1
Pour les définitions de la notion de pouvoir, voir la présentation problématisée (historique, lexicale, théorique…) qu’en fait Claude-Gilbert Dubois, en introduction au volume Images européennes du pouvoir, Éd. Universitaires du Sud, 1995, p. 7-19, et le « petit guide bibliographique » qui suit, p. 21-22.
2
Tristes tropiques, Paris, Plon, 1955, éd. 10-18, 1962, p. 260-267.
3
A. K. Bowman et G. Wolf, Literacy and Power in the Ancient World, GB, Cambridge University Press, 1994, p. 2.
4
L’Écriture publique du pouvoir, ss. dir. A. Bresson, A.-M. Cocula et C. Pébarthe, Pessac, Ausonius Éditions, Paris, diffusion De Brocard, 2005.
5
Éric A. Havelock, Aux Origines de la civilisation écrite en Occident, 1976, trad. de l’anglais par E. Escobar Moreno, Paris, Maspero, 1981.
6
« Entre la langue et le style, il y a place pour une autre réalité formelle : l’écriture. Dans n’importe quelle forme littéraire, il y a le choix général d’un ton, d’un éthos, si l’on veut, et c’est ici précisément que l’écrivain s’individualise clairement parce que c’est ici qu’il s’engage. […] Langue et style sont des forces aveugles ; l’écriture est un acte de solidarité historique. Langue et style sont des objets, l’écriture est une fonction : elle est le rapport entre la création et la société, elle est le langage littéraire transformé par sa destination sociale, elle est la forme saisie dans son intention humaine et liée ainsi aux grandes crises de l’Histoire », Le Degré zéro de l’écriture, « Qu’est-ce que l’écriture ? », éd. du Seuil, Points Littérature, 1972, p. 14.
7
Id., « Écritures politiques », p. 18-24.
8
Albert Thibaudet, « Réflexions. Napoléon écrivain », Nouvelle Revue Française, t. 44, 1935, p. 753.
9
Vincent Debaene et Jean-Louis Jeannelle, « Où est la littérature ? », L’idée de littérature dans les années 1950, in Colloques Fabula, URL : http://www.fabula.org/colloques/document66.php. Voir notamment l’analyse faite de l’article de R. Barthes, « De Gaulle, les Français et la littérature », Œuvres complètes, Paris, Éditions du Seuil, 1993.
10
Voir supra, n. 1.
11
Devenir roi : essais sur la littérature adressée au prince, sous la dir. d’Isabelle Cogitore et Francis Goyet, Grenoble, Ellug, Université Stendhal, 2001.
12
Joël Blanchard et Jean-Claude Mühlethaler, Écriture et pouvoir à l’aube des temps modernes, Paris, PUF, 2002.
13
Travaux de littérature. Volume XVIII, L’Écrivain et le grand homme, ss. dir. Pierre-Jean Dufief, Genève, Droz, 2005.
14
Voir notamment supra, n. 11, et les références de notre étude « L’éducation du prince au XVIIe siècle : regards sur l’enfance », dans Regards sur l’enfance au XVIIe siècle, dir. Anne Defrance, Denis Lopez, François-Joseph Ruggiu, Biblio 17, Tuebingen, Gunter Naar Verlag, 2007, p. 61-113. Voir aussi Makram Abbès, Islam et politique à l’âge classique », Paris, Presses universitaires de France, 2009.
15
Littérature, Paris, Grasset, 1941, p. 223.
16
« Le sage et le politique dans Kalila et Dimna ».
17
« Les écrivains face au pouvoir d’après le Livre des Princes de Pierre de Lancre ».
18
« L’institution du Prince dans la vision libertine de La Mothe Le Vayer : l’opinion personnelle en marge de la tradition et de la pensée officielle ».
19
J.-L. Guez de Balzac, notamment, dans Le Prince, 1631, éd. Christian Leroy. Paris, La Table Ronde, 1996.
20
Voir par exemple notre étude « L’idéalisation du prince dans la poésie encomiastique du XVIIe siècle », dans Images européennes du pouvoir, op. cit., p. 149-165.
21
« Fonction politique et esthétique des dédicaces chez Horace : les dédicaces à Tibère et à ses amis ».
22
« Le pouvoir réel ou idéal de l’empereur selon Martial ».
23
« Tamerlan, portrait d’un conquérant ».
24
« De Charles VIII à Louis XII : l’hommage du livre au roi guerrier (1483-1515) ».
25
« Molière et le Roi ».
26
« Erasme, Rabelais et Joachim Du Bellay, au fil de la correspondance politique de Jean Du Bellay. »
27
« Stanislas 1er, roi de Pologne : le pouvoir littéraire d’un roi déchu. »
28
« Malraux et la police secrète ».
29
« Le pouvoir et le langage ».
30
« Tacite et Trajan ».
31
« Álvar Garcia de Santa Maria et l’écriture du pouvoir dans la Chronique de Jean II de Castille : de la modélisation idéale à la reconstruction pragmatique de la figure royale ».
32
« Blaise Pascal : opacité du pouvoir, pouvoir de la transparence ».
33
« Le labyrinthe de Versailles (1674) ou le pouvoir en labyrinthe ».
34
« Stendhal et le pouvoir ».
35
« Le pouvoir et ses désordres dans L’Éducation sentimentale de Gustave Flaubert ».
36
« Le pouvoir dans La Nausée et L’Enfance d’un chef de Jean-Paul Sartre ».
37
« La contestation du pouvoir dans l’œuvre d’Eugène Ionesco ».
38
« Trou de mémoire d’Hubert Aquin : l’imposture du pouvoir linguistique ».
39
« Gilga.mesh : vers une écriture de l’ambiguïté du pouvoir ».
40
« Empereurs sans empire : Romulus le Grand (F. Dürrenmatt), et L’Empereur d’Occident (P. Michon). »
41
« Saint-Simon, conseiller et prophète ».
42
« Mémoires et déprise : le cas Victor Serge ».
43
« Pouvoir mortifère de l’écriture, L’Homme qui mangeait la mort, de Borislav Pekić ».
44
« Cru et cruel, le théâtre de Rodrigo García : théâtre de la contestation politique ou théâtre de la contestation spectaculaire ? »
45
« La puissance du juge et ses revers dans Est-ce dans ce monde-là que nous voulons vivre ? d’Eva Joly et L’Ivresse du pouvoir de Claude Chabrol ».
46
« Représentation du pouvoir économique et libéral dans la science-fiction française contemporaine ».