1 G.B. Ladner, « Gregory
the Great and Gregory VII : a Comparison of their Concepts of
Renewal », Viator, t. IV,
1973, p. 1-26 ; J. Barrow, « Ideas and Applications of Reform », in
Early Medieval Christianities,
c. 600-c. 1100, T.F.X. Noble et J.M.H. Smith (dir.), Cambridge,
Cambridge University Press (Cambridge History of Christianity ; 3),
2008, p. 346-348. Pour une vision opposée, voir G. Constable, The Reformation of the Twelfth
Century, Cambridge, Cambridge University Press, 1996,
p. 9.
2 Le vocabulaire du
renouveau (renovatio) et
de la reconstruction (restauratio, reparatio) était plus commun : pour un
aperçu de la terminologie, voir I.S. Robinson, « Reform and the
Church, 1073-1122 », in The
New Cambridge Medieval History, IV, c. 1024-c. 1198, Part 1, D. Luscombe et
J. Riley-Smith (dir.), Cambridge, Cambridge University Press, 2004,
p. 268-272.
3 Pour une
critique, voir G. Tellenbach, The Church in Western Europe from the Tenth to
the Early Twelfth Century, Cambridge, Cambridge University Press
(Cambridge Medieval Textbooks), 1993, p. 157-160 (trad. angl.
T. Reuter d’après Die
westliche Kirche vom 10. bis zum frühen 12. Jahrhundert,
Göttingen, Vandenhoeck & Ruprecht, 1988).
4 Giles
Constable ne s’est appuyé que sur un très petit nombre de chartes
épiscopales dans sa discussion sur la rhétorique de la réforme (The Reformation of the Twelfth
Century, p. 159, 161).
5 EEA, pour la British Academy, 1980-2009, 42
vol. (http://www.britac.ac.uk/pubs/cat/eea.cfm).
Les actes de Rochester ne sont pas encore publiés. Les actes de
Chichester et les actes de Durham avant 1150 ont été édités dans
d’autres collections (The Acta
of the Bishops of Chichester, 1075-1207, H. Mayr-Harting (éd.),
Exeter, Canterbury and York Society, 1964 ; Durham Episcopal Charters, 1071-1152,
H.S. Offler (éd.), Gateshead, Northumberland Press, 1968). L’édition
des actes de Thibaud de Canterbury par A. Saltman devra être remplacée
en raison de découvertes d’actes nouveaux (Theobald, Archbishop of Canterbury,
Londres, Athlone Press (University of London Historical Studies ; 2),
1956). M. Brett prépare une nouvelle édition de l’ouvrage de Saltman
pour les EEA. C’est
l’édition de Saltman qui est utilisée dans cet article. Pour le pays
de Galles : Llandaff Episcopal
Acta 1140-1287, D. Crouch (éd.), Cardiff, South Wales Record
Society, 1988 et St. Davids
Episcopal Acta 1085-1280, J. Barrow (éd.), Cardiff, South Wales
Record Society, 1998.
6 Actes des
évêques de Laon des origines à 1151, A. Dufour-Malbezin (éd.),
Paris, CNRS, 2001 ; Les
chartes de Gérard Ier, Liébert et Gérard II, évêques de Cambrai et
d’Arras, comtes du Cambrésis 1012-1092 / 93, E. Van Mingroot (éd.), Louvain, Leuven
University Press (Mediaevalia Lovaniensia Series I : Studia ; 35),
2005 ; Les chartes des évêques
d’Arras (1093-1203), B.-M. Tock (éd.), Paris, CTHS (Collection de
documents inédits sur l’histoire de France, Section d’histoire
médiévale et de philologie ; 21), 1991 ; B.-M. Tock, Une chancellerie épiscopale au XIIe siècle. Le cas d’Arras,
Louvain-la-Neuve, Université catholique de Louvain (Publications de
l’Institut d’études médiévales, Textes, Études, Congrès ; 12),
1991.
7 281 chartes de Laon c. 1050-1152 : Actes des évêques de Laon,
A. Dufour-Malbezin (éd.) ; 64 de Cambrai 1031-1092 / 1093 : Les chartes de Gérard Ier, E. Van
Mingroot (éd.) ; 137 d’Arras 1093-1164 : Les chartes des évêques d’Arras, B.-M. Tock
(éd.) ; 55 de Chichester 1075-1169 : The Acta of the Bishops of Chichester,
H. Mayr-Harting (éd.) ; environ 40 de Durham 1071-1152 : Durham Episcopal Charters,
H.S. Offler (éd.) ; 244 de Lincoln 1067-1166 : Lincoln, 1067-1185, D. Smith (éd.), Oxford, Oxford
University Press [OUP] (EEA ; 1), 1980 ; 215 de York 1070-1181 :
York, 1070-1154,
J. Burton (éd), OUP (EEA ; 5), 1988, et York, 1154-1181, M. Lovatt (éd.), OUP (EEA ; 20), 2000 ; 148 de
Norwich 1070-1174 : Norwich,
1070-1214, C. Harper-Bill (éd.), OUP (EEA ; 6), 1990 ; 113 de Hereford
1079-1163 : Hereford,
1079-1234, J. Barrow (éd.), OUP (EEA ; 7), 1993 ; 116 de Winchester
1070-1171 : Winchester,
1070-1204, M.J. Franklin (éd.), OUP (EEA ; 8), 1993 ; 45 de Bath et Wells
1061-1166 : Bath and Wells,
1061-1205, F.M.R. Ramsey (éd.), OUP (EEA ; 10), 1995 ; 56 d’Exeter 1046-1160 :
Exeter, 1046-1184,
F. Barlow (éd.), OUP (EEA ; 11), 1996 ; 67 de Coventry et
Lichfield 1072-1159 : Coventry
and Lichfield, 1072-1159, M.J. Franklin (éd.), OUP (EEA ; 14), 1997 ; 62 de
Londres 1076-1162 : London,
1076-1187, F. Neininger (éd.), OUP (EEA ; 15), 1999 ; 128 de Salisbury
1078-1184 : Salisbury,
1078-1217, B.J. Kemp (éd.), OUP (EEA ; 18), 1999 ; 388 de Canterbury
1070-1161 : Canterbury,
1070-1136, M. Brett et J. Gribbin (éd.), OUP (EEA ; 28), 2004, et A. Saltman, Theobald, Archbishop of
Canterbury, Londres, Athlone Press (University of London
Historical Studies ; 2), 1956 ; 8 de Carlisle 1133-1156 / 7 : Carlisle, 1133-1292, D. Smith
(éd.), OUP (EEA ; 30),
2005 ; 81 d’Ely 1109-1169 : Ely, 1109-1197, N. Karn (éd.), OUP (EEA ; 31), 2005 ; 116 de
Worcester 1062-1160 : Worcester, 1062-1185, M. Cheney, D. Smith,
C. Brooke et P. Hoskin (éd.), OUP (EEA ; 33), 2007 ; au moins 23 de Llandaff
entre 1140 et les années 1160 : Llandaff Acta, D. Crouch (éd.) ; environ 30
de St. Davids entre 1115 et le milieu des années 1160 : St. Davids Acta, J. Barrow
(éd.). Ce total de 2 417 exclut des actes connus et manquants, mais
inclut des forgeries (une faible proportion du total). En addition,
quelques comparaisons seront tirées des actes allemands (notes 25,
34).
8 On renvoie
à l’Artem, mais la plupart des chartes de cette période sont
conservées sous la forme de copies. Voir Chartes originales antérieures à 1121 conservées
en France (http://www.cn-telma.fr/originaux/charte450/).
9 EEA, t. I, D. Smith (éd.),
n° 20, 24, 78, 196, 236 ; EEA, t. VIII, M.J. Franklin (éd.), n° 14 ;
EEA, t. XXXIII,
M. Cheney, D. Smith, C. Brooke et P. Hoskin (dir.), n° 142.
10 J. Führer, König Ludwig VI. von Frankreich
und die Kanonikerreform, Francfort-sur-le-Main, Peter Lang
(Europäische Hochschulschriften ; III / 3), 2008, p. 113-197 ; les
maisons de chanoines réguliers ne furent pas fondées avant le tournant
du XIIe siècle en Angleterre
(J.C. Dickinson, The Origins
of the Austin Canons and their Introduction into England,
Londres, SPCK, 1950, p. 98-115) et à peu près au même moment en France
(M. Arnoux, Des clercs au
service de la réforme. Textes et documents sur les chanoines réguliers
de la province de Rouen, Turnhout, Brepols (Bibliotheca
victorina ; XI), 2000, p. 20-22).
11 J. Barrow, « What
happened to Ecclesiastical Charters in England 1066-c. 1100 ? », in
Myth, Rulership, Church and
Charters : Essays in honour of Nicholas Brooks, J. Barrow et
A. Wareham (éd.), Aldershot, Ashgate, 2008, p. 229-248.
12 EEA,
t. XXVIII, M. Brett et J. Gribbin (éd.), n° 5, 6, 9.
13 D. Knowles et
R.N. Hadcock, Medieval
Religious Houses : England and Wales, 2e éd., Harlow, Longman, 1971, p. 137-145.
Exemple typique : Plympton dans le Devon, fondé en 1121, dont la
dotation inclut des églises paroissiales, deux chapelles et les
revenus de dix églises à la fin du XIIIe siècle (A. Fizzard, Plympton Priory : a House of Augustinian Canons
in South-Western England in the Late Middle Ages, Leyde, Brill
(Series in Church History ; 30), 2008, p. 50, 59-67, 257-258).
14 Llandaff
Acta, D. Crouch (éd.), n° 1-3 ; St. Davids Acta, J. Barrow (éd.),
n° 3-22.
15 Chartes des évêques d’Arras, B.-M. Tock
(éd.), n° 1-7 sont émises dans les années 1090.
16 O. Guyotjeannin, « L’influence pontificale sur les
actes épiscopaux français (provinces ecclésiastiques de Reims, Sens et
Rouen, XIe-XIIe siècles) », in L’Église de France et la papauté (Xe-XIIIe siècle) (Actes du XXVIe colloque historique franco-allemand,
Paris, 17-19 octobre 1990), R. Grosse (éd.), Bonn, Bouvier (Studien
und Dokumente zur Gallia Pontificia / Études et documents pour servir
à une Gallia Pontificia ;
1), 1993, p. 83-102.
17 Bien qu’il y ait eu un retour au diplôme à la fin du
XIe siècle, spécialement à
Worcester (EEA,
t. XXXIII, M. Cheney, D. Smith, C. Brooke et P. Hoskin (dir.), n° 11,
22).
18 Sur les writs royaux, voir R. Sharpe, « The Use of
Writs in the Eleventh Century », Anglo-Saxon England, t. XXXII, 2004,
p. 247-291 ; Id.,
« Address and Delivery in Anglo-Norman Royal Charters », in Charters and Charter Scholarship
in Britain and Ireland, M.T. Flanagan et J.A. Green (dir.),
Basingstoke, Palgrave Macmillan, 2005, p. 32-52. Odon de Bayeux émit
deux writs (Bates, RRAN William I, n° 71,
74).
19 O. Guyotjeannin, « L’influence pontificale… »,
p. 88-89 ; C.R. Cheney (English Bishops’ Chanceries, 1100-1250,
Manchester, Manchester University Press, 1950, p. 70) place ce
développement aux environs de 1140 en Angleterre, mais quelques
évêques utilisèrent précocement le langage inspiré de Rome, en
particulier l’archevêque Raoul de Canterbury, de 1114 à 1122 (voir EEA, t. XXVIII, M. Brett et
J. Gribbin (éd.), n° 42, 44, 48, 50), et depuis les années 1130,
Alexandre le Magnifique, évêque de Lincoln (1123-148) (voir EEA, t. I, D. Smith (éd.),
n° 21, 29, 62), bien que l’influence soit plus visible dans les années
1140 (ibid., n° 17, 18,
21, 45, 52, 53).
20 À Reims : vers 1100-1110, et pendant les années 1120 et
plus tard pour quelques suffragants de l’archevêque de Reims et dans
les provinces de Sens et de Paris selon O. Guyotjeannin (« L’influence
pontificale… », p. 90-95).
21 Voir Les chartes des évêques d’Arras, B.-M. Tock
(éd.), n° 1, 6, 10, 11, 13 (chancellerie) et 47, 48 (bénéficiaire) ;
pour l’analyse diplomatique, voir B.-M. Tock, Une chancellerie épiscopale…,
p. 300.
22 Actes des évêques de Laon,
A. Dufour-Malbezin (éd.), n° 113 (1126, pour Clairfontaine), 117, 120,
121, 138-139 (pour Saint-Martin de Laon, entre 1128 et 1131) ; la
phrase apparaît également pour les abbayes bénédictines Saint-André du
Cateau-Cambrésis, Saint-Martin de Tournai et Saint-Vincent de Laon
(ibid., n° 92, 125 et
145). Les chartes de Newhouse sont éditées par A. Saltman, Theobald, n° 183 et EEA, t. I, D. Smith (éd.),
n° 52.
23 Rm
12, 2 ; 2 Co 3, 18 ; Ph 3, 21.
24 E. Wolgast, « Reform, Reformation », in
Geschichtliche Grundbegriffe :
Historisches Lexikon zur politisch-sozialen Sprache in
Deutschland, O. Brunner, W. Conze et R. Koselleck (éd.),
Stuttgart, Klett-Cotta, 1972-1997, 8 vol. en 9 parties, t. V,
p. 318.
25 Exemples
allemands : Urkundenbuch zur
Geschichte der, jetzt die Preussischen Regierungsbezirke Coblenz und
Trier bildenden mittelrheinischen Territorien, H. Beyer,
L. Eltester et A. Goerz (dir.), Coblence, J. Hölscher, 1860-1874, 3
vol., t. I, n° 508 (1139 : restauration de possessions) et 549 (1147 :
faire la paix).
26 Actes des évêques de Laon,
A. Dufour-Malbezin (éd.), n° 104, 129, 142, 180, 238, 281 (reformare et reformatio) et n° 6 (une
forgerie censée avoir été émise par l’évêque Rorico en 961).
27 « Pacis vestre reformationem » : ibid., n° 180 (abbaye de
Saint-Thierry et Gérard de Roucy, 1136-1138 : « pacis vestre reformationem »), 238 (abbayes
de Vauclair et de Cuissy, 1143 : « ad reformandam pacem »), 281 (chapitre de
Saint-Jean-au-Bourg et abbaye de Saint-Martin de Laon, 1147 : « pacem inter ecclesias
reformare »). Le verbe reformare pourrait être utilisé pour la
restauration de la possession de droits : ibid., n° 129 (1131 pour Saint-Vincent de
Laon), 142 (1132 pour Saint-Vincent).
28 Actes des évêques de Laon,
A. Dufour-Malbezin (éd.), n° 104.
29 Les chartes de Gérard Ier, E. Van
Mingroot (éd.), n° 3.08, p. 194. Le participe deformata est utilisé pour décrire
l’impression d’un sceau, ibid., n° 2.17, dans une charte de l’évêque
Lietbert de 1075.
30 Les chartes des évêques
d’Arras, B.-M. Tock (éd.), n° 56, pour l’abbaye
d’Avesnes.
31 Ibid., n° 62, 80, 97.
32 The Letters and Charters of
Gilbert Foliot, A. Morey et C.N.L. Brooke (dir.), Cambridge,
Cambridge University Press, 1967, n° 294 ; Durham, 1153-1195, M. Snape (éd.), Oxford,
Oxford University Press (EEA ; 24), 2002, n° 136 : « Forma reformate
pacis ».
33 EEA,
t. XIV, M.J. Franklin (éd.), n° 68 ; Walter confirme ici une charte de
son prédécesseur, Roger de Clinton (n° 30, maintenant perdue).
34 A. Saltman, Theobald, n° 270, sans date, mais datable
de 1157.
35 Urkundenbuch, H. Beyer (dir.), t. I,
n° 413, 415.
36 Actes des
évêques de Laon, A. Dufour-Malbezin (éd.), n° 105 (Saint-Martin
de Laon), 130, et utilisation du mot incorrigibilis dans le n° 123 (Saint-Jean
de Laon) ; Les chartes des
évêques d’Arras, B.-M. Tock (éd.), n° 108 (Saint-Vaast).
37 Actes des évêques de Laon,
A. Dufour-Malbezin (éd.), n° 64, 85, 141, 250, 313 ; Les chartes des évêques d’Arras, B.-M. Tock
(éd.), n° 19 (collégiale de Saint-Pierre de Lille ; renouvellement de
privilèges), 105 (cathédrale d’Arras ; renouvellement de privilèges),
112 (Étrun ; « illius
(Christi) honorem amoremque seculis omnibus
renovare ») ; EEA,
t. XXXI, N. Karn (éd.), n° 52 (cathédrale d’Ely ; renouvellement de
statuts).
38 A. Saltman, Theobald, n° 249.
39 Ibid., n° 173, 183 ; EEA, t. XX, M. Lovatt (éd.),
n° 98.
40 Actes des
évêques de Laon, A. Dufour-Malbezin (éd.), n° 123, 185.
41 EEA,
t. XI, F. Barlow (éd.), n° 17. Il s’agit d’un des rares actes de
Gautier qui contienne un préambule.
42 Actes des
évêques de Laon, A. Dufour-Malbezin (éd.), n° 123 ; l’image du
Cantique des Cantiques
est également employée par le prédécesseur de Barthélemy, Enguerrand,
en 1096 dans une charte en faveur de Marmoutier (ibid., n° 44).
43 Les chartes des évêques
d’Arras, B.-M. Tock (éd.), n° 112.
44 M. McLaughlin, Sex, Gender and Episcopal Authority in an Age of
Reform, 1000-1122, Cambridge, Cambridge University Press, 2010,
p. 56-61 ; Les chartes des
évêques d’Arras, B.-M. Tock (éd.), n° 105 pour la cathédrale
d’Arras vers 1151-1154.
45 Voir note 7.
46 Benoît-Michel Tock (Une chancellerie épiscopale…, p. 116-117)
observe que episcopalis
et pontificalis
commencent à être utilisés à Arras tardivement sous l’évêque Alvise
(1131-1147). Sur l’utilisation de auctoritas dans les actes de Thibaud de
Canterbury, voir A. Saltman, Theobald, n° 6, 8, 22, 64-5, 72, 98-9, 103,
122, 123, 126, 142, 150, 187, 189, 203, 215, 227-228, 244-246, 251,
254, 259, 286, 297 ; sur l’utilisation d’officium dans le diocèse de Norwich au
XIIe siècle, voir EEA, t. VI, C. Harper-Bill
(éd.), n° 44, 66, 89, 111, 147-8, 156-157, 160.
47 Ainsi que le note Benoît-Michel Tock
dans Une chancellerie
épiscopale…, p. 116. La base de données Chartes originales antérieures à 1121 conservées
en France suggère que sollicitudo commence à être utilisé par les
évêques français à partir de 1082 : http://www.cn-telma.fr/originaux/resultat/?rechercheRapide+sollicit*,
consulté le 13 janvier 2011. Sur l’utilisation de sollicitudo par les évêques de Lincoln au
XIIe siècle, voir EEA, t. I, D. Smith (éd.),
n° 18, 45, 52, 72, 142, 200, 231, 265, 274, 284.
48 Sur l’utilisation de
religio dans le diocèse
de Lincoln au XIIe siècle,
voir EEA, t. I, D. Smith
(éd.), n° 18, 33, 37, 53, 67, 72, 87, 201, 208, 213-215, 222,
265.
49 A. Saltman, Theobald, n° 2, 3, 79, 92, 97, 126, 128,
148, 162, 187, 197, 199, 213, 244, 254, 259, 285. Sur la rhétorique de
la réforme, voir G. Constable, The Reformation of the Twelfth Century,
p. 142-143.