1 Jean-Paul Mousseau, dans Jacques Keable, « Mousseau, Picher et Corbeil parlent de Borduas », La Presse, 20 janvier 1962, p. 3.
2 C.J. van Rees, « How Reviewers Reach Consensus on the Value of Literary Works », Poetics, no 16, 1987, p. 275-294.
3 La notion de verrous a été développée par Micheline Cambron dans un projet de recherche sur la réception des romans québécois du xixe siècle.
4 « Enquête sur l’automatisme : nous en reparlerons dans dix ans », Situations, vol. 1, no 2, février 1959, p. 32.
5 Ibid., p. 37, 42, 43, 41.
6 Claude Gauvreau, « L’épopée automatiste vue par un cyclope », La Barre du Jour, nos 17-20, janvier-août 1969, p. 50.
7 Ibid., p. 76.
8 Ibid., p. 57.
9 Id., « Dimensions de Borduas », Liberté, vol. 4, no 22, avril 1962, p. 226.
10 Claude Gauvreau, « L’épopée… », art. cit., p. 70.
11 Ibid., p. 71, 77.
12 Ibid., p. 96.
13 Ibid., p. 48.
14 François Hartog, « Le témoin et l’historien », Gradhiva, no 27, 2000, p. 14.
15 Claude Gauvreau, « L’épopée… », art. cit., p. 75.
16 Marcel Fournier et Robert Laplante, « Borduas et l’automatisme : les paradoxes de l’art vivant », Possibles, vol. 1, nos 3-4, printemps-été 1977, p. 158.
17 Josée Bélisle, « De Saint-Hilaire à Paris, un parcours singulier, sensible à la “magie des signes” », La magie des signes : œuvres sur papier de la Collection Borduas du Musée d’art contemporain, Versailles, France, Conseil général des Yvelines ; Montréal, Musée d’art contemporain de Montréal, 2004, p. 14.
18 Yves Préfontaine, « Un film de Jacques Godbout – Borduas au cinéma », Liberté, vol. 5, no 26, mars-avril 1963, p. 160.
19 Claude Gauvreau, « Dimensions de Borduas », art. cit., p. 222.
20 Lise Gauvin, « Entretien avec Riopelle : les artistes sont-ils révolutionnaires ? », Vie des arts, vol. 39, no 161, hiver 1995, p. 12-20.
21 Lise Gauvin, Entretiens avec Fernand Leduc, Montréal, Liber, 1995, p. 46.
22 Michel Desautels, Pierre Gauvreau : les trois temps d’une paix, Montréal, L’Hexagone, 1997, p. 51.
23 Lise Gauvin, op. cit., p. 30.
24 Henri Barras, « Quand les automatistes parlent… des automatistes », Culture vivante, no 22, septembre 1971, p. 30.
25 Marcelle Ferron, L’Esquisse d’une mémoire, Montréal, Les Intouchables, 1996, p. 49.
26 Jocelyne Lepage, « Les femmes de “Refus global” », La Presse, 9 mai 1998, p. D3.
27 Jocelyne Lepage, « On a eu du mal à en vendre 100 », La Presse, 2 avril 1988, p. E3.
28 Lise Gauvin, art. cit., p. 15-16.
29 « Nous qualifions de construction hybride un énoncé qui, d’après ses indices grammaticaux (syntaxiques) et compositionnels, appartient au seul locuteur, mais où se confondent, en réalité, deux énoncés, deux manières de parler, deux styles, deux “langues”, deux perspectives sémantiques et sociologiques. » (Mikhaïl Bakhtine, Esthétique et théorie du roman, Paris, Gallimard, 1978, p. 125-126.)
30 Marcelle Ferron, op. cit., p. 50.
31 Maurice Perron, « Quelques anecdotes autour du Refus global », Parcours, no 12, hiver 1994, p. 19.
32 Michel Desautels, Pierre Gauvreau : les trois temps d’une paix, Montréal, L’Hexagone, 1997, p. 47, 51.
33 Thérèse Renaud, Une mémoire déchirée, Montréal, L’arbre HMH, 1978, p. 101.
34 René Viau, « Le Refus global vu par ses signataires », La Presse, 1er août 1998, p. B3.
35 François Hartog, « Le témoin et l’historien », Gradhiva, no 27, 2000, p. 14.
36 Voir ibid., p. 11.
37 Ibid., p. 1.
38 Giorgio Agamben, cité dans ibid., p. 3.
39 Ibid., p. 14.
40 Jean Éthier-Blais, Autour de Borduas : essai d’histoire intellectuelle, Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal, 1979, p. 153.
41 Pierre Vadeboncœur, « Borduas ou la minute de vérité de notre histoire », Cité libre, vol. II, no 33, janvier 1961, p. 29-30.
42 Ibid.
43 Pierre Vadeboncœur, « La ligne du risque », Situations, vol. 4, no 1, 1962, p. 3-58, repris dans La ligne du risque, Montréal, HMH, 1963, p. 165-218.
44 Ibid., p. 22-23.
45 Patricia Smart, Refus global : genèse et métamorphose d’un mythe fondateur, Montréal, Programme d’études sur le Québec, Université McGill, « Grandes conférences Desjardins », 1998, p. 14.
46 Yolaine Tremblay, Du Refus global à la responsabilité entière : parcours analytique de l’essai québécois depuis 1948, Sainte-Foy, Le Griffon d’argile, 2000, p. 80.
47 Laurent Mailhot, Essais québécois, 1837-1983, Montréal, Hurtubise HMH, 1984, p. 261.
48 François-Marc Gagnon, Paul-Émile Borduas 1905-1960, Montréal, Fides, 1978, p. 263.
49 Pierre Vadeboncœur, « La ligne du risque », Situations, vol. 4, no 1, 1962, p. 24, cité dans ibid.
50 « The Automatistes formed a coherent group, unified by one ideology, the contestation of rattrapage and the urge to create a new form of art and a new form of society if necessary. » (Artscanada, nos 174-175, décembre 1972/janvier 1973, p. 54.)
51 Daniel Baril, « La révolution selon les Automatistes » [entrevue avec François-Marc Gagnon], Les Diplômés, hiver 1994, p. 5. Je souligne.
52 « Nous sommes tous héritiers de Refus global », Le Magazine OVO, vol. 14, no 57, 1985, p. 4-5.
53 Id., « Pour comprendre Borduas », Le Devoir, 9-10 mai 1998, p. E9.
54 François [-Marc] Gagnon, « Le refus global en son temps » dans Ozias Leduc et Paul-Émile Borduas, Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal, « Conférence J.-A. DeSèves 15-16 », 1973, p. 73.
55 Voir à ce propos l’Histoire de la littérature française du Québec de Pierre de Grandpré, et Michel van Schendel. (Tome III : La poésie (1945 à nos jours), Montréal, Beauchemin, 1969, p. 208.)
56 Plus récemment, les travaux de Gilles Lapointe ont certainement joué un rôle dans la réorientation du discours critique, mais il est encore trop tôt, à mon sens, pour mesurer le degré de corroboration dont ils bénéficieront dans le processus d’accumulation et de concurrence des discours et donc leur influence à long terme sur le discours dominant.
57 Claude Gauvreau, « Tranche de perspective dynamique », Le Haut-parleur, 20 octobre 1951, p. 2.
58 Michel Conil Lacoste, « Borduas et les “automatistes” de Montréal », Le Monde, 13 octobre 1971, p. 13.
59 Jean-Jacques Lévêque, « Borduas et les “automatistes”, héritiers canadiens de Breton », Les Nouvelles littéraires, 8 octobre 1971, p. 18-19.
60 Michel Ragon, « L’automatisme québécois et les origines historiques de l’abstraction lyrique », Chroniques de l’art vivant, octobre 1971, p. 18.
61 Bernard Lecherbonnier, La chaire du verbe : histoire et poétique des surréalismes de langue française, Paris, Éditions Publisud, 1992, p. 80.
62 Yannick Gasquy-Resch, « La perception française des Automatistes québécois et Refus global », Études canadiennes (France), vol. 20, no 36, 1994, p. 13-14.
63 Id. (dir.), « Refus global », Histoire littéraire de la francophonie. Littérature du Québec, Vanves, ÉDICEF, « Universités francophones », 1994, p. 99.
64 Adam Biro et René Passeron (dir.), Dictionnaire général du surréalisme et de ses environs, Paris, Presses universitaires de France, 1982, p. 42, 240 et 387. Il n’y est, du reste, pas fait mention des contributions de Claude Gauvreau et de Jean-Paul Riopelle (outre sa signature) dans les notices leur étant consacrées (p. 180 et 365).
65 Robert Melançon, « Y eut-il une poésie automatiste ? », Francophonia : studi e ricerche sulle letterature di lingua francese (Bologne), no 37, automne 1999, p. 43-44.
66 Ibid., p. 44.
67 Johanne Lamoureux, « Les effets de l’art contemporain : relecture interdisciplinaire de la modernité plastique au Québec », dans ibid., p. 55-66.
68 Id., « Relecture interdisciplinaire de la modernité plastique au Québec ou les effets de l’art contemporain », L’art insituable, Montréal, Centre de diffusion 3D, « lieudit », 2001, p. 179-192.
69 Gilles Dupuis, « Entretien avec Fernand Leduc » et « Entretien avec Thérèse Renaud », dans Francophonia, op. cit., p. 95-110.
70 Ann Davis, Frontiers of our Dreams: Quebec Painting in the 1940’s and 1950’s, Winnipeg, Winnipeg Art Gallery, 1979, p. 25.
71 Ibid., p. 29.
72 Dennis Reid, A Concise History of Canadian Painting, Toronto, Oxford Université Press, 1973, p. 225. Ce passage est aussi cité dans An introduction to The Arts in Canada, Toronto, Minister of Supply and Services Canada, 1977, p. 70.
73 Ibid.
74 Pierre de Grandpré, avec la participation de Michel van Schendel, Histoire de la littérature française du Québec, tome III : La poésie (1945 à nos jours), Montréal, Beauchemin, 1969, p. 208.
75 Michel van Schendel, « Refus global, or the Formula and History », Yale French Studies, no 65, 1983, p. 54.
76 Ibid., p. 62.
77 Total Refusal. The Complete 1948 Manifesto of the Montreal Automatists, Toronto, Exile Editions, 1985.
78 Ray Ellenwood, Egregore. A History of the Montréal Automatist Movement, Toronto, Exile, 1992.
79 Id., « The Automatist Movement of Montreal. Towards Non-Figuration in Painting, Dance and Poetry », Canadian Literature, nos 113-114, Summer-Fall 1987, p. 11-27; « Surrealism Borduized. Borduas as interpreter of Surrealism to the Automatists », Artscanada, décembre 1978-janvier 1979, p. 14-18; « Some activities and publications around the fiftieth anniversary of Refus global », The Journal of Canadian Art History/Annales d’histoire de l’art canadien, vol. XXII, nos 1-2, 2001, p. 92-109 ; [avec Gilles Lapointe], « Laïcisation : un débat qui n’est toujours pas réglé », La Presse, 25 mars 2002, p. A15.
80 Par un heureux hasard, l’édition française de Égregore : une histoire du mouvement automatiste à Montréal est parue au moment de l’écriture de cet ouvrage (en novembre 2014). Afin de rendre hommage et d’offrir une visibilité à cette initiative qui va tout à fait dans le sens d’une plus grande reconnaissance des travaux d’Ellenwood souhaitée ici, j’ai choisi d’ajouter, en note, les références et parfois les traductions tirées de l’édition française.
81 Ray Ellenwood, « Introduction », dans Total Refusal, op. cit., p. ix.
82 Id., Egregore, op. cit., p. xii.
83 Voir ibid., p. x.
84 « The Automatist Movement of Montreal », art. cit., p. 11.
85 Ray Ellenwood, Egregore, op. cit., p. 135; Égrégore, 2014, p. 122.)
86 « Sullivan is concerned with the same questions of spontaneity as opposed to “intention”, vitality as opposed to decadence, magic as opposed to predictability, that we have seen in Borduas’texts. » (Ibid., p. 141 ; Égrégore, 2014, p. 126.)
87 Voir supra « Chapitre 9. Être “discipliné” : la lecture d’une œuvre pluridisciplinaire ».
88 Ray Ellenwood, Egregore, op. cit., p. 134. (« De plus, le pamphlet dans son ensemble possède une forte unité thématique. Cela n’apparaît peut-être pas clairement à première vue, en raison de la grande différence qui marque les sujets et la forme des textes. », Égrégore, 2014, p. 121.)
89 Id., « Introduction », dans Total Refusal, op. cit., p. xviii.
90 « The Automatist Movement of Montreal », art. cit, p. 21.
91 Ray Ellenwood, « Some activities and publications around the fiftieth anniversary », art. cit., p. 99.
92 Ibid.
93 Évoquant une citation de Reid faite plus tôt dans son introduction, Ellenwood précise, au sujet de « Refus global », qu’il est « souvent le seul texte auquel il est fait référence lorsque Refus global est mentionné » (Égrégore, 2014, p. 11).
94 André-G. Bourassa, Surrealism and Quebec Literature: History of a Cultural Revolution, Toronto, University of Toronto Press, 1984.
