1 Jacques Delisle, « Un essai de critique sur les “Prisme d’Yeux” », Montréal-Matin, 9 février 1948, p. 8.

2 André Langevin, « Une Revue d’arts graphiques », Notre Temps, 14 juin 1947, p. 4.

3 Lafcadio [Guy Jasmin], « L’Underground de l’esthétique. “Refus global”. Manifeste de l’automatisme surrationnel par Paul-Émile Borduas et compagnie », Le Canada, 23 août 1948, p. 4.

4 Guy Robert, Borduas ou le dilemme culturel québécois, Ottawa, Alain Stanké, 1977, p. 13, 15.

5 Voir Pierre Bourdieu, Les règles de l’art. Genèse et structure du champ littéraire, Paris, Seuil, 1998 [1992] (notamment la section « Position, disposition, prise de position », p. 378-384).

6 Selon cette perspective, le concept d’horizon d’attente renvoie moins à ce qui précède l’œuvre qu’à ce qui précède tout nouveau texte critique s’ajoutant à la réception ; il ne renvoie pas nécessairement au « premier public », celui présent au « moment où jadis une œuvre a été créée et reçue » tel que l’évoquait Jauss dans les années 1970, mais bien à ce qui a été dit et écrit précédemment sur l’œuvre, en accord, en cela, avec les mécanismes d’accumulation et de concurrence des discours décrits par Daniel Chartier. (Voir Hans Robert Jauss, Pour une esthétique de la réception, Paris, Gallimard, « Tel », 1978, p. 54, 63 et 74.)

7 Jean-Louis Roux, « Définissons nos positions », Le Quartier latin, 5 octobre 1945, p. 3.

8 Ibid.

9 François Lapointe, « Jean-Louis Roux est dans les patates », Le Quartier latin, 16 octobre 1945, p. 3.

10 Ibid. Voir aussi François Lapointe, « Jean-Louis Roux est encore dans les patates », Le Quartier latin, 30 octobre 1945, p. 3.

11 Jean-Louis Roux, « François Lapointe m’engueule », Le Quartier latin, 19 octobre 1945, p. 3.

12 Je rappelle que selon lui une œuvre doit être jugée en fonction d’un ensemble de « rapports, [de] proportions, [d’]ensembles ordonnés d’un ordre évident pour l’intelligence analysante et ordonnatrice » (je souligne). Cette citation trahit bien son désir… d’ordre. George Leroux dans un article sur le rapport des philosophes québécois avec la modernité en marche à cette époque affirme d’ailleurs : « Au Québec, la philosophie fut la discipline de l’autorité. Dans le cas de la modernité, cela veut dire que la place de la philosophie, dans une culture qui s’engage sur la voie de la sécularisation, n’en a pas été une de promotion de la liberté, mais de résistance à la modernité et de soutien à toutes les autorités. » (George Leroux, « De la résistance au consentement. La philosophie au Québec et les enjeux de la modernité », dans Ginette Michaud et Élisabeth Nardout-Lafarge (dir.), Constructions de la modernité au Québec, Montréal, Lanctôt éditeur, 2004, p. 359.)

13 François Lapointe, « Jean-Louis Roux est dans les patates », art. cit.

14 « Prisme d’Yeux » est d’abord le nom du mouvement qui donne son titre au manifeste Prisme d’Yeux ; j’emploierai donc l’italique uniquement lorsque mon propos portera sur le texte.

15 Il est aujourd’hui admis que le texte de Borduas circulait dans le milieu artistique dès la fin de 1947. Dans la perspective d’une étude de réception, il convient néanmoins de concevoir Prisme d’Yeux comme antérieur à Refus global puisqu’il a été le premier à être commenté par la critique.

16 Outre Pellan et de Tonnancour, il s’agit de : Louis Archambault, Léon Bellefleur, Albert Dumouchel, Gabriel Filion, Pierre Garneau, Arthur Gladu, Je Anonyme (Jean Benoît), Lucien Morin, Mimi Parent, Jeanne Rhéaume, Goodridge Roberts, Roland Truchon et Gordon Webber.

17 Maurice Huot, « “Prisme d’Yeux” ou la peinture pure », La Patrie, 5 février 1948, p. 16.

18 Prisme d’Yeux, cité dans Jacques Delisle, « Un essai de critique sur les “Prisme d’Yeux” », Montréal-Matin, 9 février 1948, p. 8. Désormais, les références à ce manifeste seront faites dans le texte, suivant l’abréviation PY.

19 Germain Lefebvre, Pellan, sa vie, son art, son temps, La Prairie, Éditions Marcel Broquet, 1986, p. 112.

20 Jacques Delisle, « Un nouveau groupe de peintres modernes : les “Prisme d’Yeux” », Montréal-Matin, 7 février 1948, p. 5.

21 Julien Labedan, « La création du “Prisme d’Yeux” », Le Canada, 27 février 1948, p. 9.

22 Charles Doyon, « Prisme d’Yeux », Le Clairon (Saint-Hyacinthe), 20 février 1948, p. 5.

23 Jacques Delisle, « Un nouveau groupe… », art. cit. Je souligne.

24 « En réponse à une critique sur “Prisme d’Yeux” », Montréal-Matin, 12 février 1948, p. 10.

25 Jacques Delisle, « Un nouveau groupe… », art. cit.

26 Georges Bergeron, « L’opinion du lecteur. “Prisme d’Yeux” », Le Devoir, 20 février 1948, p. 5.

27 Géraldine Bourbeau, « Prisme d’Yeux », Liaison, vol. 2, n^o XIII, mars 1948, p. 172.

28 Jean Simard, « Autour de “Prisme d’Yeux” », Notre temps, 14 février 1948, p. 5.

29 Julien Labedan, art. cit.

30 Jean Simard, art. cit. Je souligne.

31 Renée Normand, « Ainsi parle le lecteur… Encore “Prisme d’Yeux” », Le Devoir, 12 février 1948, p. 5.

32 Jean Simard, art. cit.

33 Maurice Huot, « “Prisme d’Yeux” ou la peinture pure », La Patrie, 5 février 1948, p. 16.

34 Jacques Delisle, « Un nouveau groupe… », art. cit.

35 Selon Nathalie Heinich, en matière d’art moderne ou contemporain, l’authenticité de la démarche de l’artiste détermine la pertinence d’une œuvre, authenticité qui « exige au minimum le sérieux, la sincérité, le désintéressement, l’intériorité, l’inspiration, l’originalité : autrement dit, tout ce qui garantit la transparence entre l’intention du créateur et l’extériorisation de cette intention dans une œuvre ». (Le triple jeu de l’art contemporain, Paris, Minuit, « Paradoxe », 1998, p. 131.)

36 « La jeune peinture », La Presse, 6 février 1948, p. 4.

37 Jacques Delisle, « Un essai de critique sur les “Prisme d’Yeux” », Montréal-Matin, 9 février 1948, p. 8.

38 George Leroux, « De la résistance au consentement. La philosophie au Québec et les enjeux de la modernité », dans Ginette Michaud et Élisabeth Nardout-Lafarge (dir.), Constructions de la modernité au Québec, Montréal, Lanctôt éditeur, 2004, p. 370.

39 E.-Martin Meunier et Jean-Philippe Warren, Sortir de la « Grande Noirceur ». L’horizon « personnaliste » de la Révolution tranquille, Sillery, Septentrion, 2002, p. 65.

40 Les critiques artistiques adhérant au renouveau catholique inspiré du personnalisme voient dans l’art (voire dans l’art abstrait) une façon d’atteindre le spirituel. Comme le montre Jean-Philippe Warren, « [d]es liens étroits existent entre la rénovation de la pensée religieuse et la conception de l’esthétique des critiques d’art catholiques progressistes, la reconnaissance de l’art abstrait étant encouragée par l’apparition d’une éthique religieuse prenant le parti de l’histoire et de l’incarnation ». (L’art vivant. Autour de Paul-Émile Borduas, Montréal, Boréal, 2011, p. 25-26.)

41 Jacques Delisle, « Un nouveau groupe… », art. cit.

42 Georges Bergeron, « L’opinion du lecteur. “Prisme d’Yeux” », Le Devoir, 20 février 1948, p. 5.

43 Jacques Delisle, « Un essai de critique sur les “Prisme d’Yeux” », art. cit.

44 Ibid.

45 J. de Tonnancour, « En réponse à une critique sur “Prisme d’Yeux” », Montréal-Matin, 12 février 1948, p. 10.

46 J.-G. Demombynes, « La fin de “Prisme d’yeux” », Le Devoir, 14 février 1948, p. 6. La litote et l’usage des guillemets laissent toutefois croire que l’aveu de son ouverture à l’innovation coûte au chroniqueur.

47 Renée Normand, « Ainsi parle le lecteur… Encore “Prisme d’Yeux” », Le Devoir, 12 février 1948, p. 5.

48 Michael Gibson, « Toujours “Prisme d’Yeux” », Le Devoir, 16 février 1948, p. 5.

49 J.-G. Demombynes, « Prisme d’Yeux », Le Devoir, 10 février 1948, p. 7.

50 Renée Normand, art. cit.

51 J.-G. Demombynes, « “Prisme d’Yeux” ou le goût du suicide », Le Devoir, 18 février 1948, p. 5.

52 Id., « Encore “Prisme d’Yeux” », Le Devoir, 20 février 1948, p. 5.

53 « La jeune peinture », La Presse, 6 février 1948, p. 4.

54 Cette « recherche du Beau qui lui n’a pas d’âge et n’est d’aucun temps en étant de tous les temps. » (Maurice Huot, « “Prisme d’Yeux” ou la peinture pure », La Patrie, 5 février 1948, p. 16.)

55 Louis Renaud, « Opinion du lecteur. “Prisme d’Yeux” chez l’oculiste », Le Devoir, 23 février 1948, p. 7.

56 M. Trouillard, « Prisme d’yeux », La Revue moderne, vol. 30, n^o 1, mai 1948, p. 25.

57 Conscients « que l’harmonie est une création continue, prix d’un effort quotidien plus difficile à l’artiste, égocentrique par nature, qu’à aucun autre », certains critiques avaient prévenu le groupe du fait que « [l] es coalitions esthétiques se forment […] dans l’enthousiasme et la camaraderie, mais finissent trop souvent dans le bruit des querelles et des revendications » (Julien Labedan, « La création du “Prisme d’Yeux” », Le Canada, 27 février 1948, p. 9 et Jean Simard, « Autour de “Prisme d’Yeux” », Notre temps, 14 février 1948, p. 5).

58 Pellan lui-même, selon une note de Guy Robert, aurait oublié que Prisme d’Yeux est paru avant Refus global. (Guy Robert, L’Art au Québec depuis 1940, Montréal, La Presse, 1973, p. 68, note 12).

59 Rémi-Paul Forgues, « Surréalisme », Le Quartier latin, 13 novembre 1945, p. 3.

60 Bruno Cormier, « Rupture », Le Quartier latin, 16 novembre 1945, p. 4.

61 Id., « Pour une pensée moderne », Le Quartier latin, 11 décembre 1945, p. 3.

62 Notamment « Cézanne, la vérité et les vipères de bon ton », 9 février 1945, p. 5, 8 ; « Révolution à la Société d’art contemporain », 3 décembre 1946, p. 4-5 ; et « La Générosité en fuite », 30 janvier 1948, p. 3.

63 Claude Gauvreau, « La peinture n’est pas un hochet de dilettante », Combat, 21 décembre 1946, p. 2, et « L’automatisme ne vient pas de chez Hadès », Notre Temps. 6 décembre 1947 et 13 décembre 1947, p. 3.

64 Pierre Gauvreau, « Arbre généalogique de l’automatisme contemporain », Le Quartier latin, 17 février 1948, p. 3.

65 Claude Gauvreau, « L’automatisme ne vient pas de chez Hadès », art. cit.

66 Tancrède Marcil jr, « Les automatistes. L’école Borduas », Le Quartier latin, 28 février 1947, p. 4.

67 Maurice Gagnon « D’une certaine peinture canadienne jeune… ou l’automatisme », Canadian Art, vol. V, n^o 3, hiver 1948, p. 138.

68 IbId., p. 145.

69 Maurice Gauthier, « Vous chantez, Borduas, pourquoi cherchez-vous à crier ? », Notre temps, 3 janvier 1948, p. 5.

70 Id., « Chers petits enfants sérieux d’automatistes », Le Quartier latin, 30 janvier 1948, p. 3.

71 Claude Gauvreau, « L’épopée automatiste vue par un cyclope », La Barre du jour, n^os 17-20, janvier-août 1969, p. 65.

72 Selon Jean-Paul Mousseau, « il n’y avait pas tellement de monde, peut-être 125 à 150 personnes » (entrevue de Mousseau avec Gilles Hénault, dans Interventions critiques. Essais, notes et entretiens, Montréal, Sémaphores, « La vie courante », 2008, p. 83). Peut-être ce nombre paraissait-il, au contraire, élevé à Gauvreau.

73 Ibid., p. 65-66.

74 Jean-François Nadeau, LaPalme. La caricature et autres sujets sérieux, Montréal, L’Hexagone, 1997, p. 103.

75 Gilles Hénault, art. cit., p. 83.

76 « Claude Gauvreau au théâtre », L’Envers du décor, vol. 6, n^o 5, mars 1974, p. 3.

77 Paul-Émile Borduas, Projections libérantes, Saint-Hilaire, Mithra-Mythe, 1949, p. 34.

78 Voir « Claude Gauvreau au théâtre », art. cit., p. 3.

79 Voir le carton d’invitation reproduit dans ibId.

80 François-Marc Gagnon, Chronique du mouvement automatiste québécois, Montréal, Lanctôt, 1998, p. 472.

81 « La revue Bleu et or », Le Petit Journal, 21 janvier 1945, p. 37.

82 « La revue Bleu et or », Le Quartier latin, 2 février 1945, p. 5. À propos de cette manifestation, voir aussi « Revue Bleu et Or au His Majesty’s », Le Quartier latin, 19 janvier 1945, p. 3 et « La 10^e revue Bleu et or », La Patrie, 27 janvier 1945, p. 34.

83 François-Marc Gagnon, op. cit., p. 187.

84 Voir à ce sujet, ibid., p. 453-462.

85 Ibid., p. 251.

86 Ibid.

87 Propos de Gagnon sur la réception critique de la 4^e exposition de la SAC en 1943 (ibid., p. 134).

88 Renée Normand, « Ainsi parle le lecteur… La Société d’art contemporain », Le Devoir, 11 février 1948, p. 5.

89 Pierre Dax et Jean Ampleman, « Exposition. “Borduasienne” », Notre Temps, 9 février 1946, p. 5.

90 Renée Normand, art. cit.

91 Jacques Delisle, « “Pulsion Allègre Grave Jaune Assoiffée” », Le Devoir, 5 février 1946, p. 2.

92 Louis Franchet, « À propos de peinture… », Le Quartier latin, 8 mars 1946, p. 3 et Claude Gauvreau, « Encore “Le Devoir” », Le Quartier latin, 19 mars 1946, p. 5, 8.

93 Julien Labedan, « La Contemporary Art Society », Le Canada, 13 avril 1948, p. 2.

94 Julien Labedan, art. cit.

95 Il s’agit probablement de Robert Bonfils, illustrateur, peintre, graveur et relieur français, qui enseigne à l’époque à l’École Estienne (École supérieure des arts et industries graphiques) de Paris.

96 Éloi de Grandmont, « L’art contemporain », Le Canada, 6 février 1946, p. 5.

97 Maurice Gagnon, « D’une certaine peinture canadienne jeune… ou l’automatisme », Canadian Art, vol. V, n^o 3, hiver 1948, p. 136.

98 Ibid.

99 Raymond Grenier, « Succès des peintres de Montréal à Paris », La Presse, 21 juin 1947, p. 49.

100 Id., « Exposition à Paris », La Presse, 27 mai 1947, p. 8.

101 Marcel Rioux, « Exposition canadienne à Paris », Notre Temps, 12 juillet 1947, p. 5.

102 Guy Viau, art. cit.

103 Marcel Rioux, art. cit.

104 « Commentaires sur “l’École Borduas” exposant à Paris », La Presse, 1^er juillet 1947, p. 10.

105 Eloi de Grandmont, « “Le groupe Borduas”. Exposition à Paris de six peintres canadiens », Le Canada, 16 juillet 1947, p. 3.

106 Daniel Chartier, L’émergence des classiques. La réception de la littérature québécoise des années 1930, Montréal, Fides, 2000, p. 148. Voir au sujet de « l’effet français », p. 139-173.

107 Maurice Gagnon, art. cit.

108 Charles Doyon, « “Refus global” », Le Clairon (Saint-Hyacinthe), 27 août 1948, p. 5.

109 Compte rendu de la conférence reproduit dans « Le surréalisme au point de vue moral », La Presse, 20 décembre 1948, p. 9 ; « Le surréalisme est mort, dit le R.P. Robillard », Le Canada, 20 décembre 1948, p. 16, 2 ; et « Le surréalisme et la révolution des intellectuels », Le Devoir, 20 décembre 1948, p. 10.

110 Maurice Gagnon, « D’une certaine peinture canadienne jeune… ou l’automatisme », Canadian Art, vol. V, n^o 3, hiver 1948, p. 136.

111 Pierre Gauvreau, « Arbre généalogique de l’automatisme contemporain », Le Quartier latin, 17 février 1948, p. 3.

112 « Bombe automatiste chez Tranquille », paru dans Montréal-Matin, 5 août 1948, p. 5 ; La Patrie, 7 août 1948, p. 43 ; et Le Clairon (Saint-Hyacinthe), 13 août 1948, p. 4.

113 « Les théories de M. Borduas. Les conférences sur l’automatisme sont suivies d’un manifeste », La Presse, 10 août 1948, p. 4.

114 Josephine Hambleton, « A Canadian Painter Of Vision », The Evening Citizen, 12 juin 1948, p. 32.

115 « Exposition des “automatistes” chez Tranquille », Le Petit Journal, 25 juillet 1948, p. 44.

116 « Bombe automatiste chez Tranquille », paru dans Montréal-Matin, 5 août 1948, p. 5 ; La Patrie, 7 août 1948, p. 43 ; et Le Clairon (Saint-Hyacinthe), 13 août 1948, p. 4.

117 Charles Doyon, « “Refus global” », Le Clairon (Saint-Hyacinthe), 27 août 1948, p. 5.

118 C.H. [Charles Doyon], « Bombe automatiste », Le Clairon (Saint-Hyacinthe), 13 août 1948, p. 4.

119 « Bombe automatiste chez Tranquille », Montréal-Matin, 5 août 1948, p. 5 ; La Patrie, 7 août 1948, p. 43.

120 Rolland Boulanger, « Dynamitage automatiste à la Librairie Tranquille », Montréal-Matin, 9 août 1948, p. 5.

121 « Entre les lignes », Le Petit Journal, 15 août 1948, p. 38.

122 Charles Doyon, art. cit.

123 « Bombe automatiste chez Tranquille », art. cit.

124 Donald W. Buchanan, « New Books on the Art. Refus global », Canadian Art, Christmas 1948, p. 86.

125 « Dans le courrier », Le Canada, 16 août 1948, p. 4.

126 « Entre les lignes », art. cit.

127 Lafcadio [Guy Jasmin], « L’Underground de l’esthétique. “Refus global”. Manifeste de l’automatisme surrationnel par Paul-Émile Borduas et compagnie », Le Canada, 23 août 1948, p. 4.

128 Charles Doyon, « “Refus global” », Le Clairon (Saint-Hyacinthe), 27 août 1948, p. 5.