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D’Est en Ouest, retour à l’archive

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Sonia Combe

Remerciements

Texte intégral

1Que soient ici remerciés tous ceux qui ont bien voulu s’intéresser à mon itinéraire, Michel Dobry, bien sûr, impitoyable traqueur des « facilités de pensée », Brigitte Gaïti, Carlo Ginzburg, Philippe Joutard, Antoine Marès, Régine Robin. Et aussi Bernhard Bayerlein, Anne Ber-Schiavetta, Brigitte Mazon, Valentin Pelosse et Enzo Traverso, amis et lecteurs sans complaisance dont je me nourris régulièrement de la réflexion. Mais c’est également l’occasion de remercier celles et ceux qui m’ont aidée à recueillir la mémoire du passé proche dans les sociétés est-européennes avant puis après la disparition du régime soviétique, principalement Liliana Deyanova, Vladimir Gradev, Wolfgang Herzberg, Irena Kristeva, Annette Leo, Elena Olshanskaja, Ludmila Marchessin, et Albena Stambolova. Sans eux, ce travail de terrain et la compréhension « de l’intérieur » de ces sociétés n’auraient pas été possibles.

2Je remercie mes collègues Jean Laponce, alors à la Butler Library de l’université Columbia, à New York, Michel Melot, conservateur général, et Franck Veyron, conservateur à la BDIC, que j’ai mis particulièrement à contribution. Issue d’une étude menée entre 2000 et 2006, légèrement réactualisée en vue de sa publication, « La langue de Rameau » doit beaucoup aux participants aux deux journées d’étude organisée à la BDIC en 2006 sur les liens entre classification et histoire (et l’historien face au nouvel ordre informatique) dont les travaux seront souvent cités dans la seconde partie de cet essai.

3Je dois également remercier les collègues qui ont toujours bien voulu répondre à mes questions : Sarolta Benezra, Jean-Jacques Petit et Yves Tomic (BDIC), Claudine Bellayche, ingénieur des télécommunications, Nadine Dada et Donatienne Magnier (FNSP), Michel Mingam et Max Naudi (cellule Rameau de la BNF), Ulrich Johannes Schneider, directeur de la bibliothèque universitaire de Leipzig et Melanie Wacker, de la Butler Library. Sans oublier ces anciens collègues avec lesquels j’ai pu avoir des discussions toujours fécondes, Odile Patrois, longtemps responsable du catalogue de la BDIC, et Philippe Pogam, qui a procédé à l’informatisation de catalogues dans plusieurs pays et institutions.

© Éditions de la Sorbonne, 2013

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