La valeur du désaccord
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Texte intégral
1 Isabelle Aubert est maître de conférences en philosophie à l’université Panthéon-Sorbonne. Membre de l’Institut des sciences juridique et philosophique de la Sorbonne (UMR 8103), elle participe au réseau Jeunes chercheurs « École de Francfort : fondements et perspectives » de l’université franco-allemande. Elle contribue aussi au projet ANR-DFG « Critique, actualité, société ».
2 Aliénor Ballangé est membre du Centre de recherches politiques (CEVIPOF) de Sciences Po Paris où elle est chargée de cours. Docteure en sciences politiques, elle est notamment spécialiste des processus démocratiques au sein de l’Union européenne.
3 Marc Debono est maître de conférences en sciences du langage à l’université de Tours et membre du laboratoire de recherche DYNADIV (EA 4428). Ses recherches portent avant tout sur la didactique des langues-cultures, la sociolinguistique, l’épistémologie des disciplines, la formation ouverte à distance ou encore le français sur objectifs universitaires.
4 Ophélie Desmons est maître de conférences en philosophie à l’université Paris-Sorbonne et spécialiste des questions de désobéissance civile, de philosophie politique et de métaéthique. Elle est également membre de l’ESPE de l’Académie de Paris et a obtenu un double doctorat à l’université Lille 3 et à l’université Laval, au Québec (Canada).
5 Yohann Douet est docteur en philosophie de l’université Paris-Nanterre, spécialiste notamment de la pensée d’Antonio Gramsci. Il a publié de nombreux articles à ce sujet.
6 Nathalie Garric est professeure de sciences du langage à l’université de Nantes et directrice du laboratoire CoDiRe (EA 4643). Elle est également membre fondatrice du réseau de recherche des discours institutionnels et politiques R2DIP et inscrit ses travaux de recherche dans l’analyse de discours de tradition française, plus particulièrement à travers la linguistique de corpus.
7 Gilles Gauthier est professeur titulaire dans le département d’information et de communication de l’université Laval (Québec, Canada). Spécialiste de communication publique, il s’intéresse tout spécialement aux questions d’argumentation et de débat public, mais aussi à l’éthique, la morale et l’épistémologie du journalisme.
8 Michel Goldberg est maître de conférences en biochimie et biologie moléculaire à l’université de La Rochelle. Il est titulaire d’une habilitation à diriger des recherches. Par-delà son parcours en sciences dures, ses recherches portent sur les controverses sociales à thème scientifique, et plus encore sur les dimensions argumentatives, discursives et rhétoriques de celles-ci.
9 Emmanuelle Huver est professeure des universités en sciences du langage à l’université de Tours et membre du laboratoire de recherche DYNADIV (EA 4428). Ses travaux portent spécifiquement sur la didactique des langues et du plurilinguisme, la pluralité et l’altérité dans la formation, l’évaluation en langues et l’épistémologie de la recherche en didactique des langues.
10 Alain Létourneau est professeur titulaire au département de philosophie et d’éthique appliquée de l’université de Sherbrooke (Québec, Canada). Il est régulièrement invité en Allemagne comme professeur, notamment à la Goethe Universität ou encore à la Johannes Gutenberg Universität Mainz. Il est également directeur de l’équipe de recherche sur la gouvernance et l’éthique appliquée (ERGEA) et membre de la chaire d’éthique appliquée de l’université de Sherbrooke.
11 Vincent Mariscal est collaborateur scientifique à l’université catholique de Louvain, plus particulièrement au sein de l’Institut Langage et communication (ILC), où il a effectué une thèse de doctorat en linguistique. Ses travaux portent tout spécialement sur l’exercice démocratique au sein des entreprises et de la sphère managériale.
12 Loïc Nicolas est chercheur associé à l’université libre de Bruxelles et à l’IHECS où il est membre du laboratoire PROTAGORAS (Belgique). Spécialiste du discours politique et du complotisme, il a réalisé un doctorat et un postdoctorat (ULB) sur les liens entre rhétorique et société. Formateur en argumentation, il est aussi conseiller politique.
13 Brice Nocenti est membre du Laboratoire de changement social et politique (LCSP, université Paris 7 Denis-Diderot) où il est doctorant. Spécialiste de la pensée de Claude Lefort, il s’intéresse à la démocratie à l’ère néolibérale.
14 Emmanuel Picavet est professeur à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il est membre de NoSoPhi, membre associé de l’Institut d’histoire et de philosophie des sciences et des techniques, membre de la Société française de philosophie et membre fondateur de la Société de philosophie des sciences. Il est également directeur de la Revue de philosophie économique et membre du conseil scientifique du réseau GIS Délibération démocratique et participation du public.
15 Isabelle Pierozak est maître de conférences en sciences du langage à l’université de Tours, titulaire d’une habilitation à diriger des recherches et membre du laboratoire de recherche DYNADIV (EA 4428). Ses spécialités scientifiques portent sur les épistémologies, l’écriture de la recherche, la formation ouverte à distance, ou encore les statuts des langues et les communautés linguistiques.
16 Jérôme Ravat est agrégé de philosophie, ancien élève de l’École normale supérieure de Lyon et professeur en classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE). Chercheur associé au CURAPP-ESS (UMR 7319) à Amiens, il a soutenu sa thèse en philosophie à l’université Paris-Sorbonne. Ses travaux portent principalement sur l’éthique appliquée, ainsi que sur la philosophie morale pragmatiste.
17 Alexis Richard est cofondateur et codirecteur de l’Institut Grammata. Titulaire d’un doctorat en philosophie politique de l’UQAM (université du Québec à Montréal, Canada), il a réalisé un postdoctorat en philologie classique à l’université Paris-Sorbonne. Ses travaux s’intéressent en particulier à la violence oratoire dans l’espace public des démocraties anciennes et modernes.
18 Didier de Robillard est professeur des universités en sciences du langage à l’université de Tours, où il est responsable du site tourangeau du laboratoire DYNADIV (EA 4428). Ses recherches portent, en particulier, sur la diversité linguistique et culturelle et leur épistémologie. Il a publié de nombreux ouvrages sur la question, notamment d’un point de vue sociolinguistique.
19 Sébastien Roman est docteur en philosophie de l’École normale supérieure de Lyon où il est membre du laboratoire Triangle (UMR 5206). Qualifié aux fonctions de maître de conférences en philosophie et en science politique, il est spécialiste de philosophie politique contemporaine. Il est tout particulièrement reconnu pour ses travaux sur Machiavel, le conflit en démocratie et l’histoire de la pensée politique.
20 Dany Rondeau est professeure au sein du département des lettres et humanités à l’UQAR (université du Québec à Rimouski, Canada). Membre du groupe de recherche en éthique ETHOS, elle est également professeure associée à la faculté de philosophie de l’université Laval (Québec, Canada) et professeure associée à la faculté de philosophie de l’université catholique d’Afrique centrale (Yaoundé, Cameroun).
21Mohamed Saki est maître de conférences en anglais à l’université de Bretagne occidentale (Brest). Il est également associé à la faculté des lettres et sciences humaines de l’université de Bretagne Sud (Quimper). Ses travaux portent sur la linguistique anglaise, l’analyse des discours et des genres linguistiques, mais aussi l’argumentation.
22 Erwan Sommerer est docteur en science politique, spécialiste de la pensée politique latino-américaine et chargé de cours au CELSA (Paris IV) ainsi qu’à Sciences Po Paris. Il est également membre du CRHI (Centre de recherches en histoire des idées), plus particulièrement comme animateur du groupe d’études sieyèsiennes à l’université de Nice Sophia-Antipolis.
23 Maryse Souchard est maître de conférences en communication à l’université de Nantes. Elle s’intéresse d’abord aux théories de la communication et à l’analyse des discours problématiques (notamment politiques et scientifiques). Elle a travaillé sur les discours de l’extrême droite, et plus particulièrement du Front national.
24 Albin Wagener est professeur en sciences du langage et humanités numériques à Campus Tech, école dont il est fondateur et directeur. Il est aussi associé au laboratoire PLIDAM (INALCO) et professeur invité à l’université de Luxembourg. Spécialiste en analyse du discours et membre du R2DIP, il s’intéresse à l’étude critique des concepts de culture et d’identité, particulièrement dans la sphère des discours numériques.
25 Nathanaël Wallenhorst est maître de conférences en sciences de l’éducation à l’université catholique de l’Ouest (Angers). Titulaire d’un doctorat de l’université Paris 13, il rédige une seconde thèse en science politique à l’université de Rennes 1 et à l’université de Lausanne (Suisse). Il est membre du laboratoire EXPERICE (EA 3971).
© Éditions de la Sorbonne, 2020