré approprié2. » Pour Alleyn, qui est le premier artiste québécois à obtenir une exposition particulière à la galerie d’art Lavalin, il s’agit d’une annonce sensationnelle. Aussi s’empresse-t-il de rem
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Édition imprimée
1 Lettre de Léo Rosshandler à Edmund Alleyn, 1er février 1988. (Archives Edmund Alleyn.)
2 Ibid.
3 Lettre de Edmund Alleyn à Léo Rosshandler, 5 février 1988. (Archives Edmund Alleyn.)
4 Le 10 janvier 1987, expliquant qu’il « a repris le travail de peintre avec des exigences accrues », Alleyn écrit à Marcel Hamelin, doyen de la Faculté des arts, pour lui faire part « de son désir de continuer dans le programme de responsabilité réduite selon les modalités établies jusqu’à maintenant. Soit 2/3 de salaire répartis sur trois ans. Ceci correspondant deux années de pleine tâche suivies d’une année de recherche. » (Lettre de Edmund Alleyn à Marcel Hamelin, 10 janvier 1987. Archives Edmund Alleyn.) Deux ans plus tard, il soumet une demande de retraite anticipée auprès de Francine Perinet, directrice du Département d’arts visuels de l’Université d’Ottawa : « Chère Francine, suite à notre conversation téléphonique de jeudi dernier, je désire vous confirmer mon souhait de prendre une retraite anticipée à partir de juillet 1991. Le doyen a bien voulu discuter de cette question avec moi et a fait valoir les avantages de choisir 1991 plutôt que 1990. Pour ce qui est de ma tâche pour le semestre sept-déc., vous avez parlé d’un cours de peinture. Ceci me convient car j’ai toujours aimé “enseigner” la peinture. Pour le reste, nous aurons l’occasion d’en discuter. » (Brouillon de lettre de Edmund Alleyn à Francine Perinet, 10 décembre 1989. Archives Edmund Alleyn.)
5 Alleyn a obtenu cette bourse de travail. Dans une lettre du Conseil des arts du Canada datée du 10 janvier 1989, Marie Perreault lui rappelle qu’il doit lui soumettre un rapport pour justifier les dépenses relatives à sa bourse.
6 Dans l’entretien accordé à Audrée Wilhelmy, Nora Alleyn mentionne que son père a passé les deux dernières années de sa vie à l’hôpital : « Il avait perdu un peu de son esprit, mais il parlait de sa mère. Il avait encore une grande tristesse d’avoir perdu sa mère si jeune. » (Entretien de Nora Alleyn à Audrée Wilhelmy, 9 mars 2011.)
7 Accents II de la Collection Lavalin, Montréal, galerie d’art Lavalin et Québec, Musée du Séminaire de Québec, 1988, n. p. [Préface de Bernard Lamarre ; introduction de Léo Rosshandler.]
8 L’exposition « Accents ii de la Collection Lavalin » est présentée au Musée du Séminaire de Québec, 9, rue de l’Université, à Québec, du 30 avril au 26 juin 1988. Elle se déplace ensuite à la galerie d’art Lavalin, 1100, boulevard René-Lévesque Ouest, Montréal, du 20 juillet au 28 août 1988.
9 Edmund Alleyn, Blueprints (1978), 5 panneaux de 183 × 122 cm chacun. Ceux-ci sont reproduits dans le catalogue.
10 Voir le catalogue Accents ii de la Collection Lavalin, op. cit.
11 Edmund Alleyn, carnet à couverture rouge, entrée du 18 décembre 1988. (Archives Edmund Alleyn.)
12 Ibid.
13 Ibid.
14 Ibid., carnet à couverture rouge, entrée du 23 novembre 1989. (Archives Edmund Alleyn.)
15 Ibid. C’est Alleyn qui souligne.
16 Ibid.
17 Ibid.
18 Ibid.
19 Ibid.
20 La galerie Desroches est située au 1444, rue Sherbrooke Ouest, à Montréal. L’exposition, présentée du 8 au 28 novembre 1989, compte 67 œuvres d’une trentaine d’artistes. « Avec respectivement 7 et 11 entrées au catalogue, Fernand Toupin et Edmund Alleyn étaient proportionnellement aux autres exposants très présents. » (Monique Brunet-Weinmann, « Rétrovision de l’avant-garde », Vie des arts, no 138, mars 1990, p. 69.) Les œuvres exposées sont Matin d’été (1961), huile sur toile, 33 × 35,6 cm ; Sans titre (1962), huile sur toile, 88,9 × 146 cm, galerie Jolliet, Québec ; One Step (1964), huile sur toile, 45,7 × 27 cm ; Sans titre (1964), huile sur toile, 40,6 × 96,5 cm ; État stationnaire (1965), acrylique sur toile, 137,2 × 63,5 cm ; Pièces détachées (1966), acrylique, gouache et tolémail sur toile, 96,5 × 144,8 cm ; Agression (1966), acrylique, gouache et aluminium sur toile, 129,5 × 96,5 cm ; Jambe incluse (1966), acrylique, gouache et aluminium sur toile, 40 × 80 cm ; Circuit ouvert (1967), acrylique, gouache et aluminium sur panneau, 81,3 × 99 cm ; Conditionnementiii (1967), acrylique, argenture et gouache sur toile, 129,5 × 97,2 cm ; Conditionnement iv (1967), acrylique, gouache et aluminium sur toile, 129,5 × 96,5 cm.
21 Jocelyne Lepage, « Les années 1950 chez Bernard Desroches », La Presse, 17 novembre 1989, p. C-1.
22 Ibid.
23 Lui disant qu’il a toute la vie devant lui et lui recommandant de peindre « comme un fou », son collègue et ami Kenneth Lochhead lui a fait parvenir les noms de trente-huit peintres dont l’espérance de vie a varié entre vingt-sept ans (Masaccio) et quatre-vingt-dix-neuf ans (Titien). (Archives Edmund Alleyn.)
24 Edmund Alleyn, Archives Edmund Alleyn.
25 Edmund Alleyn, non titré, 17-18 janvier 1990. (Archives Edmund Alleyn.)
26 Ibid.
27 Edmund Alleyn, cahier d’esquisse du 13 janvier au 12 mai 1990. (Archives Edmund Alleyn.)
28 Il s’agit de Edge of Silence (1988), huile sur toile, 186 × 270,5 cm ; Towards Amnesia (1988), huile sur toile, 152,4 × 235,2 cm ; Images en voie d’extinction (1988-1990), huile sur toile, 185,4 × 453,4 cm ; Amnesia Zone (1989), huile sur toile, 219,5 × 170,4 cm ; Lieux (1989), huile sur toile, 193,4 × 152,4 cm ; L’heure fixe (1989), huile sur toile, 148,5 × 263,5 cm ; Hourglass (1989), médium non précisé, 141,9 × 196,8 cm ; Twilight Zone (1989), médium et dimensions non précisés et L’Invitation au voyage (1989-1990), huile sur toile, 241,2 × 475,3 cm. Trente-trois gouaches de l’artiste sont identifiées dans le catalogue. Voir Edmund Alleyn, Indigo, Montréal, La galerie d’art Lavalin et la Maison de la culture Côte-des-Neiges, 1990, p. 72.
29 Ces lavis sont : In the Eye of the Beholder (1988-1990), encre sur papier, 25 × 29,5 cm ; Lieux interdits, (1990), encre sur papier, 22,8 × 39,3 cm ; Relativité (1990), encre sur papier, 24,3 × 31,8 cm ; Amnesiac’s Playground (1990), encre sur papier, 39 × 31,5 cm ; Afterimage (1990), encre sur papier, 26, 6 × 39, 4 cm ; OffLimits (1990), encre sur toile, 31,2 × 39,3 cm ; Island (1990) encre sur papier, 51,1 × 46 cm ; Looking in – Looking out (1990), encre sur papier, 61,2 × 114 cm.
30 Ces gouaches sont: Le guet (1987), 93,3 × 133,3 cm; From the Dark Within (1987), 60,3 × 108,8 cm; Elegy for a Summer Day (1988), 54,8 × 108,8 cm; À Contre-Jour (1988), 96,5 × 65,5 cm; Threshold (1988), 62,9 × 107,9 cm; Amnesiac’s Playground (1989), 47,6 × 40,6 cm; Twilight Zoneiii (1989), 38,4 × 64,1 cm; Transat pour Giacometti (1989), 93 × 70,5 cm; Siteii (1990), 68,9 × 135,8 cm et All Day Long (1990), 55,2 × 98,4 cm.
31 L’exposition s’intitule « Indigo. Tableaux, dessins 1983-1990 ». Elle est présentée du 26 avril au 26 mai 1990 à la Maison de la culture Côtedes-Neiges située au 5290, chemin de la Côte-des-Neiges, à Montréal, et du 27 avril au 2 juin 1990 à la galerie d’art Lavalin, 1100, boul. René-Lévesque Ouest, à Montréal.
32 Une liste dactylographiée des gouaches exposées à la Maison de la culture Côte-des-Neiges mentionne les titres de 23 gouaches et 3 encres, soit : Transat pour Giacomettiii (1990), gouache, 90,1 × 64,4 cm ; Hourglass (1989), gouache, 63,4 × 48,9 cm ; Site I (1990), gouache, 53,9 × 108,3 cm ; Indigo (1990), gouache, 66,6 × 73 cm ; Crypte (1987), gouache, 71,1 × 95,3 cm ; All Through the Afternoon (1987-1980), gouache, 99 × 67,9 cm ; Viewfinder (1986), gouache, 59,6 × 108,5 cm ; Looking In – Looking Out (1989), gouache, 37,4 × 75 cm ; Amnesia Zone 1 (1989), gouache, 37,5 × 47,6 cm ; Image Maker (1988), gouache, 48,3 × 105 cm ; Edge of Silence (1988), gouache, 120 × 83,2 cm ; Stage (1987), gouache, 60,5 × 105,5 cm ; Island (1987), gouache, 57,7 × 108,5 cm ; Skin (1985), gouache, 67,3 × 107 cm ; Edge of August (1987), gouache, 56,5 × 108,5 cm ; Dérive (1985), gouache, 58,4 × 42,2 cm ; Album (1985), gouache, 25,4 × 91,4 cm ; L’Invitation au voyage (1989), gouache, 55,8 × 109,2 cm ; Précis d’amnésie (1983), gouache, 58,7 × 107,3 cm ; Reflections (1983), gouache, 65,4 × 99,7 cm ; Between and Betwixt (1989), gouache, 34,2 × 29,8 cm ; Twilight Zone (1989), gouache, 34,5 × 49 cm ; Through the Eye of the Needle (1987), gouache, 68,5 × 97,7 cm ; Étude pour “Indigo” (1990), encre sur papier, 24,3 × 30,5 cm ; Étude pour “Lavender Lookout”, encre sur papier, 23,5 × 40 cm ; Island (1990), encre sur papier, 51,1 × 46 cm ; il est à noter que ces trois derniers lavis figurent aussi sur la liste des œuvres qu’Alleyn souhaite présenter à la galerie Lavalin, ce qui semble indiquer que leur lieu d’accrochage définitif n’est pas encore arrêté lorsqu’il soumet cette liste. Par ailleurs, le catalogue de l’exposition donne la fiche de six autres lavis, soit : Amnesia Zone (1989), encre sur papier, 25 × 29,2 cm ; Étude pour “Lieux” (1989), encre sur papier, 46,2 × 36,2 cm ; Slow Burn i (1990), encre sur papier, 28,5 × 35,5 cm ; Slow Burnii (1990), 27,3 × 28,9 cm ; Site (1990), encre sur papier, 37,4 × 71,1 cm et When the Sun Goes Down (1990), encre sur papier, 39,3 × 25,7 cm. Ces lavis sont : Looking in – Looking out (1990), encre du papier, 61,2 × 114 cm ; Island (1990), encre sur papier, 51,1 × 46 cm ; Relativité (1990), encre sur papier, 24,3 × 31,8 cm ; Amnesiac’s Playground (1990), encre sur papier, 39 × 31,5 cm ; Afterimage (1990), encre sur papier, 26,6 × 39,4 cm ; In the Eye of the Beholder (1988-1990), encre sur papier, 25 × 29,5 cm, Site (1990), encre sur papier, 37,4 × 71,1 cm ; When the Sun Goes Down (1990), encre sur papier, 39,3 × 25,7 cm et Étude pour « Indigo » (1990), encre sur papier, 24,3 × 30,5 cm.
33 Bernard Lamarre, « Préface », dans Edmund Alleyn, Indigo, op. cit., p. 5.
34 Diane Régimbald et Alain Pétel, « Edmund Alleyn ou l’insistance du regard », Parallèle, no 18, avril 1990, p. 3. [Mensuel encarté dans le journal Voir, vol. 4, no 18, semaine du 29 mars au 4 avril 1990.] Fait intéressant, pour la première fois, la photographie d’Alleyn qui accompagne ce texte est de sa fille Jennifer. La jeune cinéaste, qui pratique aussi régulièrement la photographie, a réalisé à cette époque certaines des plus belles photos de son père.
35 Ibid.
36 Ibid.
37 Ibid.
38 Ibid.
39 Raymond Bernatchez, « Dans les galeries. Deux expositions d’Edmund Alleyn », La Presse, 5 mai 1990, p. K-5.
40 Bernard Lamarre, « Préface », dans Edmund Alleyn, Indigo. Tableaux, dessins 1983-1990, Montréal, galerie d’art Lavalin et Maison de la culture Côte-des-Neiges, 1990, p. 5. Le 25 septembre 1990, lors de l’annonce de la fermeture de la galerie Lavalin, Alleyn écrit à Bernard Lamarre, pdg du groupe Lavalin, pour le remercier du soutien qu’il a apporté « à l’univers à la fois fort et fragile des arts visuels contemporains ». (Archives Edmund Alleyn.)
41 Léo Rosshandler, « Introduction », dans Edmund Alleyn, Indigo, op. cit., p. 9.
42 Ibid.
43 Ibid.
44 Ibid., p. 10. Ce tableau sera soumis pour présentation au comité d’acquisition d’art canadien du Musée des beaux-arts de Montréal le 8 novembre 1995 et acquis par le musée. Par ailleurs, en mai 1990, la galerie d’art Lavalin a fait l’acquisition de la gouache sur carton L’Invitation au voyage (1989), gouache, 55, 8 × 109, 2 cm, et d’un tableau à l’huile d’Alleyn de 1989 intitulé Lieux (huile sur toile, 193, 4 × 152, 4 cm). Le 8 août 1990, l’huile sur toile de 1989 intitulée Hourglass (141, 9 × 196, 8 cm) est vendue à la Société Sobela de Montréal.
45 Léo Rosshandler, « Introduction », dans Edmund Alleyn, Indigo, op. cit., p. 1.
46 Ibid., p. 10.
47 Ibid., p. 11.
48 Edmund Alleyn m’a dit avoir lu toute l’œuvre de Malcom Lowry, dont il appréciait particulièrement Under the Volcano et certaines de ses nouvelles. (Entretien de Edmund Alleyn avec Gilles Lapointe, 13 novembre 2004.)
49 Léo Rosshandler, « Introduction », dans Edmund Alleyn, Indigo, op. cit., p. 11. Il cite ici intégralement un texte d’Alleyn rédigé le 21 janvier 1990 intitulé « Motivation pour la peinture d’Indigo ». Le passage cité est précédé d’une mention d’Alleyn, dans laquelle l’artiste écrit : « Dans l’ensemble des œuvres, regroupées sous le titre d’« Indigo », j’ai essayé de peindre un espace mental, ses fluctuations et ses paliers. » (Edmund Alleyn, « Motivation pour la peinture d’Indigo », 21 janvier 1990, 1 feuillet., archives Edmund Alleyn.)
50 Edmund Alleyn, « Comment cette journée avait-elle commencé ? », De jour, de nuit, op. cit., p. 28. « Lors du dernier entretien réalisé à son atelier, “très sensible la belle littérature, au style”, à la “poésie qui est une vérité”, Alleyn m’apprend l’existence d’un texte érotique “écrit en même temps probablement qu’Indigo. […] Il n’y a pas beaucoup de gens qui peuvent écrire un livre– mais on a tous une histoire, une petite nouvelle en soi qu’on pourrait, sans être écrivain, en faisant attention, publier. » (Entretien d’Edmund Alleyn avec Gilles Lapointe, 21 novembre 2004).
51 Crypte (1987), gouache sur carton, 71,1 × 95,3 cm ; Lieux interdits (1990), encre sur papier, 20,6 × 39,3 cm ; Afterimage (1990), encre sur papier, 26,6 × 39,4 cm ; Skin (1985), gouache sur carton, 67,3 × 107,3 cm.
52 Entretien d’Edmund Alleyn avec Gilles Lapointe, 21 novembre 2004.
53 Note d’Edmund Alleyn, 18 juin 1990. (Archives Edmund Alleyn.)
54 Lettre de Bernard Lamarre à Edmund Alleyn, 10 octobre 1990. (Archives Edmund Alleyn.)
55 La photocopie d’une reconnaissance de dette, datée du 27 juillet 1989, a été conservée : « Je, soussigné, Edmund Alleyn, affirme par la présente avoir emprunté la somme de $ 28 000.00 (vingt-huit mille dollars) à Anne Cherix. Je m’engage à rembourser cette somme incluant les intérêts, dans les mois qui suivront mon exposition chez Lavalin au mois de novembre 1990. Edmund Alleyn ». Vers la fin de l’année, Edmund reçoit d’Anne Cherix la reconnaissance de dette originale, chiffonnée et mise dans une boîte transparente, avec cette carte de souhaits : « Ceci n’est pas un cadeau de Noël mais une annulation de dette, donc un festoyant cadeau de Nouvel An. Si toutefois, tu devais absolument tenir à rembourser cette somme, et, tel que je te connais, je n’en doute pas, tu peux, tu pourrais te [sic] faire ça, créant un carnet d’épargne pour Jennifer et en y versant, comme tu voudras, les sommes que tu trouveras bon d’y verser. Anne. » Le billet est accompagné d’un dessin en forme de cœur. (Archives Edmund Alleyn.)
56 Ibid.
57 Ibid.
58 Jean Chartier, « L’Événement de la semaine. Une double exposition d’Edmond [sic] Alleyn », Le Devoir, 18 mai 1990, p. 18.
59 Lyne Crevier, « Edmund Alleyn. Une invitation au voyage intérieur », Le Devoir, 22 mai 1990, p. 14.
60 Ma traduction. (Henry Lehmann, « Hot Hues of Quebecer’s Painting Bring Made-for-TV Imagery. Monotonous Colors Transform the Pictures into Color-co-cordinated “Mood Packages” », The Gazette, 19 mai 1990, p. K-5.)
61 Entretien de Edmund Alleyn avec Ginette Michaud et Gilles Lapointe, 12 juin 2004.
62 Edmund Alleyn, hommage à Jean Paul Lemieux, 8 décembre 1990. (Archives Edmund Alleyn.) Le nom d’Angèle Dagenais, journaliste au journal Le Devoir, fait penser qu’Alleyn a envoyé ce texte pour publication dans ce journal.
63 Edmund Alleyn, « Lelia Devlin », note manuscrite, 26 octobre 1990. (Archives Edmund Alleyn.)
64 Edmund Alleyn, carnet d’esquisse du 14 mai 1990 au 4 mars 1991. (Archives Edmund Alleyn.)
65 Témoignage de Nora Alleyn, dans Jennifer Alleyn, L’Atelier de mon père, Amazone film.
66 Entretien de Edmund Alleyn avec Ginette Michaud et Gilles Lapointe, 29 mai 2004.
67 L’exposition s’intitule « Escapade : à la conquête de la troisième dimension – Sélection d’œuvres de la banque d’œuvres d’art », au Musée des beaux-arts de Sherbrooke. Elle est présentée en mai et juin 1990. Voir la lettre de Leezah Cohen à Edmund Alleyn, 4 mai 1990. (Archives Edmund Alleyn.)
68 On y expose du 4 au 20 décembre, Sans titre, une aquarelle de 1959.
69 49th Parallel, Centre for Contemporary Canadian Art/49e Parallèle, Centre d’art contemporain canadien, ouvre ses portes le 20 mars 1981. Il est situé au 420, West Broadway, dans le quartier Soho, à New York, et est une initiative du Bureau des relations culturelles internationales, une instance rattachée au département des Affaires étrangères du Canada. La vocation du centre, qui mène des activités non commerciales, est de faire la promotion de l’art contemporain canadien à New York. Il est dirigé par Guy Plamondon puis par France Morin, cofondatrice de la revue Parachute, à qui succède en 1989 Glen E. Cummings, antérieurement directeur de la Art Gallery de Hamilton. La direction administrative du centre est transférée au même moment du département des Affaires étrangères à la Professionnal Art Dealer’s Association of Canada (padac). Le Centre 49e Parallèle cesse ses activités le 30 juin 1992. Cent trente-trois expositions, dont « Indigo » de Edmund Alleyn (27 novembre 1990 – 5 janvier 1991), y furent présentées.
70 Les quatre autres tableaux sont Edge of Silence (1988), huile sur toile, 186 × 270,5 cm ; Twilight Zone (1989), huile sur toile, 100,9 × 158,1 cm ; Images en voie d’extinction (1988-1990), huile sur toile, 185,4 × 453,4 cm et Towards Amnesia (1988), huile sur toile, 152,4 × 235,2 cm. (Archives Edmund Alleyn.)
71 Il s’agit de Sitei (1990), 53,9 × 108,3 cm; From the Dark Within (1987), 60,3 × 108,8 cm; Crypte (1987), 71,1 × 95,3 cm; For All That We See or Seem is but a Dream Within a Dream (1990) 91,4 × 66, 67 cm; All Day Long (1990), 55,2 × 98,4 cm; Threshold (1988), 62,9 × 107,9 cm; Viewfinder (1986), 59,6 × 108,5 cm; Island (1987), 57,7 × 108,5 cm; Looking In – Looking Out (1989), 37,4 × 75 cm; Transat pour Giacometti (1989), 93 × 70,5 cm; Amnesia Zoneii (1989), fiche technique non connue; Album (1985), 25,4 × 91,4 cm; Twilight Zoneii (1989), fiche technique non connue; Stage (1987), 60,5 × 105,5 cm; Amnesiac’s Playground (1989), 47,6 × 40,6 cm; Indigo (1990), 66,6 × 73 cm; Through the Eye of the Needle (1987), 68,5 × 97,7 cm et Reflections (1983), 65,4 × 99,7 cm. (Archives Edmund Alleyn.) Note : quelques titres diffèrent légèrement du catalogue Lavalin.
72 Ces lavis sont : Looking in – Looking out (1990), encre sur papier, 61,2 × 114 cm ; Island (1990), encre sur papier, 51,1 × 46 cm ; Relativité (1990), encre sur papier, 24,3 × 31,8 cm ; Amnesiac’s Playground (1990), encre sur papier, 39 × 31,5 cm ; Afterimage (1990), encre sur papier, 26,6 × 39,4 cm ; In the Eye of the Beholder (1988-1990), encre sur papier, 25 × 29,5 cm ; Site (1990), When the Sun Goes Down (1990), encre sur papier, 39,3 × 25,7 cm et Étude pour « Indigo » (1990), encre sur papier, 24,3 × 30,5 cm.
73 « The exhibition seemed to be very popular with our visitors, and of course, the show stopper was “L’invitation au voyage”, which in spite of the tremendous extra work involved was obviously worth it. » (Lettre de Glen E. Cummings à Edmund Alleyn, 11 janvier 1991. Archives Edmund Alleyn.)
74 Ma traduction. (Brouillon de lettre de Edmund Alleyn à Glen E. Cummings, non daté. Archives Edmund Alleyn.)
75 Brouillon de lettre de Edmund Alleyn, 5 mars 1991. (Archives Edmund Alleyn.)
76 Lettre de Edmund Alleyn à Jennifer Alleyn, 18 novembre 1991. (Archives Edmund Alleyn.)
77 Lyne Crevier, « Edmund Alleyn. À la recherche du temps plané », Parcours, no 5, automne 1991, p. 23.
78 Ibid.
79 Ibid.
80 Ibid.
81 Ibid.
82 Ibid.
83 Ibid.
84 Ibid.
85 « Cher Edmond [sic], Je serai heureux de te voir après un si long temps. Nous avons de grandes barbes. Nous en parlerons. Ton ami, Jacques. » (Lettre de Jacques Monory à Edmund Alleyn, 24 avril 1992. Archives Edmund Alleyn.)
86 La première entrée au journal est celle du 14 mai 1992, jour où il visite le Louvre.
87 Alleyn consigne dans son journal, au sujet de Bernard Rancillac : « Dimanche 17 mai – Rancillac et sa copine [Delphine Vincent] – Rancillac semblable à lui-même. Il est toujours un peu en mai [19] 68 – Un ancien combattant qui refuse de déposer les armes. Mais tout cela est-il pertinent ? » (Archives Edmund Alleyn.)
88 Edmund Alleyn, journal de son voyage en France et en Italie, maijuin 1992. (Archives Edmund Alleyn.)
89 Ibid.
90 Entretien de Edmund Alleyn avec Gilles Lapointe et Ginette Michaud, 12 juin 2004.
91 Ibid.
92 Ibid.
93 Lettre de Bernard Rancillac à Edmund Alleyn, 15 juillet 1992. (Archives Edmund Alleyn.) Dans cette missive, Rancillac, qui se rend à Chicago avec Arghyro, annonce qu’il sera de passage à Montréal du 6 au 13 août, ce qui leur donnera ainsi tout le temps de se voir et de se parler.
94 Michel Contat, « L’autoanalyse de Beckett », Le Monde [des livres], 17 juillet 1992, p. 24.
95 Didier Anzieu, Le corps de l’œuvre, Paris, Gallimard, 1981, p. 337. (Archives Edmund Alleyn.)
96 Le Musée de la Ville de Lachine est situé au 110, Chemin LaSalle, à Lachine. L’exposition y est présentée du 10 octobre 1992 au 3 janvier 1993 et montre vingt-trois œuvres d’artistes québécois qui ont marqué l’histoire de l’art au Québec depuis les années soixante.
97 Tribu en vacances (1964), huile sur toile, 137,5 × 232 cm, don de Madame Rollande Bengle.
98 Moments choisis. Collection de la Banque nationale du Canada, Galerie de l’uqam, Montréal, du 14 janvier au 21 février 1993.
99 Alleyn est informé du projet d’exposition « Moments choisis » par la conservatrice Francine Paul de la Banque nationale du Canada : « Nous avons le plaisir de vous informer que nous comptons en janvier et février 1993 présenter votre œuvre intitulée Bat-à-Klan lors d’une importante exposition des œuvres de notre collection à la Galerie de l’Université du Québec à Montréal. » (Lettre de Francine Paul à Edmund Alleyn, 1er décembre 1992. Archives Edmund Alleyn.) Raymond Bernatchez signale la présentation de soixante-huit œuvres réalisées par soixante-quatre artistes. Il mentionne aussi que les quatre mille œuvres de cette collection ont été acquises pour la plupart après 1970. « L’exposition de l’uq[a] m nous permet notamment de renouer, par le truchement de Bat-à-Klan – une abstraction géométrique aux couleurs vives –, avec le Edmund Alleyn de 1964 qui ne peignait pas encore, comme il le fait aujourd’hui, des baigneurs et des embarcations moteur sur un lac des Cantons de l’Est. » (Raymond Bernatchez, « Moments choisis : la bnc montre une partie de son trésor artistique », La Presse, 23 janvier 1993, p. E-13.) Cette exposition sera présentée en janvier et février 1995 à la galerie Robert McLaughlin d’Oshawa. (Lettre de Francine Paul à Edmund Alleyn, 20 janvier 1995. Archives Edmund Alleyn.)
100 L’exposition est présentée à la Galerie de l’uqam du 4 au 28 mars 1993. Edmund Alleyn y expose Son plus cher désir (1993), huile sur toile, 135 × 305 cm. Voir Cahier d’histoires de... parti pris, catalogue d’exposition sous la direction de Lucio de Heusch, Montréal, uq[a] m et Galerie de l’uqam, 1994, p. 73.
101 Selon Stéphane Aquin, qui rend compte de l’événement, Alleyn présente une pièce qu’il juge « remarquable ». (Voir Stéphane Aquin, « Les toiles filantes », Voir, semaine du 18 au 24 mars 1993, p. 38.)
102 Marie-Michèle Cron, « Est-ce que vraiment la peinture agonise ? », Le Devoir, 25 février 1993, p. B-8.
103 Les participants sont Jocelyne Lupien, Robert Wolfe, Luc Béland, Denis Rousseau, Jean Dumont, Normand Thériault, Marc Garneau, Guido Molinari et Edmund Alleyn. Le mot d’ouverture est de Suzanne Lemerise et Monique Régimbald-Zeiber, et celui de la fin, de Francine Paul et Louise Déry. Sur le carton d’invitation, on peut lire : « La journée du 4 mars favorisera des retrouvailles et, espérons-le, des trouvailles autour de la question peinture, entre peintres, historiens, théoriciens et tous les curieux passionnés de peinture. »
104 Edmund Alleyn, « Notes », dans Cahier d’histoires de... parti pris, Montréal, Galerie de l’uqam, 1993, p. 17.
105 Ibid.
106 Cette phrase apparaît dans Edmund Alleyn, « Notes », dans Écrits et témoignages de 24 peintres, sous la direction de M [ario] M [erola], Montréal, Fini/infini, 1994, n. p.
107 Voir Joanne Latimer, « Call off the Coroner », Montreal Mirror, semaine du 4 au 11 mars 1993, p. 21.
108 Ibid.
109 Jocelyne Lupien, « Morte, la peinture ? », Spirale, no 126, septembre 1993, p. 18.
110 L’exposition « Œuvres méconnues. Regard inusité sur l’art québécois » est organisée par les étudiants du module histoire de l’art de l’uq[a] m. Elle est présentée à la Galerie de l’uqam du 22 juin au 25 juillet 1993. « “Œuvres méconnues, regard inusité sur l’art québécois” est constituée de 35 œuvres méconnues ou peu connues de Borduas, Molinari, Jérôme, Leduc, Alleyn, Maltais, Adrien Hébert, Stanley Cosgrove, Fernand Leduc, etc. » (Raymond Bernatchez, « Œuvres méconnues d’artistes québécois, du passé au présent », La Presse, 17 juillet 1993, p. D-13.)
111 Ondée (1963), collage et pastel à l’huile, 60 × 27 cm, collection de l’artiste.
112 L’ordonnateur (1965), acrylique sur toile et caoutchouc, 516 × 56 cm, collection de l’artiste. Manon Tourigny mentionne que cette œuvre a été présentée pour la première fois à Paris en 1966 à la galerie Édouard Smith lors de l’exposition réalisée en duo avec Ulysse Comtois.
113 Raymond Bernatchez, « Charlotte Rosshandler : 150 photos et questions », La Presse, 21 août 1993, p. D-12. Voir Charlotte Rosshandler et Stéphane Chagnon, Charlotte Rosshandler. Questions & Portraits. Vingt ans de photographie, Montréal, Centre Saydie Bronfman, 1993, 16 p.
114 Voir Les arts visuels au Québec dans les années soixante. La reconnaissance de la modernité, Francine Couture (dir.), Montréal, VLB éditeur, coll. « Essais critiques », 1993, p. 245 et p. 265.
115 Raymond Bernatchez, « Dessin à Dessein dans tous les azimuts, à l’uqam », La Presse, 29 janvier 1994, p. E-12. Selon les renseignements recueillis par Mélanie Beauchamp auprès de la Galerie de l’uqam, Alleyn y aurait exposé trois œuvres, soit Hypersensible (1993), graphite et pierre noire sur papier Arches, 171 × 137 cm ; L’heure lente (1993), graphite et pierre noire sur papier Arches, 186,3 × 175,2 cm et Paradise Lounge (1993), encre noire sur papier, × 34 × 66 cm.
116 Le commissariat de l’exposition est assuré par les artistes et professeurs Lucio de Heusch, Jocelyn Jean, Nicole Jolicœur, Paul Lacroix, Claude Mongrain, Suzanne Pasquin, Denis Rousseau et Hélène Roy. Le 3 février se déroule à la Galerie de l’uqam la journée « Dessin à dessein » : des artistes y sont invités à témoigner de leur réflexion sur la pratique du dessin et des professeurs y viennent parler de « leur recherche sur l’enseignement du dessin, son évolution et sa pertinence dans le contexte artistique actuel ». (Carton d’invitation. Archives Edmund Alleyn.) Un recueil, ayant pour titre Cahier d’histoires... de parti pris et réunissant des réflexions des artistes, fut lancé lors de cet événement.
117 Suzanne Pasquin, « Exposition “Dessin à dessein” », Montréal, février 1994. (Archives Edmund Alleyn.)
118 Edmund Alleyn, « Notes », dans Écrits et témoignages de 24 peintres, op. cit. Une reproduction de l’œuvre de Edmund Alleyn, Étude pour Lieux (1985), encre sur papier, 46, 25 × 36, 25 cm, accompagne le texte. Ces « Notes » ont été rééditées dans Edmund Alleyn, Carnet, op. cit., p. 7-12.
119 Edmund Alleyn, « Notes », dans Écrits et témoignages de 24 peintres, op. cit.
120 Ibid.
121 Ibid.
122 Ibid.
123 Ibid.
124 Ibid.
125 Ibid.
126 Ibid.
127 Sans titre (1960), huile sur toile, 33 × 55 cm. Je remercie la galerie Simon Blais, qui m’a permis d’identifier cette œuvre. « Le thème de l’exposition recoupe d’une certaine manière celui proposé par le Musée d’art contemporain de Montréal qui expose actuellement plus d’une centaine d’œuvres modernes et contemporaines de la Collection Lavalin. La galerie Simon Blais est néanmoins parvenue à regrouper et à présenter aux amateurs d’art et aux collectionneurs plus d’une centaine d’œuvres (peintures, dessins et estampes) traduisant la formidable éclosion des arts visuels au Québec de 1950 à 1970, dans la foulée du Refus global de Borduas. » (Raymond Bernatchez, « De quoi ravir les amateurs d’art : une centaine d’œuvres créées de 1950 à 1970 au Québec », La Presse, 28 mai 1994, p. E-12.)
128 L’exposition se tient du 4 mai au 4 juin 1994 à la galerie Simon Blais, sise au 4521, rue Clark, à Montréal. Un second volet de l’exposition sera présenté en octobre dans le cadre du Festival de peinture de Mascouche.
129 L’exposition « Œuvres médiatiques et dessins récents » est présentée à la galerie Christiane Chassay du 27 août au 24 septembre 1994. Dans une note manuscrite, Alleyn écrit, au sujet de cette exposition : « Première exposition solo dans une galerie commerciale depuis 27 ans. » (Edmund Alleyn, notes pour entrevue Le Devoir, 8 août 1994, p. 1. Archives Edmund Alleyn.) « La dernière fois, c’était en 1967 à Paris à la galerie Blumenthal-Mommaton. » (Jean Chartier, « Peintre critique sur tous les tableaux », Le Devoir, 6 septembre 1994, p. B-1.)
130 Gaston St-Pierre, « l’archéologie du futur », brochure de l’exposition « Œuvres médiatiques et dessins récents (1965-1975) » présentée à la galerie Christiane Chassay, 372, Ste-Catherine Ouest, salle 418. Un album photo représentant plusieurs des personnes présentes au vernissage est conservé dans les archives de Edmund Alleyn.
131 Edmund Alleyn, notes pour entrevue Le Devoir, 8 août 1994, p. 1. (Archives Edmund Alleyn.)
132 Gaston St-Pierre, « L’archéologie du futur », dans le catalogue Edmund Alleyn. Œuvres médiatiques (1965-1975), Montréal, galerie Christiane Chassay, 1994, n. p.
133 Ann Duncan, « A Show to Remember », The Gazette, 27 août 1994, p. H5.
134 Mona Hakim, « Le retour des années Alleyn », Le Devoir, 8 septembre 1994, p. B-7.
135 Ibid.
136 Raymond Bernatchez, « L’exposition Alleyn : quand l’art se met au diapason de la science », La Presse, 10 septembre 1994, p. E-10.
137 Ibid.
138 Ibid.
139 Voir en particulier Ann Duncan, « A Show to Remember », The Gazette, 27 août 1994, p. H5.
140 Jean Chartier, « Edmund Alleyn. Peintre critique sur tous les tableaux », Le Devoir, 6 septembre 1994, p. B-1. Marie-Michèle Cron signale qu’une œuvre de Edmund Alleyn figure parmi les cent quatorze œuvres mises en vente le 17 février 1994 par les Amis du Musée d’art contemporain à la salle Tudor du magasin Ogilvy’s de Montréal. Voir Marie-Michèle Cron, « Les amis du musée passent aux enchères », Le Devoir, 10 février 1994, p. B-8.
141 Ibid,, p. B-1.
142 Ibid.
143 Ibid.
144 Ibid. L’entretien a été préparé par Alleyn, ainsi que le montrent les six pages manuscrites qui ont été conservées et qui permettent de prendre la mesure de son irritation croissante concernant les expositions du Musée des beaux-arts consacrées à Pierre Cardin (1991), à Snoopy (1991) et au Pop Art (1992).
145 Jean Chartier, « Edmund Alleyn. Peintre critique sur tous les tableaux », Le Devoir, loc. cit., p. b1.
146 Edmund Alleyn, exposition « Slow Dance », présentée à la galerie Christiane Chassay, du 19 octobre au 16 novembre 1994. L’artiste a conservé le carton d’invitation. (Archives Edmund Alleyn.)
147 Il s’agit de Une minute de silence s.v.p, Olympique, « ? », Petite agonie libidinale, À mots couverts, Son Excellence, Yes, but is it Art ? Les sept lavis réalisés en 1994 ont un format identique de 38 × 28 cm. (Lettre de Christiane Chassay à Pierre Théberge, 16 décembre 1994. Archives Edmund Alleyn.) Quelques jours plus tard, à partir cette fois de son fonds discrétionnaire, Pierre Théberge confirme l’acquisition de Good Morning Midnight (1994), un fusain sur papier Arches de 80 × 130 cm. (Lettre de Christiane Chassay à Pierre Théberge, Musée des beaux-arts de Montréal, 21 décembre 1994. Archives Edmund Alleyn.)
148 Voir Raymond Bernatchez, « Des œuvres d’art à $ 500 ! Oui, papa ! C’est garanti ! », La Presse, 10 décembre 1994, p. D-7.
149 Marie-Michèle Cron, « Pièces de collection chez Christiane Chassay », Le Devoir, 8 décembre 1994, p. B-11.
150 Marie-Michèle Cron, « Une année marquée par quelques heureuses surprises », Le Devoir, 31 décembre 1994, p. C-9.
Edmund Alleyn
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