1 Alain Suberchicot, Littérature et environnement : pour une écocritique comparée, Paris, Honoré Champion, 2012, p. 124.
2 Adolphe Brisson, « Jules Verne » [1899], dans Entretiens avec Jules Verne 1873-1905, Daniel Compère & Jean-Michel Margot (éd.), Genève, Slatkine, 1998, p. 137.
3 Bertrand Guest, Révolutions dans le cosmos, Essais de libération géographique : Humboldt, Thoreau, Reclus, Paris, Classiques Garnier, 2017, p. 173.
4 Ibid. p. 76.
5 DTL, p. 459.
6 Élisée Reclus, La Terre : description des phénomènes de la vie du globe, Paris, Hachette, 1869, vol. 2, p. 623.
7 Ibid., p. 747.
8 Cela dit, les deux hommes ne partagent pas exactement le même point de vue sur le vivant. Verne penche du côté utilitariste et s’inquiète d’abord du bouleversement de l’ordre naturel, alors que Reclus, bien moins conservateur, valorise l’harmonie entre tous les êtres. Les préoccupations environnementales du géographe sont indissociables de son engagement anarchiste : l’humain doit coopérer avec la nature et non la soumettre.
9 VML, p. 327.
10 Jules Michelet, La Mer [1861], Paris, Gallimard, 1983, p. 264-265.
11 L’Angleterre est le premier pays à mettre en place un arsenal juridique pour « protéger » les animaux sauvages, d’élevage et domestiques contre les mauvais traitements, les combats, les expérimentations et la captivité.
12 G. Bruno, Premier livre de lecture et d’instruction pour l’enfant (morale et connaissances usuelles) : cours élémentaire, premier semestre, Paris, Belin, 1901, p. 143.
13 Jules Michelet, La Mer, op. cit., p. 271.
14 John Oswald, The Cry of Nature, or an Appeal to Mercy and Justice, on Behalf of the Persecuted Animals, Londres, J. Johnson, 1791.
15 Jeremy Bentham, Introduction aux principes de morale et de législation [1789], Centre Bentham (trad.), Paris, Vrin, 2011, p. 325.
16 Jules Michelet, Bible de l’humanité, Paris, F. Chamerot, 1864, p. 61.
17 Jules Michelet, La Mer, op. cit., p. 271.
18 Ibid., p. 270.
19 PDF, p. 13.
20 OR, p. 97.
21 RLC, p. 92.
22 ACH, p. 368-369.
23 Jules Verne, Seconde patrie, Paris, Hetzel, 1900, p. 191-192.
24 « Personne n’apprécie plus que moi la chasse à la bécasse en octobre mais, depuis que j’ai été initié à la danse céleste, je constate que je me contente d’en tirer une ou deux, pas plus. Je veux être sûr qu’en avril, il n’y aura pas de pénurie de danseurs dans le ciel. » Aldo Leopold, Almanach d’un comté des sables [1949], Anna Gibson (trad.), Paris, Flammarion, 2000, p. 56.
25 Voir Isabelle Guillaume, Imaginaires de la chasse de 1870 à 1914, Paris, Honoré Champion, 2019.
26 VML, p. 349.
27 IM, p. 237.
28 CSB, p. 186.
29 VML, p. 27-28.
30 Jules Michelet, La Mer, op. cit., p. 263.
31 Ibid., p. 269-270.
32 VML, p. 334.
33 Jules Verne, Un capitaine de quinze ans, Paris, Hetzel, 1878, p. 2.
34 ECG, p. 270.
35 LJ, p. 212.
36 Jules Verne, César Cascabel, Paris, Hetzel, 1890, p. 232.
37 SG, 1897, p. 10.
38 Jules Verne, Le Phare du bout du monde [1905], Québec, Stanké, 1999, p. 45.
39 Jules Michelet, La Mer, op. cit., p. 229.
40 Aldo Leopold, Almanach d’un comté des sables [1949], op. cit., p. 15.
41 Ibid., p. 258.
42 Top (L’Île mystérieuse) ; Phan (Deux ans de vacances) ; Wagram et Marengo (César Cascabel) ; Coupe à cœur (L’Invasion de la mer) ; Stop (Le Volcan d’or) ; Fido (L’Oncle Robinson).
43 « Ces oiseaux sont des animaux stupides et nos bâtons en viendront aisément à bout. » OR, p. 205.
44 « [...] l’air stupide qui les caractérise », SG, p. 12.
45 ACH, p. 414.
46 Ibid., p. 173.
47 Alphonse Toussenel, L’Esprit des bêtes. Le monde des oiseaux : ornithologie passionnelle, Paris, Librairie phalanstérienne, 1853 ; L’Esprit des bêtes. Zoologie passionnelle : mammifères de France, Paris, Librairie phalanstérienne, 1855.
48 VML, p. 383.
49 RLC, p. 15.