1Isabelle Lefort & Philippe Pelletier, « Élisée Reclus ou la condition géographique : habiter la Terre », Annales de géographie, vol. 704, no 4, 2015, p. 338-350.
2Élisée Reclus, Du sentiment de la nature dans les sociétés modernes [1866], Paris, Bartillat, 2019, p. 80.
6Élisée Reclus, Correspondance, Paris, Schleicher Frères, 1911, vol. 1, p. 109.
7Élisée Reclus, L’Homme et la Terre, Paris, Librairie universelle, 1905, vol. 1, p. 10.
8Élisée Reclus, « L’art et le peuple », dans Almanach illustré de la révolution pour 1904, Paris, Les Temps nouveaux, 1904, p. 21-22.
10Van Rysselberghe réalise la couverture de La Morale anarchiste de Kropotkine en 1899, Angrand celle de La Loi et l’Autorité du même Kropotkine en 1913 ; Luce réalise le portrait de Louise Michel pour sa nécrologie publiée dans Le Libertaire (22 janvier 1905) et dessine la couverture de la revue anarchiste Les Hommes du jour (avril 1911).
12Ce que Helmholtz écrit sur notre appréhension du monde présente de fortes similitudes avec ce que nous avons décrit auparavant : « Tout ce que nous appréhendons du monde extérieur arrive à notre conscience au moyen de certains changements qui sont produits dans nos organes des sens par des impressions extérieures et qui sont transmises au cerveau par les nerfs. C’est dans le cerveau que ces impressions deviennent d’abord des sensations conscientes, puis sont combinées de façon à produire nos représentations de l’objet. » Hermann von Helmholtz, Optique physiologique, 1867, p. 296, cité dans Jacqueline Lichtenstein, Carole Maigné & Arnauld Pierre (dir.), Vers la science de l’art : l’esthétique scientifique en France, 1857-1937, Paris, Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 2013, p. 119.
14Georges Roques, « La sensation visuelle selon Hermann von Helmholtz et sa réception en France », dans Jacqueline Lichtenstein, Carole Maigné & Arnauld Pierre (dir.), Vers la science de l’art, op. cit., p. 120-121.
15Octave Mirbeau, La France, 23 avril 1885, reproduit dans Des artistes, première série 1885-1896, peintres et sculpteurs, Paris, E. Flammarion, 1922-1924, p. 45.
22Les peintres préraphaélites anglais pratiquaient la peinture en plein air, peu avant que le fassent les impressionnistes. Le préraphaélisme s’inspire des préceptes de retour à la nature formulés par le critique d’art John Ruskin, souvent cité par Reclus.
23Gaston Bachelard, L’Eau et les Rêves [1942], Paris, Le Livre de poche, 2020, p. 95-108.
24Notamment La Chevelure (1892) d’Henri-Edmond Cross et La Natte (Suzanne Valadon) (1884) d’Auguste Renoir.
25Georges Rodenbach, Bruges-la-Morte [1892], Paris, Gallimard, 2020, et le poème La Chevelure de Charles Baudelaire.
33Jérôme David, « Les “tableaux” des sciences sociales naissantes : comparatisme, statistique, littérature », Revue d’histoire des sciences humaines, vol. 2, no 5, 2001, p. 37-59.
34« Ce que le texte dit qu’il y a. » Jérôme David, « Engagement ontologique », dans Emmanuel Bouju (dir.), Théories de la littérature : nouveaux éléments de vocabulaire, Nantes, Éditions Cécile Defaut, 2015, p. 75.
35Élisée Reclus, « De l’action humaine sur la géographie physique : l’homme et la nature », Revue des deux mondes, 1864, p. 762.
36Élisée Reclus, L’Homme et la Terre, op. cit., p. i.
37Jérôme David, « Les “tableaux” des sciences sociales naissantes », art. cité, p. 53.
40Dans les deux extraits suivants sont indiqués entre crochets les chapitres qui traitent de manière emphatique chacune des déclinaisons de l’amour de la montagne. Reclus constate aussi que les meilleures accessibilités vers les montagnes par la route ou le chemin de fer « sont là des progrès considérables ». HM, p. 221.
57Marie Thébaud-Sorger, « Spectacles de sciences », dans Dominique Pestre (dir.), Histoire des sciences et des savoirs, 1. De la Renaissance aux Lumières, Paris, Éditions du Seuil, 2015, p. 141.