N^o 335. De Pierre-Jean de Béranger à Pierre-Fidèle Bretonneau 1842, 27 janvier. – S.L

1a. Triaire (Paul), Bretonneau et ses correspondants, Paris : Félix Alcan, 1892, vol. 2, p. 392-393.

2Démission de Bretonneau apprise par Béranger. – Santé et travaux de Béranger.

327 janvier 1842.

4[…]1 Nous avons enfin des détails précis des tracasseries que vous avez éprouvées pour l’établissement de votre école. Elles ont été grandes, et la pauvre école y a perdu son plus beau fleuron ; à Tours, une école de médecine sans vous semblait chose impossible. On a triomphé de la difficulté, à ce qu’il paraît ; mais de loin cela ressemble assez à l’enseigne des cabaretiers : la Bonne Femme sans têtea. Puissiez-vous n’avoir pas quelques remords de pareille anomalie. Ce que j’ai appris avec plaisir, c’est que M. Frédéric avait la chaire qu’il souhaitait, dans laquelle ses études de prédilection doivent lui donner d’agréables succès. J’espère qu’il ne pense plus au Texas2.

5Quant à moi, mon cher ami, je suis assez souvent souffreteux, et, chose qui m’affecte un peu, je m’aperçois d’un gr