L’invention d’une capitale : Tlemcen
|Remerciements
Texte intégral
1Ce livre est la version remaniée de mon doctorat que j’ai soutenu en 2016 à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne sous la direction de Christophe Picard. Je lui adresse ici mes sincères remerciements et ma profonde reconnaissance pour avoir bien voulu diriger ma thèse et pour la confiance dont il a fait preuve à mon égard.
2Je ne saurais oublier les dettes contractées à l’égard de tous ceux qui, à différentes étapes de son élaboration, m’ont encouragée, guidée et conseillée. Annliese Nef, d’abord, pour sa disponibilité à toute épreuve, son écoute, ses précieuses remarques toujours stimulantes qui ont ô combien contribué à nourrir mes réflexions. Ce travail ne serait pas devenu un livre sans le soutien d’Éric Vallet qui a bien voulu l’accueillir dans la collection Bibliothèque historique des pays d’Islam. Son aide, ses suggestions et sa générosité ont été décisives, ce dont je lui suis profondément reconnaissante. Je souhaite également exprimer ma gratitude à tous les enseignants et chercheurs qui m’ont conseillée tout au long de ces années : Dominique Valérian, Jean-Pierre Van Staëvel, Anne-Marie Eddé qui m’ont fait l’honneur de bien vouloir faire partie du jury de soutenance, mais aussi Bulle Tuil Leonetti, Ingrid Houssaye Michienzi, Valérie Theis, Élise Voguet, Alloua Amara.
3Plusieurs institutions m’ont permis de mener à bien ce travail dans de bonnes conditions. L’attribution d’un contrat doctoral par l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, grâce au soutien de Françoise Micheau, a facilité mes premières années de recherche tout en me permettant d’effectuer mes premières expériences dans l’enseignement supérieur. Les séminaires organisés par l’équipe Islam médiéval ont représenté des lieux d’échanges privilégiés qui m’ont, par la diversité des problématiques abordées, ouvert de nouvelles perspectives. J’ai pu, à plusieurs reprises, y présenter mes travaux et l’accueil toujours bienveillant dont j’ai bénéficié m’a encouragé à poursuivre dans cette voie. Je remercie également l’université Paris-Est Marne-la-Vallée où j’ai exercé pendant quatre ans en tant qu’ATER, ce qui m’a permis d’achever la rédaction de ma thèse dans des conditions idéales.
4Je n’oublie pas, bien sûr, la générosité de plusieurs amis, Noëmie Lucas, Alexandra Bill, Eugénie Rébillard qui n’ont pas hésité à m’apporter leur appui et à me faire bénéficier de leurs compétences jusqu’au dernier moment, ou encore les groupes de travail que nous avions institué avec Mathilde Boudier, Audrey Dridi et Rémy Gareil. Je remercie également l’ensemble de mes proches pour leurs encouragements et leur patience. Enfin et surtout, cette recherche n’aurait jamais pu voir le jour sans la présence à mes côtés de François, à qui ce travail est dédié ainsi qu’à Lila et Flora qui me liront peut-être un jour.
© Éditions de la Sorbonne, 2020