Arthur Adamov, ici et maintenant
|Remerciements
Texte intégral
1Ce livre ne serait pas complet sans que ne soit cités ceux qui m’ont accompagnée et à qui ce livre doit aussi.
2Toute ma gratitude va, d’abord, à Pascal Ory, pour son soutien sans faille, au long d’une recherche qui s’est étalée sur près d’une décennie, pour nos entrevues toujours stimulantes, ses questions qui m’invitaient à aller plus loin. Merci aussi à Chantal Meyer-Plantureux d’avoir veillé avec bienveillance à la bonne avancée de mon travail. Je me souviens de son enthousiasme, elle qui avait connu Jacqueline Autrusseau-Adamov, lors de notre première rencontre à la bibliothèque d’Études théâtrales Gaston Baty, suivie d’autres, ici et là, notamment sur la route de l’Imec.
3Un grand merci aussi à Pascale Goetschel, qui m’a encouragée pour que ce livre aboutisse et à Pierre Singaravélou, pour sa confiance. Merci de m’accueillir dans cette belle collection. Ma gratitude va également à Laurent Tournier, qui a permis que ce livre prenne forme.
4Je dois aussi remercier certains membres de mon jury pour leurs lectures et leurs conseils : Martial Poirson, en premier lieu, et pour l’amitié qui a suivie. Merci aussi à Jean-Yves Mollier et à Jeanyves Guérin.
5Mes remerciements vont bien entendu au personnel de l’Imec, qui sait si bien recevoir les chercheurs dans ce petit monde à part, et à Agathe Sanjuan, alors en poste à la BnF qui m’a permis de consulter très rapidement des dossiers du fonds Planchon, en les préparant et en les indexant, alors qu'elle était cette fois conservatrice-archiviste de la Bibliothèque-Musée de la Comédie-Française. Merci aussi à Albert Dichy, Jean-Pierre Han, Gabriel Garran qui ont pris le temps de me rencontrer, à Arby Ovanessian.
6Merci à René Gaudy, ami d’Arthur Adamov, qui m’a ouvert sa bibliothèque, exposé ses souvenirs et avec qui nous avons monté une exposition.
7Enfin, à Chant, Narek et Aram.
© Éditions de la Sorbonne, 2020