1Renée Vivien, Une femme m’apparut..., Paris, Alphonse Lemerre, 1905, p. 160.

2Pierre Jourde, L’Alcool du silence : sur la décadence, Paris, Honoré Champion, 1995, p. 21.

3Christian Berg, L’Automne des idées : symbolisme et décadence à la fin du xix^e siècle en France et en Belgique, Louvain-la-Neuve, Peeters, 2013, p. 29.

4Marcel Schwob, « Préface », dans Le Roi au masque d’or, Paris, Librairie Ollendorff, 1893.

5Jean de Palacio, « Existe-t-il une écriture féminine de la décadence », dans Figures et formes de la décadence, Paris, Séguier, 1994, p. 183.

6Ibid., p. 184.

7Renée Vivien, Une femme m’apparut..., op. cit., p. 15.

8Ibid., p. 17.

9Ibid., p. 150.

10Renée Vivien [Paule Riversdale], L’Être double [1904], Nicolas Berger (éd.), Aurillac, ErosOnyx, 2014, p. 146.

11Patrizia Lo Verde, « Une femme m’apparut... ou de l’hybridation générique », dans Nicole G. Albert (dir.), Renée Vivien à rebours : édition pour un centenaire, Paris, Orizons, 2009, p. 121.

12Renée Vivien, Une femme m’apparut..., op. cit., p. 160.

13Ibid., p. 159.

14Morgane Leray, « L’été indien d’une fin-de-siècle européenne », Acta fabula, vol. 15, n^o 1, janvier 2014, en ligne : www.fabula.org/acta/document8375.php (février 2024).

15Renée Vivien, L’Être double, op. cit., p. 38.

16Ibid., p. 97.

17Renée Vivien, Le Christ, Aphrodite et M. Pépin [1907] suivi de L’Album de Sylvestre [1908], Patricia Izquierdo (éd.), Aurillac, ErosOnyx, 2021, p. 40.

18Ibid., p. 41.

19Lettre de Renée Vivien en réponse à un critique, citée par Jean-Paul Goujon, Tes blessures sont plus douces que leurs caresses : vie de Renée Vivien, Paris, Régine Deforges, 1986, p. 268.

20Renée Vivien, Lettres inédites à Jean Charles-Brun (1900-1909), Nelly Sanchez (éd.), Paris, Mauconduit, 2020, p. 193.

21Renée Vivien, Le Christ, Aphrodite et M. Pépin suivi de L’Album de Sylvestre, op. cit., p. 72.

22Ibid., p. 83.

23Elle-même n’y a vraisemblablement accordé qu’une importance secondaire, à l’exception d’Une femme m’apparut... Voir Renée Vivien, Lettres inédites à Jean Charles-Brun (1900-1909), op. cit., p. 11.

24Camille Le Mercier d’Erm, La Muse aux violettes : poème, Paris, Sansot, 1910.

25Natalie Clifford Barney, La Grande Revue, citée par Patricia Izquierdo, « Avant-propos », dans Renée Vivien, Le Christ, Aphrodite et M. Pépin suivi de L’Album de Sylvestre, op. cit., p. 11.

26Pierre Jourde, L’Alcool du silence, op. cit., p. 21.

27Renée Vivien, Une femme m’apparut..., op. cit., p. 17.

28Renée Vivien, Lettres inédites à Jean Charles-Brun, op. cit., p. 72.

29Ibid., p. 51.

30Renée Vivien, Lettres inédites à Jean Charles-Brun, op. cit., p. 205.

31Michel Foucault, Dits et écrits, 4. 1980-1988, Paris, Gallimard, 2001, p. 402.

32Renée Vivien, Lettres inédites à Jean Charles-Brun, op. cit., p. 112.

33Ibid., p. 74.

34Patricia Izquierdo, « Entre tradition et subversion, stratégies d’écriture des femmes poètes à la Belle Époque », dans Patricia Godi-Tkatchouk (dir.), Voi(es)x de l’autre : poètes femmes, xix^e -xxi^e siècles, Clermont-Ferrand, Presses universitaires Blaise-Pascal, 2010, p. 128.

35Nicole G. Albert, « Anna de Noailles et Renée Vivien : des destinées comparées ou le ‘‘Dur Désir de durer’’ », dans Wendy Prin-Conti (dir.), Femmes poètes de la Belle Époque : heurs et malheurs d’un héritage, Paris, Honoré Champion, 2019, p. 128.

36Renée Vivien, Lettres inédites à Jean Charles-Brun, op. cit., p. 72 et 112.

37Renée Vivien, Lettres de Renée Vivien à Kérimé, Jean Leproux (éd.), Aigues-Vives, HB Éditions, 1998, p. 61.

38Renée Vivien, Lettres inédites à Jean Charles-Brun, op. cit., p. 113.

39Selon le concept opératoire de Lebensform chez Ludwig Wittgenstein, Recherches philosophiques [1953], Paris, Gallimard, 2005.

40Marielle Macé, Styles : critique de nos formes de vie, Paris, Gallimard, 2016, p. 20.

41Ibid., p. 22.

42Rachilde, « Une femme m’apparut », Mercure de France, vol. 51, n^o 173, mai 1904.

43Renée Vivien, Lettres inédites à Jean Charles-Brun, op. cit., p. 75.

44Voir Pierre Jourde, L’Alcool du silence, op. cit., p. 44.

45Patricia Izquierdo, « Renée Vivien à rebours de la littérature féminine de la Belle Époque », dans Nicole G. Albert (dir.), Renée Vivien à rebours, op. cit., p. 31.

46Voir Patricia Izquierdo, « Entre tradition et subversion, stratégies d’écriture des femmes poètes à la Belle Époque », art. cité, p. 127.

47Ibid.

48Charles Maurras, Le Romantisme féminin [1905], Paris, Cité des livres, 1926, p. 83.

49Alphonse Séché, Les Muses françaises : anthologie des femmes-poètes, Paris, Louis-Michaud, 1908, vol. 2, p. 75.

50Paul Flat, Nos femmes de lettres, Paris, Perrin, 1909, p. 92.

51Ibid., p. 29-30.

52Ibid., p. 108.

53Alphonse Séché, Les Muses françaises, op. cit., p. 344.

54Ibid., p. 15.

55Paul Bourget, Études et portraits, 3. Sociologie et littérature, Paris, Plon, 1906, p. 221.

56Charles Maurras, Le Romantisme féminin, op. cit., p. 14.

57Julien Joseph Virey, De la physiologie dans ses rapports avec la philosophie, Paris, Baillière, 1844.

58Jean de Gourmont, Muses d’aujourd’hui : essai de physiologie poétique, Paris, Mercure de France, 1910, p. 26.

59Paul Flat, Nos femmes de lettres, op. cit., p. iv.

60Jérémy Naïm, « L’action de l’influence : théorie d’un mot au xix^e siècle », Revue d’histoire littéraire de la France, vol. 120, n^o 2, avril-juin 2020, p. 410.

61Charles Maurras, Le Romantisme féminin, op. cit., p. 18.

62Pour de plus amples développements, voir Camille Islert, « “Pas la trace d’une influence masculine” (Renée Vivien) : le genre de l’influence au xix^e siècle », Contextes, n^o 33, 2023, en ligne : https://journals.openedition.org/contextes/11244 (février 2024).

63Jérémy Naïm, « L’action de l’influence », art. cité, p. 406.

64Alphonse Séché, Les Caractères de la poésie contemporaine, Paris, Sansot, 1913, p. 101.

65Jules Barbey d’Aurevilly, Les Œuvres et les Hommes, 11. Les Poètes (deuxième série), Paris, Alphonse Lemerre, 1889, p. 296.

66Jean Ernest-Charles, La Littérature française d’aujourd’hui, Paris, Perrin, 1902, p. 66.

67Jules Barbey d’Aurevilly, Les Œuvres et les Hommes, 11. Les Poètes, op. cit., p. 323.

68Jérémy Naïm, « L’action de l’influence », art. cité., p. 416.

69Renée Vivien, Lettres inédites à Jean Charles-Brun, op. cit., p. 100.

70Remy de Gourmont, Le Livre des masques [1896], Paris, Mercure de France, 1921, p. 109.

71Jean Ernest-Charles, La Grande Revue, cité par Alphonse Séché, Les Muses françaises, op. cit., p. 360.

72Wendy Prin-Conti, « Les femmes poètes, marraines littéraires oubliées de la jeunesse 1900 », dans Wendy Prin-Conti (dir.), Femmes poètes de la Belle Époque, op. cit., p. 95.

73Jean Ernest-Charles, La Grande Revue, cité par Alphonse Séché, Les Muses françaises, op. cit., p. 359.

74Jérémy Naïm, « L’action de l’influence », art. cité, p. 422.

75George Sand, « Essai sur le drame fantastique : Goethe, Byron, Mickiewicz », dans Christine Planté & Olivier Bara (dir.), George Sand critique : 1833-1876, Tusson, Éditions du Lérot, 2006, p. 53-117.

76Patricia Izquierdo, « Entre tradition et subversion, stratégies d’écriture des femmes poètes à la Belle Époque », art. cité, p. 132-135.

77Natalie Clifford Barney, Quelques portraits-sonnets de femmes, Paris, Librairie Ollendorff, 1900, p. xiii.

78Lucie Delarue-Mardrus, « Billet de la parisienne », Le Journal, 20 janvier 1931.

79Patricia Izquierdo, « Entre tradition et subversion, stratégies d’écriture des femmes poètes à la Belle Époque », art. cité, p. 134.

80Lucie Delarue-Mardrus, Mes Mémoires, Paris, Gallimard, 1938, p. 109.

81Patricia Izquierdo, « Entre tradition et subversion, stratégies d’écriture des femmes poètes à la Belle Époque », art. cité, p. 136.

82Adrianna M. Paliyenko, Envie de génie : la contribution des femmes à l’histoire de la poésie française (xix^e siècle), Nicole G. Albert (trad.), Mont-Saint-Aignan, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2020, p. 52.

83Jean de Gourmont, Muses d’aujourd’hui, op. cit., p. 28.

84Georges Casella & Ernest Gaubert, La Nouvelle Littérature, Paris, Sansot, 1906, p. 136.

85Lucie Delarue-Mardrus, « Supplique », dans Occident, Paris, La Revue blanche, 1901, p. 57.

86Lucie Delarue-Mardrus, « Belle nuit », dans Occident, op. cit., p. 253.

87Voir Gretchen Schultz, The Gendered Lyric: Subjectivity and Difference in Nineteenth-Century French Poetry, West Lafayette, Purdue University Press, 1999.