1Marc Grodwhol, La Fantastique Épopée des carrousels-salons : quand le bonheur ne tenait qu’à... un tour de cochons, Strasbourg, Éditions Écoparcs / Oberlin, 1991, p. 13.
2Arthur Pougin, Dictionnaire historique et pittoresque du théâtre et des arts qui s’y rattachent, Paris, Firmin-Didot, 1885, p. 2-3.
3Jack Thomas, Le Temps des foires : foires et marchés dans le Midi toulousain de la fin de l’Ancien Régime à 1914, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, 1993, p. 322.
4Jean-Pierre Rioux & Jean-François Sirinelli (dir.), Histoire culturelle de la France, Paris, Éditions du Seuil, 2004, p. 95.
6APP, D1 128, dossier « Foire aux Pains d’épices 1880 » : rapport du commissaire de police des quartiers Bel-Air et Picpus, 29 mars 1880.
7François Bontemps, Bilboquet : mes souvenirs, Paris, Librairie Félix Alcan, 1933, p. 22. François Bontemps est né en 1892. On peut donc supposer que ces souvenirs d’enfance remontent aux alentours des années 1900.
8Jules Vallès, « Scènes de la vie étrange. La banque et les banquistes », Le Figaro, 20 juillet 1865, p. 3.
9François Bontemps, Bilboquet, op. cit., p. 22.
10Dominique Margairaz, Foires et marchés dans la France préindustrielle, Paris, Éditions de l’EHESS, 1988, p. 73.
11Fabienne Marchal & François Marchal, La Belle Époque de l’art forain, catalogue d’exposition, Saint-Dié-des-Vosges, Musée municipal, 1988, p. 25-26.
13Marie-Louise Aubry-Breton, « La floraison des foires et des marchés au xixe siècle. L’exemple d’un département breton : l’Ille-et-Vilaine », Études rurales, no 78-79-80, 1980, p. 169-174.
14Hippolyte Vaucquier du Traversain, Physiologie de la foire Saint-Romain, Rouen, Haulard, 1846, p. 3.
15Les Foires de Troyes, ses magasins, ses curiosités artistiques et naturelles, ses spectacles, Troyes, Imprimerie de Anner-André, 1851, p. 1.
18Albert Lefebvre & Jean-Marc Fiey, 150 ans de fêtes foraines, s. l., s. n., 1984, p. 9.
19Marie-Claude Groshens, « La pratique théâtrale foraine : contribution à l’étude de la fête marchande », Ethnologie française, vol. 17, no 1, 1987, p. 53-58.
20Je reprends ici l’expression « faire marché » que propose Michèle de la Pradelle (voir Michèle de la Pradelle, Les Vendredis de Carpentras : faire son marché, en Provence ou ailleurs, Paris, Fayard, 1996). Celle-ci explique que le marché est « un espace social construit sur le mode du jeu » (p. 89). Pour cette dernière, les boniments qui réunissent les promeneurs-spectateurs pendant quelques minutes sont un des éléments principaux de la théâtralité de ces espaces de fête.
21Article « Forains », dans Pierre Larousse, Grand Dictionnaire universel du xixe siècle, Paris, Administration du Grand Dictionnaire universel, 1866-1877, vol. 8, p. 1262.
23François Bidel, Les Mémoires d’un dompteur, Paris, Librairie de l’Art, 1888, p. 59.
24Hugues Le Roux, Les Jeux du cirque et la vie foraine, Paris, Plon, 1889, p. 21.
25Rapport présenté par M. Foussier, au nom de la 2e commission, au sujet du roulement des fêtes foraines dans Paris, s. l., Conseil municipal de Paris, 1895, p. 18.
26Lettre du préfet de la Seine, 1875, rapportée ibid., p. 20.
30Marion Bergogne, Les Fêtes foraines parisiennes (1874-1938), mémoire de Master 2, Paris, Université Paris I Panthéon-Sorbonne, 2012, p. 115.
33Agnès Rosolen, De la foire au Pain d’épice à la foire du Trône, Charenton-le-Pont, Éditions L. M., 1985, p. 19.
36Recueil des actes administratifs de la préfecture du département de la Seine, Paris, Préfecture du département de la Seine, 1865, p. 144.
38Étienne Gervais [Jean-Just Étienne Roy], La Foire aux Pains d’épices, Tours, A. Mame et Fils, 1877, p. 9.
39Élie Frébault, « À travers Paris », L’Office de Paris, 15 mars 1872, p. 3.
40Agnès Rosolen, De la foire au Pain d’épice à la foire du Trône, op. cit., p. 20.
41Le Gaulois, no 3086-3087, 2-3 avril 1877, p. 2.
42Le Gaulois, no 198, 29 mars 1880, p. 2.
44Hugues Le Roux la présente comme « la foire “chic” » (Les Jeux du cirque et la vie foraine, op. cit., p. 38).
45Le Monde illustré, no 690, 2 juillet 1870, p. 3.
46La Lanterne, no 428, 23 juin 1878, p. 3.
47Gaston Escudier, Les Saltimbanques, leur vie, leurs mœurs, Paris, Lévy Frères, 1875, p. 22.
48Hélène Solignac Saint-Cernin (dir.), La Fête des Loges à Saint-Germain-en-Laye, 1800-1914, Poissy, Les Presses franciliennes, 2013, p. 14.
49Jules Claretie, Ruines et fantômes, Paris, Bachelin-Deflorenne, 1874, p. 229-230.
50Hugues Le Roux, Les Jeux du cirque et la vie foraine, op. cit., p. 35-36.
52Marion Bergogne, Les Fêtes foraines parisiennes, op. cit., p. 12.
54Jacques Garnier, Les Forains d’hier et d’aujourd’hui, Orléans, Jacques Garnier, 1968, p. 380.
55Hugues Le Roux, Les Jeux du cirque et la vie foraine, op. cit., p. 18.
56Christiane Py & Cécile Ferenczi, La Fête foraine d’autrefois : les années 1900, Lyon, La Manufacture, 1987, p. 30.
58Jules Vallès, « La rue à la fête foraine du XIVe arrondissement », La Vie moderne, 9 octobre 1880, dans Œuvres complètes, vol. 2, Paris, Éditeurs français réunis, 1950, p. 423.
59Achille Bloch, « La foire aux Pains d’épices », L’Illustration théâtrale, 1885, p. 5.
60Le Voyageur forain, no 8, 1er-10 avril 1884, p. 2.
61Jean Richepin, « Les saltimbanques », Gil Blas, no 505, 6 avril 1881, p. 1.
62Jacques Garnier, Forains d’hier et d’aujourd’hui, Orléans, Jacques Garnier, 1968. Cette typologie structure l’ouvrage, chaque catégorie constituant un chapitre.
63Paul Gsell, « Les théâtres forains », Le Monde moderne, 1895.
64Programme officiel de la Foire aux Pains d’épices, 1906, p. 1, BHVP, série actualité, 89, dossier « Foires et fêtes foraines ».
65Jules Vallès, La Rue [1866], dans Œuvres complètes, vol. 1, Paris, Livre Club Diderot, p. 459.
66Hugues Le Roux, Les Jeux du cirque et la vie foraine, op. cit., p. 44.
67Marion Bergogne, Les Fêtes foraines parisiennes, op. cit., p. 78.
68Léon Roux, « Les théâtres forains », La Justice, no 4100, 6 avril 1891, p. 2.
69Henri Gallici-Rancy, Les Forains peints par eux-mêmes, s. l., music-hall Gallici-Rancy, 1903, p. 42.
70Le Voyageur forain, no 8, 1er-10 avril 1884, p. 2.
71Albert Monnier, « Les parades et les boniments des saltimbanques », Le Journal pour rire, no 112, 19 novembre 1853, p. 1.
72Jennifer Ruimi, La Parade de société au xviiie siècle : une forme dramatique oubliée, Paris, Honoré Champion, 2015, p. 58.
73Henri Gallici-Rancy, Les Forains peints par eux-mêmes, op. cit., p. 96.
74Paris Illustré, no 13, juillet 1884, p. 1.
75Léon Roux, « Les théâtres forains », art. cité, p. 2.
76Jules Vallès, « Scènes de la vie étrange. La banque et les banquistes », Le Figaro, 20 juillet 1865, p. 2.
77Gabriel Mourey, Fêtes foraines de Paris, Paris, Les Cent Bibliophiles, 1906, p. 11-14.
78Hugues Le Roux, Les Jeux du cirque et la vie foraine, op. cit., p. 65-66.
79Victor Fournel, Ce qu’on voit dans les rues de Paris [1855], Paris, A. Delahaye, 1858, p. 52.
80« Forains et saltimbanques : le théâtre chez les forains », Le Figaro illustré, 1er décembre 1897, p. 204.
81Victor Fournel, Ce qu’on voit dans les rues de Paris, op. cit., p. 51.
82Jules Vallès, « Scènes de la vie étrange. La banque et les banquistes », art. cité, p. 2.
84Henri Gallici-Rancy, Les Forains peints par eux-mêmes, op. cit., p. 42.
86Jules Vallès, « Scènes de la vie étrange. La banque et les banquistes », art. cité, p. 2.
87Jacques Léonard, Archives du corps : la santé au xixe siècle, Rennes, Ouest-France Université, 1986, p. 214.
88Olivier Goetz, « La chanson, “spectacle” de la Belle Époque », dans Isabelle Moindrot (dir.), Le Spectaculaire dans les arts de la scène du romantisme à la Belle Époque, Paris, CNRS Éditions, 2006, p. 147-156.
89Jean-Georges Kastner, Les Voix de Paris : essai d’une histoire littéraire et musicale des cris populaires de la capitale depuis le Moyen Âge jusqu’à nos jours, précédé de considérations sur l’origine et le caractère du cri en général, Paris, G. Brandus, Dufour et Cie, 1857, p. 107.
90Le Figaro, no 173, 21 juin 1872, p. 1.
91Charles Malato, Les Forains, Paris, Douin, 1925, p. 144.
92Voir Frédéric Loyer, Histoire de la lutte et du catch, Caen, Presses universitaires de Caen, 2009.
93Charles Malato, Les Forains, op. cit., p. 187.
94Gaston Escudier, Les Saltimbanques, leur vie, leurs mœurs, op. cit., p. 218-219.
95Frédéric Loyer & Jean-François Loudcher, « La difficile sportivisation de la lutte : l’histoire d’une force à maîtriser (1852-1913) », Sport History Review, no 44, 2013, p. 149.
96Mamboursac, « Marseille est mort », Le Figaro, 20 juin 1897, p. 1.
97La Vie au grand air, 18 juin 1899, p. 477.
101Gaston Escudier, Les Saltimbanques, leur vie, leurs mœurs, op. cit., p. 45-47.
103Robert Bogdan, Freak Show: Presenting Human Oddities for Amusement and Profits, Chicago, Chicago University Press, 1988.
104Paris illustré, no 15, 1er juillet 1884, p. 83.
105Gaston Escudier, Les Saltimbanques, leur vie, leurs mœurs, op. cit., p. 106.
106Irina Podgorny, « L’inquiétante étrangeté des musées ambulants et des collections d’anatomie populaire au xixe siècle », dans Pilar Gonzalez-Bernardo & Liliane Hilaire-Perez (dir.), Les Savoirs-mondes : mobilité et circulation des savoirs depuis le Moyen Âge, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2009, p. 105.
107Gaston Escudier, Les Saltimbanques, leur vie, leurs mœurs, op. cit., p. 100-101.
108Hugues Le Roux, Les Jeux du cirque et la vie foraine, op. cit., p. 49.
109ANSS, affiche du fonds consacré à la « Fête à Neuilly ».
110Le Voyageur forain, no 66, 1er-15 mai 1888.
111Le Voyageur forain, no 67, 15-31 mai 1888.
112L’Industriel forain, no 389, 17-23 janvier 1897.
113Gaston Escudier, Les Saltimbanques, leur vie, leurs mœurs, op. cit., p. 301.
114Hugues Le Roux, Les Jeux du cirque et la vie foraine, op. cit., p. 66.
115Musée de la vie wallonne, Foires et forains en Wallonie : magie foraine d’autrefois, Liège, Pierre Mardaga, 1989, p. 174-175.
116L’Europe artiste, 8 février 1880, p. 3.
117Le Petit Parisien, 24 octobre 1888, p. 3.
118Théâtre Casti, le plus grand du voyage. Les Mille et un Calembours. Les Jeux d’enfants. Souvenir au public du célèbre clown Peppino, s. l., Imprimerie de Lorient, s. d., p. 2. MUCEM, fonds Gustave Soury, porte-documents 4 (affiches).
120Le Matin, 17 janvier 1896, p. 2.
121Hugues Le Roux, Les Jeux du cirque et la vie foraine, op. cit., p. 66.
122Journal pour rire, no 89, 11 juin 1853, p. 3.
123Hugues Le Roux, « La vie à Paris », Le Temps, no 9481, 20 avril 1887, p. 2.
124Jules Vallès, « Les foires » [1882], dans Le Tableau de Paris, Paris, Les Éditeurs français réunis, 1971, p. 93.
125L’Industriel forain, no 541, 7-13 janvier 1900.
126« Paris s’amuse : la foire aux Jambons et la foire au Pain d’épice », Le Matin, 15 avril 1884, p. 3.
127Louis Marsolleau, « Notre Paris : le théâtre de la foire », Le Rappel, no 9199, 18 mai 1895, p. 1.
128« Une majesté foraine », La Lanterne, 30 mars 1891, p. 1.
129Le Voyageur forain, no 29, 1er-31 janvier 1886.
130L’Industriel forain, no 101, 15-31 octobre 1889.
131L’Industriel forain, no 195, 30 avril-6 mai 1893.
132L’Industriel forain, no 395, 28 février-6 mars 1897.
133Le Voyageur forain, no 63, 15-31 mars 1888.
135L’Industriel forain, no 414, 11-17 juillet 1897.
136Le Voyageur forain, no 64, 1er-15 avril 1888.
137Le Voyageur forain, no 108, 1er-15 février 1890.
138L’Industriel forain, no 201, 11-17 juin 1893.
139L’Industriel forain, no 511, 21-27 mai 1899.
140Le Voyageur forain, no 79, 15-30 novembre 1888.
141Le Voyageur forain, no 87, 15-31 mars 1889.
142Léon Roux, « Clam, roi des pitres », Le Figaro, 20 octobre 1894, p. 168.
143L’Industriel forain, 15-21 août 1897, p. 3.
144Il s’agit en fait de Mme Constance, qu’on a cru être pendant longtemps la femme de Cocherie – tandis que d’autres parlaient de sa fille. Preuve, peut-être, qu’il n’était pas habituel de voir une femme assurer le boniment.
145« Le théâtre Cocherie », Le Gaulois, no 3571, 31 août 1892.
146Coupure de presse, 1877, BNF, fonds Rondel, RO-17.446.
147Jules Vallès, « Les foires » [1882], dans Le Tableau de Paris, op. cit., p. 85.
148François Bidel, Les Mémoires d’un dompteur, op. cit., p. 38.
153Frédéric Loyer, Histoire de la lutte et du catch, op. cit., p. 72.
154« Marseille est mort », Le Figaro, 20 juin 1897, p. 1.
155La Vie au grand air : revue illustrée de tous les sports, 17 novembre 1901, p. 682.
156Timothée Trimm, « Les lutteurs de demain », Le Petit Journal, 12 mai 1867, p. 1.
157Le Radical, no 153, 2 juin 1895.
159« Chronique de la foire X : la lutte et les lutteurs », Le Petit Journal, 10 avril 1877, p. 2.
160Frédéric Loyer, Histoire de la lutte et du catch, op. cit., p. 72.
161J. Puyou, « La rhétorique des lutteurs », L’Avant-scène, 31 mai-6 juin 1868, p. 4.
162Valansol, « Le roi des pitres », Le Petit Parisien, no 8835, 5 janvier 1901, p. 2.
163Le véritable nom d’Henri Daunay était Célestin-François Duperrey (21 avril 1843-27 avril 1913).
164Propriétaire du théâtre des Barnums de France, il proposait des spectacles de physique amusante, comme Adrien Delille et Henri Daunay.
165Masson proposait au début de la IIIe République un spectacle d’apparitions fantastiques.
166Georges Dubosc, « Les amuseurs d’autrefois », Journal de Rouen, 22 novembre 1896.
167Valansol, « Le roi des pitres », art. cité.
168Le Figaro, 2 mai 1879, p. 2.
169La Semaine à Paris : Paris-guide... : tout ce qui se voit, tout ce qui s’entend à Paris, 26 avril 1929, p. 10.
170Jules Vallès, « Scènes de la vie étrange. La banque et les banquistes », art. cité, p. 3-4.
171L’Industrie du Nord et du Pas-de-Calais, 10 avril 1859, p. 58.
172Le Journal des débats politiques et littéraires, 10 novembre 1893, p. 3. Cette nouvelle est reprise telle quelle dans Gil Blas, no 5108, 12 novembre 1893, p. 2.
173Le Radical, no 318, 14 novembre 1893, p. 3.
174Le Journal, no 10848, 30 juin 1922, p. 3.
175Francillon, « Trente ans de bohème », Le Gaulois, 1er juin 1922, p. 1.
176Gil Blas, 17 juillet 1886, p. 2.
177« Madame Constance » (rubrique nécrologique), L’Intransigeant, 19 janvier 1896, p. 3.
178L’Industriel forain, no 336, 12-18 janvier 1896.
179L’Industriel forain, no 278, 2-8 décembre 1894, p. 3.
180Henry Thétard, « Où vont nos fêtes foraines ? (II) », Le Petit Parisien, no 18417, 2 août 1927, p. 2.
181Maurice Gray, « La Foire aux Pains d’épices », L’Illustration théâtrale, no 15 et 16, 14 et 21 avril 1885, p. 7.
182Eau-de-vie fabriquée en Normandie.
183Angelin Ruelle, « Attractions modernes », dans À la fête de Neuilly : silhouettes foraines, Paris, Libraire Léon Vanier, 1908, p. 74.
184Arlette Farge, Essai pour une histoire des voix au dix-huitième siècle, Montrouge, Bayard, 2009, p. 149-150.
185Le Voyageur forain, no 43, 1er-31 mars 1887.
186Gabriel Mourey, Fêtes foraines de Paris, op. cit., p. 11.
187Mikhail Bakhtine, L’Œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Âge et sous la Renaissance [1970], Paris, Gallimard, 2012, p. 220.
188Victor Fournel, « Tableaux de Paris : la foire au Pain d’épice », Les Annales politiques et littéraires, 1888, p. 211.
189Alain Corbin, « Historiographique de l’écoute », dans Jean-Marc Larrue & Marie-Madeleine Mervant-Roux (dir.), Le Son du théâtre (xixe-xxie siècles) : histoire intermédiale d’un lieu d’écoute moderne, Paris, CNRS Éditions, 2016, p. 23-35.
190Olivier Balaÿ, L’Espace sonore de la ville au xixe siècle, Lyon, À la croisée édition, 2003, p. 18.
191Mikhail Bakhtine, L’Œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Âge et sous la Renaissance, op. cit., p. 157.
192Angelin Ruelle, À la fête de Neuilly : silhouettes foraines, Paris, Librairie Léon Vanier, 1908.
194James W. Cook, The Arts of Deception: Playing with Fraud in the Age of Barnum, Cambridge, Harvard University Press, 2001, p. 17.
195L’expression a notamment été employée par Germain Lacasse. Voir Germain Lacasse, « Du cinéma oral au spectateur muet », Cinémas, vol. 9, no 1, « Les dispositifs de médiation au cinéma », automne 1998, p. 43-62.
196Victor Fournel, Esquisses et croquis parisiens : petite chronique du temps présent, Paris, Plon, 1876-1879, p. 175.
197« Est objet de représentation au théâtre, selon ma définition de ce concept, tout élément générique de la théâtralisation de l’espace. [...] L’objet de représentation, par opposition à l’accessoire de jeu ou au décor, se situe dans un rapport structurel au lieu théâtral en général et à l’aire de jeu en particulier. » Élie Konigson, « Les objets de représentation au théâtre (xve-xviie siècles) », Nouvelle Revue du seizième siècle, vol. 14, no 2, 1996, p. 190.
198Victor Fournel, Esquisses et croquis parisiens, op. cit., p. 211.
199Paul Adrian, Ce rire qui vient du cirque, Bourg-la-Reine, Adrian, 1969, p. 8.