1 P. BRET, « “Ils ne forment tous qu’une même république, académiciens, amateurs et savants étrangers dans la correspondance des chimistes à la fin du 18e siècle », Dix-huitième siècle. 40 (2008), p. 263-279.
2 J.-P. SCHANDELER, « République des sciences ou fractures de la République des lettres », Dix-huitième siècle, 40 (2008), p. 315-332, et le dossier présenté par S. ZÉKIAN, « La guerre des étoiles : l’astronomie entre lettres et sciences », Orages, Littérature et culture, 1760-1830, 13 (mars 2014), p. 11-198, plus particulièrement, sur notre sujet, la contribution de D. GLEIZES, « Un astronome dans le débat public : Jérôme de Lalande, de l’expertise à la polémique », p. 23-40.
3 J.-C. PECKER, « L’œuvre scientifique de Lalande », Jérôme Lalande (1732-1807), Les Nouvelles Annales de l’Ain (1985), p. 1-31 ; S. DUMONT, Un astronome des Lumières, Jérôme Lalande, Paris, coéd. Vuibert - Observatoire de Paris, 2007. La présente contribution doit beaucoup aux remarques faites par ces éminents spécialistes de Lalande lors du séminaire où elle a été présentée et il m’est agréable de pouvoir les remercier ici. Voir aussi la notice biographique « Lalande, Joseph-Jérôme Lefrançais De » par T. L. HANKINS, Complete Dictionary of Scientific Biography, Detroit, Scribner, 2008, en ligne. Plus récemment, le volume collectif publié sous la direction de G. BOISTEL, J. LAMY, C. LE LAY, Jérôme Lalande (1732-1807). Une trajectoire scientifique. Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2010, éclaire quelques-unes des facettes de la vie et des activités scientifiques de l’astronome. Le présent travail doit beaucoup à cette biographie collective.
4 Bibliographie astronomique avec l’histoire de l’astronomie depuis 1781 jusqu ’à 1802, par Jérôme de La Lande, ancien Directeur de l’Observatoire, Membre de l’Institut national, des Académies de Londres, de Berlin, de Pétersbourg, de Stockholm, de Bologne, &c., Paris, Imprimerie de la République, an XI (1803), 966 p. (désormais : Bibliographie astronomique).
5 Lalande ne sera chargé de la direction de l’Observatoire que le 17 mai 1795.
6 Le P. Laurent Béraud (1702-1777), professeur de mathématiques au collège de la Trinité et directeur de l’observatoire de Lyon.
7 Abrégé d’Astronomie par M. de La Lande, Paris, Vve Desaint, 1774. in-8°, p. viii.
8 Nicolas Louis de la Caille séjourne au Cap de Bonne Espérance de 1750 à 1754 et réalise la première carte des étoiles de l’hémisphère sud.
9 On observera qu’une telle précocité de la reconnaissance scientifique n’a toutefois rien d’exceptionnel à cette époque. Avant Lalande, Alexis Clairaut était entré à l’Académie des sciences à l’âge de dix-huit ans en 1731. Pierre-Charles Le Monnier à l’âge de vingt et un ans en 1736, et D ’Alembert à l’âge de vingt-trois ans en 1741.
10 F. BLÉCHET, G. BOISTEL, La Connaissance des temps, dans Dictionnaire des journaux, J. SGARD (dir.), en ligne (notice n° 221) : ˂http://dictionnaire-journaux.gazettesl8e.fr/journal/0221-la-connaissance-des-temps>.
11 La relation épistolaire entre Lalande et l’astronome ardéchois Flaugergues se noue ainsi d’abord par le canal du périodique. Voir S. DUMONT, S. DÉBARBAT, « Deux correspondants du vieil astronome Lalande : Honoré Flaugergues et Franz Xaver von Zach », dans Jérôme Lalande, G. BOISTEL et al. (dir.), op. cit., p. 149-164 1151], L’abondante correspondance de Lalande a commencé à être publiée, notamment les Lettres à Mme Du Pierry et au juge Honoré Flaugergues, J.- C. PECKER, S. DUMONT (éd.), Paris, Vrin, 2007 (Lalandiana, 1), mais elle n’est encore que partiellement accessible.
12 Voir Y. LAISSUS, J. TORLAIS, Le Jardin du Roi et le Collège royal dans l’enseignement des sciences au XVIIIe siècle, Paris, Hermann, 1986, p. 264-265.
13 Voir, par exemple, l’article « Lalande » dans J. AIKIN, General biography, London, Robinson, 1799-1815, vol. 10, p. 395-397.
14 S. DUMONT, S. DÉBARBAT, « Deux correspondants », op. cit. ; J. LAMY, « Parcours initiatiques, les élèves méridionaux de Lalande », dans Jérôme Lalande, G. BOISTEL et al. (dir.), op. cit., p. 33-49.
15 A. CAGNOLI, Trigonometria plana e sferica, Paris, 1786, in-4°.
16 Nouveaux mémoires de l’Académie royale des Sciences et Belles Lettres de Berlin (1786), p. 26.
17 Bibliographie astronomique, p. 705-706.
18 Publié par les soins de Lalande, le Voyage d’un François en Italie, dans les années 1765 & 1766, Venise et Paris, Desaint, 1769, 8 vol. in-12, avec un atlas in-4°, est devenu un classique ; voir C. LE LAY, « Le Voyage d’un François en Italie », dans Jérôme Lalande, G. BOISTEL et al. (dir.), op. cit., p. 183-194. Le journal du voyage à Berlin pour la période du 4 janvier au 26 juin 1751 est conservé à la BNF (ms. fr. 12275), voir J. GAPAILLARD, « Lalande à Berlin et sa correspondance avec Euler », dans Jérôme Lalande, G. BOISTEL et al. (dir.), op. cit., p. 87-107 (p. 88) : celui du premier voyage en Angleterre a été édité par H. MONOD-CASSIDY : J. LALANDE, Journal d’un voyage en Angleterre 1763, Oxford, The Voltaire Foundation, 1980 ; le carnet de notes du voyage aux Pays-Bas (9 mai-18 juillet 1774), conservé à la Bibliothèque de l’Institut sous la cote ms 2195, a été étudié par F. WEEKENSTROO, « Lalandes “Voyage de Hollande”. Het reisverslag van een astronoom, 1774 », Studium : Tijdschrift voor Wetenschaps- en Universiteitsgeschiedenis /Revue d’Histoire des Sciences et des Universités, 5-4 (2012), p. 240-251.
19 S. JURATIC, « Publier les sciences au XVIIIe siècle : la librairie parisienne et la diffusion des savoirs scientifiques », Dix-huitième siècle, 40 (2008), p. 301-313 (p. 310).
20 Lettre de Lalande à Maskelyne, 30 octobre 1788, citée par D. M. E. FAUQUE, « La correspondance Jérôme Lalande et Nevil Maskelyne », dans Jérôme Lalande, G. BOISTEL et al, (dir.), op. cit., p. 109- 128 (p. 120).
21 Bibliographie astronomique, p. 661-662.
22 Discours prononcé par M. Delambre, secrétaire perpétuel de la première Classe de l’Institut de France, aux obsèques de Joseph-Jérôme de La Lande, le lundi 6 avril 1807 [extrait du n° 102 du Moniteur, 1807], p. 8.
23 Cité par C. DE SALM, Éloge historique de M. de La Lande, Paris, impr. J. B. Sajou, 1810, p. 40.
24 Descriptions des arts et métiers faites ou approuvées par MM. de l’Académie royale des sciences, [Paris], 1761-1767. Lalande est l’auteur de neuf volumes de la collection des Arts de faire le papier, de faire le maroquin, de faire le parchemin, de l’’hongroyeur, du mégissier, du cartonnier, du chamoiseur, du tanneur, du corroyeur.
25 Voir C. DONATO (dit.). Inventaire de l’Encyclopédie d’l’verdon, ˂http://cl8.net/ey/index.php>.
26 Bibliographie astronomique, p. 687.
27 Prospectus annonçant la parution de cet ouvrage pour le mois d’août 1764, p. 1 (Paris, Desaint et Saillant, 1764, in-4°, 4 p.). L’accroche de ce prospectus est ainsi libellée : « Traité complet d’astronomie théorique et pratique, contenant de nouvelles tables astronomiques. Deux volumes in-4°, de plus de huit cents pages chacun, avec trente-six planches en taille-douce. Par M. de La Lande, Conseiller du Roi. Lecteur royal en Mathématiques, Censeur Royal. Membre de l’Académie Royale des Sciences de Paris, de la Société Royale de Londres, del’Académie des Arts établie en Angleterre, de l’Académie Impériale de Pétersbourg, de l’Académie Royale des Sciences & Belles Lettres de Prusse, de celle de Göttingen, de l’Institut de Bologne, des Académies de Lyon, de Rouen, de Dijon, de Caen, d’Auxerre. »
28 Astronomie par M. de la Lande, Seconde édition, Paris, Vve Desaint, 1771, 3 vol. (avec ajout d’un quatrième volume en 1781) ; Astronomie par Jérôme Le Français, Troisième édition, revue et augmentée, Paris, Vve Desaint, imp. P. Didot l’aîné, 1792, 3 vol
29 Une autre édition est publiée à Paris, F. Didot, 1795 : l’ouvrage est en outre traduit en italien et en allemand.
30 Bibliothèque universelle des dames. Astronomie par de La Lande, [Paris], 1786. L’ouvrage connaît deux rééditions du vivant de l’auteur : Astronomie des Dames par Jérôme Lalande, directeur de l’Observatoire et Inspecteur du Collège de France. Seconde édition revue et augmentée, Paris, Cuchet, an IV de la République française (1795) ; Astronomie des dames, Par Jérôme de Lalande. Troisième édition, revue et augmentée, Paris. Bidault. 1806.
31 « Je ne vais point au spectacle : l’étude, la société des gens d’esprit, surtout des femmes instruites, sont mes seules récréations. Telles ont été successivement pour moi les sociétés de Mesdames Geoffrin. du Bocage, du Défant, de Bourdic, de Beauharnais, de Salm, etc. », indique-t-il dans les notes personnelles qu’il confie à Constance de Salm en lui demandant de prononcer son éloge funèbre, voir C. DE SALM, Éloge historique, op. cit., p. 40.
32 Sur les relations entre Lalande et Constance de Salm, voir M.-T. PALLOT-RAGUET, Correspondance de Constance de Salm, Thèse de l’Université Aix-Marseille I, 2008.
33 D. GLEIZES, « Un astronome dans le débat public », op. cit.
34 Astronomie des Dames. Seconde édition, op. cit, p. 9.
35 Mémoires secrets pour servir à l’histoire de la République des lettres en France, depuis MDCCLXII jusqu ’à nos jours, ou Journal d’un observateur, Londres, John Adamson, 1780-1789, 36 t. en 18 vol.. t. 33, p. 144, 13 novembre 1786.
36 Astronomie des Dames. Seconde édition, op. cit., p. 13-14.
37 Ibid., p. 13. Voir aussi l’édition des Lettres à Mme Du Pierry, op. cit.
38 Sur la relation de Lalande avec Mme Lepaute, voir E. BADINTER, « Un couple d’astronome : Jérôme Lalande et Reine Lepaute », Société archéologique scientifique et littéraire de Béziers, 10e série. 1 (2004-2005), p. 71-76.
39 Astronomie des Dames. Seconde édition, op. cit., p. 13.
40 Ibid.
41 Bibliographie astronomique, p. 720-721.
42 C’est du moins l’opinion de S. Dumont et de G. Boistel.
43 Astronomie des Dames. Seconde édition, op. cit., p. 13.
44 S. DUMONT, Un astronome des Lumières, op. cit., p. 307.
45 C. PORSET, « Siderus latomorum. Lalande franc-maçon », dans Jérôme Lalande, G. BOISTEL et al. (dir.), op. cit., p. 195-222.
46 B. BELHOSTE, Paris savant. Parcours et rencontre au temps des Lumières, Paris, Armand Colin. 2011, p. 105.
47 G. BOISTEL, « Jérôme Lalande, premier astronome médiatique », Pour la science (août-oct. 2007), p. 10-13 : sur la polémique de 1773, voir D. GLEIZES, « Un astronome dans le débat public », op. cit.
48 Réflexions sur les comètes qui peuvent approcher de la terre par M. de La Lande, Paris, Gibert, 1773, in-8°.
49 Fragonard l’a peut-être représenté dès 1769, dans un portrait sur toile (Musée du Petit Palais), mais l’identification est discutée. Plusieurs estampes ont été gravées du vivant de Lalande, notamment d’après des dessins d’André Pujos (1773) et de Joseph Ducreux (1802). Son buste a été sculpté par Jean Antoine Houdon. On a aussi de lui plusieurs portraits-charges par François-André Vincent (vers 1805).
50 D. GLEIZES, « Un astronome dans le débat public », op. cit.
51 S.-P. HARDY, Mes Loisirs, ou Journal d’événemens telsqu’ils parviennent à ma connaissance (1753-1789). P. BASTIEN, S. JURATIC, D. ROCHE (éd.), V, 1777-1778, p. 563 (15 octobre 1778).
52 A. LILTI, Figures publiques. L’invention de la célébrité, 1750-1850, Paris, Fayard, 2014. p. 4L
53 Mémoires secrets, op. cit. Lalande est par exemple désigné en 1773 comme « un homme curieux de faire du bruit » et « connu pour intriguant de premier ordre » (t. 6, p. 312, 13 mai 1773) : il est décrit en 1783 comme un « petit singe satyre » par Carra (t. 22, p. 17-18, 7 janvier 1783) et en 1786, comme un homme d’un « caractère hargneux et déprimé » (t. 32, p. 100, 13 juin 1786).
54 Par exemple, à la date du 30 août 1776 : « Il est question du mariage d’un philosophe faisant beaucoup de bruit. C’est celui de monsieur de Lalande, astronome, membre de l’Académie des sciences, parti depuis quelque temps pour Briançon, où il devoit s’unir à une jeune personne & faire un hymen très sortable. On veut qu’une gouvernante avec laquelle il couchoit ici. & qui s’étoit flattée d’être toujours sa maîtresse, en apprenant la nouvelle de cet hymen futur, soit partie en diligence, se soit rendue au lieu où se passoit le contrat de mariage, & dans sa fureur ait poignardé son maître & elle aussi. Telles sont les premières nouvelles de ce tragique événement, qui mérite confirmation », Mémoires secrets, op. cit., t. 9, p. 201-202. À la date du 18 octobre 1778. les Mémoires secrets reproduisent une chanson composée en l’honneur de Lalande à l’occasion de la Saint Jérôme en ajoutant cette précision : « Pour bien l’entendre, il faut savoir que M. de Lalande, membre de l’Académie des sciences, est un astronome célèbre, grand amateur du beau sexe [...] », Mémoires secrets, op. cit., t. 12, p. 135.
55 Catalogue des livres composant la bibliothèque de feu M. Joseph-Jérôme Lefrançois de la Lande, professeur d’astronomie au Collège de France, membre de l’Institut, et de toutes les Académies de l’Europe ; Dont la vente aura lieu dans le courant du mois de Mars 1808, au Collège de France, place Cambrai. Paris, « Leblanc, Imprimeur-libraire. Mérault, commissaire-priseur», 1808, XII-218- 31 p.
56 « Lettre sur le prétendu hydroscope, écrite à M... par M. de la Lande de l’Académie des Sciences », Mercure de France (2 juillet 1772). p. 169-173.
57 B. BELHOSTE, Paris savant, op. cit., p. 224.
58 Mémoires secrets, op. cit., t. 22, p. 17-18 et 85, 7 janvier et 15 février 1783.
59 B. BELHOSTE, Paris savant, op. cit., p. 264.
60 J.-M. FEURTET, « Lalande, père fondateur et premier patron du Bureau des longitudes (1795- 1807) », dans Jérôme Lalande, G. BOISTEL et al. (dir.), op. cit., p. 51-65.
61 Ibid.
62 Bibliographie astronomique, Préface, p. ij.
63 Jo. Friderici Weidleri Bibliographia-astronomica temporis, quo libri, vel compositi, vel editi sunt, ordine servato, ad supplendam et illustrandam astronomiaehistorim digesta, Wittenberg, S. G. Zimmermann, 1755, in-8°.
64 Astronomische Bibliographie [...] von Schriften ans dem füntzehnten und sechszehnten Jahrhundert, gesammlet und herausgegeben von Johann Ephraim Scheibel, Bresslau, J. E. Meyer, 1784- 1795, 3 t. en 1 vol. in-8°.
65 Par exemple, pour l’année 345, là où Weidler indiquait le titre en grec d’un ouvrage d’Eudemos, Lalande indique seulement : « 345. Eudème de Rhodes écrivit une Histoire de l’astrologie dont il nous reste un petit fragment », et renvoie à Weidler.
66 Bibliographie astronomique, p. vii.
67 Bibliographie astronomique, p. vi.
68 J.-S. BAILLY, Histoire de l’astronomie moderne depuis la fondation de l’école d’Alexandrie jusqu ’à l’époque de M. DCC. LXXXII, Paris, frères Debure, 1782.
69 Bibliographie astronomique, p. 661.
70 Ibid.,p. viii.
71 Ibid., p. 469-470.
72 Ibid., p. 472.
73 Ibid., p. 593.
74 Ibid., p. 654.
75 Ibid., p. 575 : « Ce fut à ses leçons, en 1746, que je pris le goût de l’astronomie, dont je me suis occupé toute ma vie », commentaire à propos de L’Éloge historique du P. Béraud lu à l’Académie de Lyon le 29 août 1780 par le P. Lefebvre.
76 Ibid., p. 516 : « Sur le P. Dumas, habile géomètre, et mon premier maître, voyez le Journal des Savants de novembre 1770 », note à l’occasion de l’annonce d’une nouvelle édition des Tables de logarithmes de Gardiner, par les Pères Pézenas, Dumas et Blanchard, en 1770.
77 Ibid., p. 528, note au sujet des Tables for correcting the apparent distance of the moon and a star from the effects of refraction and parallax.
78 Par exemple. Pierre François André Méchain, « que j’attirai à Paris en 1772 », cité dans la notice des Mémoires de l’Académie de Zelande où avait été insérée une de ses Observations (p. 509), ou Jean René Lévesque : « Dès 1769, dans la lettre qu’il m’écrivit, il me marqua son désir de s’occuper d’astronomie [...] En 1782, il demeurait dans mon observatoire du Collège royal » (p. 571, année 1779, à propos de la Connaissance des temps).
79 « Supplémens pour le Dictionnaire des athées », dans S. MARÉCHAL, Dictionnaire des athées anciens et modernes. Deuxième édition augmentée des Suppléments de J. Lalande, Bruxelles, 1833.
80 J. DE LALANDE, « Supplémens pour le Dictionnaire des athées », op. cit., 2e partie, p. 11.
81 J. DE LALANDE,.Astronomie, 3e édition, cité par J.-C. Pecker. « L’œuvre scientifique », op. cit.
82 J.-P. VITTU, « Journal des savants », dans Dictionnaire des journaux, J. SGARD (dir), en ligne (notice n° 710) ˂http://dictionnaire-journaux.gazettesl8e.fr/journal/0710-journal-des-savants>.
83 J. DE LALANDE, « Second Supplément au Dictionnaire des athées, 1805 », dans S. MARÉCHAL, Dictionnaire des athées, op. cit., 2e partie, p. 39.