Table des matières
Christiane Connan-Pintado, Sylvie Lalagüe-Dulac et Gersende Plissonneau
Avant-proposL’esclavage dans l’édition pour la jeunesse : enjeux et spécificités
Éric Mesnard
Les récits autobiographiques : une source pour écrire et transmettre l’histoire des esclavesAldo Gennaï
Un cas de juvénilisation précoce : La Case de l’oncle TomEnjeux et modalités de trois adaptations d’hier à aujourd’hui
- Adapter La Case de l’oncle Tom pour la jeunesse en 1853 : les raisons d’un succès inaugural
- Docere
- Placere
- Lucrari
- Adapter La Case de l’oncle Tom pour la jeunesse : modalités et enjeux
- Une entreprise éditoriale
- Publier « une Nouvelle digne d’être déposée sans crainte sur la table d’une école ou d’un salon »
- Tom à l’école
- Gomme et ciseaux
- Récit d’aventures et document historique
- Apprêts didactiques
- Conclusion
Merveilles Léoncia Mouloungui et Pauline Franchini
Écrire l’esclavage pour les adultes et pour les jeunes : Maryse Condé et les enjeux d’une mixité éditoriale- Chiens fous dans la brousse : un récit d’esclavage qui marronne ?
- Une auto-réécriture en version jeunesse
- Un récit hors des sentiers battus : « marronner l’imaginaire » de la plantation
- Déjouer les codes du roman historique : l’irruption du conte
- Les marques de l’esclavage dans la société contemporaine : une littérature de jeunesse postcoloniale
- Écrire contre l’oubli : Maryse Condé et le devoir de mémoire
- Conclusion : pour une posture d’écrivaine mixte
Vies esclaves
Christiane Connan-Pintado et Sylvie Lalagüe-Dulac
À la recherche d’Edmond Albius, esclave réunionnais, « fantôme » de l’histoireChristiane Connan-Pintado
Naître esclave et/ou métisLa naissance dans les fictions historiques sur l’esclavage
Fictionnalisation de l’esclavage : l’éventail des approches génériques
Christiane Connan-Pintado, Sylvie Lalagüe-Dulac et Gersende Plissonneau
Écrire l’histoire de l’esclavage pour la jeunesse, des choix génériques contrastésDu documentaire fictionnalisé aux littératures de l’imaginaire
- Le genre du documentaire fictionnalisé
- Vocation documentaire
- Stratégies de séduction
- Inscrire l’histoire de l’esclavage dans les littératures de l’imaginaire
- Des choix d’écriture qui renvoient aux littératures de l’imaginaire
- Des romans historiques malgré tout ?
- Un équilibre problématique entre fiction et histoire
- Quand l’objectif pédagogique prédomine
- Quand l’objectif littéraire prédomine
- Conclusion
Nicolas Rouvière
L’esclavage et la traite dans la BD historique pour la jeunesse (1945-2020)- 1945-1970 : la mise en valeur de héros blancs libérateurs, sur fond d’idéologie coloniale
- Les années 1970-2000 : le temps des remises en cause
- Premières atteintes à la tradition
- Le tournant des Passagers du vent
- Des fictions historiques mieux documentées
- Infléchissements de l’idéologie coloniale
- Abolitionnisme et libération de la femme
- Renouvellement dans la BD comique pour (pré)adolescents
- Les années 2000-2020 : exhumer l’histoire des esclaves pour leur rendre justice
- La diversification des formes éditoriales, des genres et des styles graphiques
- Précision documentaire et devoir de mémoire
- Révolte et résistance des esclaves
- Le thème du châtiment et de la vengeance
- Le traitement de la violence
- Quelle éthique en contexte esclavagiste ?
- Esclavagisme et colonisation
- Esclavagisme et rôle de la religion
- Esclavagisme et condition de la femme
- Conclusion
Gersende Plissonneau
Écrire l’esclavage pour la jeunesse : de quelques albums iconotextuels- De huit albums historiques
- Des tragédies d’esclaves anonymes et/ou des chemins de la liberté ?
- Des partis-pris narratifs
- Un corpus iconotextuel
- Des choix esthétiques marquants
- Des esthétiques visuelles
- Des choix génériques et stylistiques
- Intention didactique et éthique au service d’un projet politique
- Des albums documentaires malgré tout
- Édulcoration, simplification ?
- Albums pour le temps présent
- Conclusion
Gersende Plissonneau
Conclusion
