1Richard Lafaille, La Géographie et ses marges, thèse de doctorat en géographie, Montréal, Université McGill, 1988, p. 387. Voir aussi Richard Lafaille, « En lisant Reclus », Annales de géographie, no 548, 1989, p. 445-456.
2Richard Lafaille, La Géographie et ses marges, op. cit., p. 390-391.
5Bertrand Guest, Révolutions dans le cosmos : essais de libération géographique. Humboldt, Thoreau, Reclus, Paris, Classiques Garnier, 2017.
6Bertrand Guest, « L’essai, forme-sens de l’écologie littéraire naissante ? Humboldt, Thoreau, Reclus », Romantisme, vol. 164, no 2, 2014, p. 69.
8Bertrand Guest, Révolutions dans le cosmos, op. cit., p. 338.
9Aymeric Caron, « Préface », dans Élisée Reclus, Histoire d’un ruisseau suivi de Histoire d’une montagne, Paris, Arthaud, 2017, p. 6.
11Élisée Reclus, Histoire d’un ruisseau, Paris, Ardavena, 2022 et Élisée Reclus, Histoire d’une montagne, Paris, Ardavena, 2022.
13Valérie Chansigaud, « Parler de la nature, un acte politique », dans Élisée Reclus, Histoire d’un ruisseau suivi de Du sentiment de la nature dans les sociétés modernes, Paris, Le Pommier, 2023, p. 6.
14Jules Levallois, « Livres nouveaux », L’Opinion nationale, 1870, p. 3.
15Jules Clarétie, « Les livres (Hetzel) », La Justice, 1882, p. 3.
16Roméo Bondon, « Préface », dans Élisée Reclus, Histoire d’une montagne. Histoire d’un ruisseau, Paris, Libertalia, 2023, p. 21.
17Marie Gargne (encart), dans Élisée Reclus, La Source et autres histoires d’un ruisseau, Paris, Gallimard, 2021, p. 6.
19Yann Calbérac, « Les petits ruisseaux font les grandes montagnes. Une géographie en devenir : la preuve par le texte », dans Isabelle Lefort & Philippe Pelletier (dir.), Élisée Reclus et nos géographies : textes et prétextes, Paris, Noir et rouge, p. 177.
20Élisée Reclus, Du sentiment de la nature dans les sociétés modernes [1866], Paris, Bartillat, 2019, p. 78-79.
22Comme le rapporte l’architecte Gilles Barbey : « Le cas de Montreux sur la Riviera lémanique peut être évoqué comme étant caractéristique de la “construction” d’un paysage en référence à un mythe progressivement répandu. » Gilles Barbey, « La persistance du mythe montreusien », Architecture & comportement / Architecture & Behaviour, vol. 3, no 4, 1987, p. 327.
23Élisée Reclus, Du sentiment de la nature dans les sociétés modernes, op. cit., p. 79.
24Federico Ferretti, Élisée Reclus : lettres de prison et d’exil, Lardy, À la frontière, 2012, p. 60.
26Philippe Pelletier, « Géographie, anthropologie et anarchie au xixe siècle », Journal des anthropologues, no 152-153, 2018, p. 38.
29Nous nous éloignons considérablement du « pan-romantisme » de Robert Sayre et Michael Löwy, qui consiste à voir du romantisme partout. Selon eux, il y a un romantisme conservateur, fasciste, libéral ou révolutionnaire, et même libertaire (« Figures du romantisme anti-capitaliste : une tentative de typologie », L’Homme et la Société, no 73-74, 1984, p. 169).
30France Renucci, « Géographie de la révolte », Les Cahiers de médiologie, vol. 13, no 1, 2002, p. 114.
33Serge Audier, La Société écologique et ses ennemis : pour une histoire alternative de l’émancipation, Paris, La Découverte, 2017, p. 466.
34Précisons que nos critiques visent une certaine écologie politique : nous ne sommes ni climatosceptique ni défenseur du capitalisme extractiviste.
35Michel Collot, « La métamorphose des éléments dans la géographie d’Élisée Reclus », communication au séminaire « La nature a lieu(x) », 28 février 2020 à Paris.
36Philippe Pelletier, Écologie et géographie, une histoire tumultueuse (xixe-xxe siècle), Paris, CNRS Éditions, 2022. Voir aussi Catherine Rhein, « L’écologie humaine, discipline-chimère », Sociétés contemporaines, no 49-50, 2003, p. 167-190, en ligne : www.cairn.info/revue-societes-contemporaines-2003-1-page-167.htm (juin 2024).
37C’est le cas de Pierre Schoentjes, Littérature et écologie : le mur des abeilles, Paris, Éditions José Corti, 2020.
38Ferhat Taylan, Mésopolitique : connaître, théoriser et gouverner les milieux de vie (1750-1900), Paris, Éditions de la Sorbonne, 2018, p. 15.
40Ibid., p. 8‑9. Nous soulignons.
41Nous souscrivons ici aux vues du géographe Philippe Pelletier, « Pourquoi Élisée Reclus a choisi la géographie et non l’écologie », dans Denis Chartier & Estienne Rodary (dir.), Manifeste pour une géographie environnementale : géographie, écologie, politique, Paris, Presses de Sciences Po, 2016, p. 101‑124. ; et dans « Élisée Reclus et la mésologie », communication au colloque « Retour des territoires, renouveau de la mésologie », 26-27 mars 2015 à Corte, en ligne : https://rgl.hypotheses.org/files/2015/10/ER-M%C3%A9sologie.pdf (juin 2024).
42Élisée Reclus, L’Homme et la Terre, Paris, Librairie universelle, 1905, vol. 1, p. 39-40.
43Serge Audier, La Société écologique et ses ennemis, op. cit., p. 466.
44Philippe Pelletier, Noir & vert : anarchie et écologie, une histoire croisée, Paris, Le Cavalier bleu, 2021, p. 204.
45Ferhat Taylan, Mésopolitique, op. cit., p. 9-10.
46Lettre à Jean Grave, 26 septembre 1885 (insérée dans Le Révolté du 11 octobre), dans Élisée Reclus, Correspondance, Paris, Schleicher Frères, 1914, vol. 2, p. 365.
47Lettre à Richard Heath, 6 juin 1884, ibid., p. 318.
48Georges Roques, « Élisée Reclus géographe : un héritage encore virtuel », dans Jérôme Quaretti & Gilbert Larguier (dir.), La Commune de 1871 : utopie ou modernité ?, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, 2021, p. 324.
