Remerciements
p. 189-190
Texte intégral
1Je remercie Nathalie Petitjean, Flora Vernaton et Jean-Yves Authier des Presses universitaires de Lyon pour l’édition minutieuse de cet ouvrage, ainsi que Françoise Gélibert qui a repris mes productions graphiques et en a créé de nouvelles. Merci à Nicola Lo Calzo d’avoir proposé ses photographies pour accompagner ce livre.
2Je remercie Pascal Mulet, mon collègue, compagnon de galères du doctorat, qui a relu l’ensemble du présent ouvrage. Je n’aurais pas eu de meilleur relecteur pour guider la réduction des 700 pages de ma thèse.
3Pour financer la recherche qui est présentée dans cet ouvrage, j’ai bénéficié d’un contrat doctoral, puis d’un contrat d’attachée temporaire d’enseignement de recherche à l’Université Paris-Descartes. J’ai également obtenu une bourse de recherche de la mission Ethnologie de la France du ministère de la Culture et une aide au terrain via la formation doctorale Sciences de la société, cohabilitée par l’EHESS et l’ENS. Le prix de thèse 2018 de l’Union sociale pour l’habitat m’a permis d’envisager la publication de cet ouvrage, ainsi qu’une subvention de mon laboratoire actuel, le Laboratoire architecture ville urbanisme environnement (LAVUE).
4Je remercie ma directrice de thèse, Anne Gotman, et mon codirecteur, Benoît de L’Estoile, pour avoir encadré ce travail de recherche entre 2012 et 2017, au sein de deux équipes d’accueil, le Centre de recherche sur les liens sociaux (CERLIS) et l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (IRIS) ; ainsi que les membres de mon jury de thèse : Sylvie Tissot, Stéphanie Guyon, Olivia Gomes da Cunha et Alexis Spire, dont les remarques m’ont permis de reprendre de nombreux éléments du texte pour le présent ouvrage. Des historiennes m’ont beaucoup aidée lors des premières années de ma recherche : ma directrice de mémoire à l’EHESS, Isabelle Backouche, et Marie-Claude Blanc-Chaléard.
5De nombreux.ses chercheur.euse.s rencontré.e.s en Guyane et ailleurs m’ont aidée à avancer à différentes étapes : Ine Apapoe, Catherine Benoît, Gérard Collomb, Odile Hoffmann, Katia Kukawka, Bettina Migge, Jean Moomou, Thomas Polimé, Richard et Sally Price, Yerri Urbain et Frédéric Piantoni qui m’a transmis certaines de ses cartes. Diane Vernon m’a généreusement ouvert la voie en me présentant ses ami.e.s après quarante années d’études passionnées sur le Maroni. Les urbanistes du Gret ont été de précieuses interlocutrices sur le terrain. Enfin, j’ai été très inspirée par mon séjour de recherche au Museu Nacional de l’Université fédérale de Rio de Janeiro, dans le cadre du projet « Modes de gouvernements et pratiques économiques ordinaires » dirigé par Benoît de L’Estoile et Federico Neiburg. Merci aussi aux écrivains Jessi Américain (Itinéraire d’un enfant du ghetto) et Colin Niel (Obia) pour nos échanges sur leurs textes respectifs qui évoquent les univers de Soholang avec toute la puissance de la fiction quand elle est ancrée dans le vécu.
6Je remercie toutes les personnes qui m’ont aidée durant mes séjours à Soholang. Mes pensées vont tout d’abord aux familles qui m’ont généreusement accueillie et que j’éviterai de nommer ici pour préserver leur anonymat. Certaines de ces personnes ont fortement contribué à l’élaboration de mon travail par nos discussions, en particulier Abollo Awasai qui a aussi mis à ma disposition son bureau et sa voiture. Je remercie également Anne-Laure Dobros et mes anciens collègues du service patrimoine de la mairie de Saint-Laurent-du-Maroni, Marie Bourdeau, Joyce Sabayo, Akai Feith, Léa Castieau, Étienne Assiti, ainsi que Brigitte Wyngaarde. Merci aussi à la bande du Malabarouf d’avoir su créer des respirations artistiques essentielles sur le terrain.
7Je remercie enfin mes parents, mes sœurs et mon frère, ainsi que mon compagnon et mes proches ami.e.s, pour m’avoir soutenue constamment dans cette démarche au long cours.
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La Jeune sociologie urbaine francophone
Retour sur la tradition et exploration de nouveaux champs
Jean-Yves Authier, Alain Bourdin et Marie-Pierre Lefeuvre (dir.)
2014
