1 Ibrahima Thioub, « L’esclavage et les traites en Afrique occidentale : entre histoires et mémoires », Cahiers libres, 2008, p. 201-213, p. 203.
2 Elikia M’bokolo, « La rencontre des deux mondes et ses répercussions : la part de l’Afrique (1492-1992) », dans Elikia M’bokolo (dir.), L’Afrique entre l’Europe et l’Amérique, le rôle de l’Afrique dans la rencontre des deux mondes, 1492-1992, Paris, Unesco, 1995, p. 13-30, p. 20.
3 Catherine Coquery-Vidrovitch, « Pourquoi il faut enseigner l’histoire ancienne de l’Afrique », dans http://aggiornamento.hypotheses.org/500, 14 septembre 2011 [consulté le 22 juin 2014].
4 Ibid.
5 Jacques Heers, Les négriers en terres d’Islam : la première traite des Noirs VIIe-XVIe siècle, Paris, Perrin, 2003, p. 161.
6 Murray Gordon, L’esclavage dans le monde arabe VIIe-XXe siècle, Paris, Taillandier, 2009.
7 Olivier Pétré-Grenouilleau, Les traites négrières : essai d’histoire globale, Paris, Gallimard, 2004, p. 30.
8 Catherine Coquery-Vidrovitch, « Le postulat de la suprématie blanche et de l’infériorité noire », dans Marc Ferro (dir.), Le livre noir du colonialisme XVIe-XXIe siècle : de l’extermination à la repentance, Paris, Laffont, 2003, p. 646-691, p. 649.
9 Gomes Eanes de Zurara, Chronique de la côte de Guinée (1453), Paris, Chandeigne, 2011.
10 Olivier Pétré-Grenouilleau, Les traites négrières…, p. 69.
11 Sur la bulle de 1454, voir Assani Fassassi, Le péché du pape contre l’Afrique, Paris, Al Qalami, 2002.
12 Ibrahima Thioub, « L’esclavage et les traites en Afrique occidentale », p. 201.
13 Kwame Nkrumah, L’Afrique doit s’unir, Paris, Présence africaine, 2009 (1963), p. 21.
14 Ibid., p. 22.
15 Kwame Nkrumah, L’Afrique doit s’unir, p. 22.
16 Kinvi Logossah, « Aux origines de la traite négrière transatlantique : introduction au débat sur la responsabilité africaine », Cahiers Libres, 2008, p. 189-199, p. 197.
17 John Thornton, Africa and Africans in the Making of the Atlantic World, 1400-1800, Cambridge, Cambridge University Press, 1998, p. 43.
18 Cheikh Anta Diop, Nations nègres et cultures, Paris, Présence africaine, 1979 (1954), voir chapitre II, « Naissance du mythe du nègre », p. 53.
19 Ibid., p. 53.
20 Ibid., p. 54-55.
21 Catherine Coquery-Vidrovitch et Éric Menard, Être esclave – Afrique-Amériques, XVe-XIXe siècle, Paris, La découverte, 2013.
22 Ever since I have been old enough to think for myself, I have entertained the idea that, notwithstanding the cruel wrongs inflicted upon us, the black man got nearly as much out of slavery as the white man did. The hurtful influences of the institution were not by any means confined to the Negro. This was fully illustrated by the life upon our own plantation. The whole machinery of slavery was so constructed as to cause labour, as a rule, to be looked upon as a badge of degradation, of inferiority. Hence labour was something that both races on the slave plantation sought to escape. The slave system on our place, in a large measure, took the spirit of self-reliance and self-help out of the white people. Booker T. Washington, Up From Slavery, New York, Dover Publications, 1995 (1901), p. 8-9.
23 Pap Ndiaye, « Les esclaves du Sud des États-Unis », dans Marc Ferro (dir.), Le livre noir du colonialisme, XVIe-XXIe siècle : de l’extermination à la repentance, Paris, Laffont, 2003, p. 120-132, p. 124.
24 William Edward Burghardt Du Bois, The Souls of Black Folk, New York, Dover Publications, 1994 (1903), voir le chapitre 6, intitulé « Of the Training of Black Men », p. 55-67.
25 « is endeavouring to assist you in solving the Negro problem by helping the Negro to become enterprising, independent politically and by having a country of his own. » Amy Jacques-Garvey (éd.), Philosophy and Opinions of Marcus Garvey, Journal of Pan African Studies, 2009, eBook, voir: http://www.black-matters.com/books/Marcus-Garvey-Phil-and-Opinions.pdf
26 Actes du Congrès de Vienne du 9 juin 1815 avec ses annexes, Vienne, Imprimerie impériale et royale, 1815, 332 p., voir http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k91227n
27 Robin Blackburn, « Une perspective comparée sur l’abolitionnisme et l’émancipation », dans Patrick Weil et Stéphane Dufoix, L’esclavage, la colonisation et après…, Paris, PUF, 2005, p. 137-192, p. 139-140.
28 Ibid., p. 151-152.
29 April A. Gordon and Donald L. Gordon, Understanding Contemporary Africa, Londres, Lynne Rienner Publishers, 1996, 2e édition, p. 41.
30 Blackburn, « Une perspective comparée… », p. 154.
31 Jean-Marie Bipoun Woum, « Les aspects juridiques de la Conférence de Berlin (novembre 1884-février 1885) », dans Actes du colloque international, Centenaire de la Conférence de Berlin 1884-1885, Paris, Présence africaine, 1987, p. 127-135, p. 127.
32 Annexe XV de l’Acte du Congrès de Vienne du 9 juin 1815 relatif à la « Déclaration des Puissances sur l’abolition de la Traite des Nègres », dans http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k91227n/f310.image, p. 302-305, p. 302.
33 Ibid., p. 303.
34 Ibid., p. 304.
35 Serge Daget, La traite des Noirs : bastilles négrières et velléités abolitionnistes, Paris, Ouest-France Université, 1990, p. 184.
36 Françoise Verges, Abolir la traite : une utopie coloniale, les ambiguïtés d’une politique humanitaire, Paris, Albin Michel, 2001, p. 16.
37 Henri Wesseling, Le partage de l’Afrique, Paris, Denoël, 1996, p. 221-230.
38 Acte général de la Conférence de Berlin (1884-1885), voir http://mjp.univ-perp.fr/traites/1885berlin.htm
39 Ibid., p. 1. Préambule de l’Acte général de Berlin.
40 Ibid., p. 4. Acte général de Berlin, article 6, chapitre I, « Dispositions relatives à la protection des indigènes, des missionnaires et des voyageurs ainsi qu’à la liberté religieuse ».
41 Catherine Coquery-Vidrovitch, L’Afrique et les Africains au XIXe siècle. Mutations, révolutions et crises, Paris, Colin, 1999, p. 223.
42 L’abolition de l’esclavage est proclamée respectivement en 1833 et en 1848 dans les colonies anglaises et françaises et en 1863 aux États-Unis.
43 Jean-Marie Bipoun Woum, « Les aspects juridiques de la Conférence de Berlin », p. 131-132.
44 Ibid., p. 132.
45 Michel Foucher, Fronts et frontières : un tour du monde géopolitique, Paris, Fayard 1991 (1988), 690 p.
46 Catherine Coquery-Vidrovitch, « Histoire et perception des frontières en Afrique du XIIe au XXe siècle », Unesco et CISH, Des frontières en Afrique du XIIe au XXe siècle, Paris, Unesco, 2005, p. 39-54, p. 44.
47 Thierno Bah, « Frontières, guerre et paix dans l’Afrique précoloniale : l’exemple des chefferies Bamiléké et du royaume Bamum de l’Ouest-Cameroun », dans Unesco et CISH, Des frontières en Afrique du XIIe au XXe siècle, Paris, Unesco, 2005, p. 145-158.
48 Coquery-Vidrovitch, « Histoire et perception… », p. 39.
49 . Ibid., p. 44.
50 Kwame Nkrumah, L’Afrique doit s’unir, p. 24.
51 Coquery-Vidrovitch, L’Afrique et les Africains…, p. 233.