URL originale : https://books.openedition.org/puc/7142

Towards an Aesthetics of Violence: Edna O’Brien’s In the Forest and Anna Burns’ Little Constructions
p. 117-131
Résumés
Cet article a pour objectif de montrer comment Edna O’Brien et Anna Burns représentent différentes formes de violence et leur force destructrice afin de mettre en avant l’impact de la violence sociale sur les femmes. Il analysera l’oscillation entre le détail et l’ellipse, caractéristique de leurs œuvres, comme stratégie pour représenter ce qui défie la représentation. Il s’agit également ici de révéler la manière dont ces textes contribuent à la création de nouvelles perspectives d’avenir et constituent un pas vers la création d’une esthétique de la violence dans la fiction contemporaine irlandaise.
This article demonstrates how Edna O’Brien and Anna Burns represent violence and destruction in order to foreground the impact of social violence on women. This study will analyse the oscillation between intricate detail and ellipsis as a strategy to represent the unrepresentable. The way in which these works contribute to the opening up of perspectives and constitute a move towards the creation of an aesthetics of violence in contemporary Irish fiction will also be addressed.
Extrait
1Upon first reading it may well seem that Edna O’Brien’s In the Forest1 and Anna Burns’ Little Constructions2 have little in common. Edna O’Brien is Ireland’s most prolific woman writer and 2010 marked the fiftieth anniversary of the publication of The Country Girls, her first (not uncontroversial) novel. Yet she has not always received positive critical attention, “the ambivalent attitude of the literary establishment towards [her]”3 often revealing an unwillingness to praise her stylistic evolution and a preference for focusing on O’Brien’s use of recurrent and (as perceived) worn-out themes, such as maternity and female sexuality. Anna Burns, on the other hand, has written just two novels to date, although only the first one has received any real critical attention. Burns, who grew up in North Belfast during the Troubles, now lives in London, like O’Brien, and yet her fiction too continues to focus on her native country. Apart from a shared Irishness, which in itself is some
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Écrivaines irlandaises ∙ Irish Women Writers
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