Faire société
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Texte intégral
1Un livre comme celui-ci est le fruit d’un travail de longue haleine auquel de nombreuses et nombreux collègues ont participé. Nous remercions les membres de l’Observatoire des élites suisses (OBELIS) de l’université de Lausanne (https://www.unil.ch/obelis/fr/home.html) qui ont contribué à la collecte et à la saisie d’informations dans la base de données des philanthropes et des œuvres sur laquelle se fondent nos analyses quantitatives : Isabelle Paccaud, Sevan Pearson, Steven Piguet, Andrea Pilotti et Frédéric Rebmann. Nous sommes aussi très reconnaissants à Hans Ulrich Jost d’avoir mis à notre disposition sa base de données sur les associations suisses au xixe siècle.
2Nous témoignons ici notre gratitude à celles et ceux qui ont réalisé les analyses quantitatives utilisées dans le chapitre 1 : Felix Bühlmann pour l’analyse des correspondances multiples et Stéphanie Ginalski pour l’analyse de réseau. Solange Duruz et Stéphane Joost nous ont apporté une aide précieuse pour la réalisation des cartes du chapitre 7.
3Cet ouvrage a été initié dans le cadre du projet Europhil, financé par l’Agence nationale de la recherche et dirigé par Christian Topalov. Notre gratitude va aux membres de ce projet : Stéphane Baciocchi, Françoise Battagliola, Chris Leonards, Anne Lhuissier, Nico Randeraad, Christian Topalov et Klaus Weber. Un grand merci également à Christian Topalov de nous avoir invités dans son séminaire de l’EHESS « Les nébuleuses réformatrices et leurs réseaux (xixe-xxie siècle) », ainsi qu’aux participants et participantes à ce séminaire. Nous avons en effet pu y présenter à plusieurs reprises les résultats de cette recherche et bénéficier d’un environnement extrêmement stimulant. L’un de nous a aussi reçu le soutien de l’EHESS qui l’a accueilli à deux reprises comme professeur invité.
4Nous remercions aussi les membres du projet « The Transnational Dynamics of Social Reform », financé par le Netherlands Organisation for Scientific Research (NWO) et dirigé par Nico Randeraad : Chris Leonards, Christophe Verbruggen, Daniel Laqua, Pierre-Yves Saunier, Christian Topalov, Sarah Panter, Xavier Rousseaux et Johannes Paulmann.
5Notre recherche sur les philanthropes genevois a également bénéficié des discussions menées dans le cadre du projet « Philanthropie und soziale Vulnerabilität in der Schweiz (1890-1920) », financé par le Fonds national suisse de la recherche scientifique et dirigé par Brigitte Studer, Sonja Matter et Thomas David.
6Merci également aux archivistes qui, par leur professionnalisme, nous ont permis d’accéder aux sources très variées sur lesquelles reposent ce livre.
7Nous avons eu la chance de pouvoir présenter nos résultats intermédiaires dans des espaces de recherche à Gand, Fribourg, Lausanne, Londres, Mayence, Paris et Utrecht, où nous avons trouvé un accueil chaleureux et profité de critiques très stimulantes. Nous remercions en particulier Axelle Brodiez, David Ceserani, Christoph Conrad, Thomas Depecker, Marc-Olivier Déplaude, Laurence Fontaine, Alexandre Lambelet, Nicolas Larchet, Claire Lemercier et Peter Mandler.
8Enfin, nous sommes très reconnaissants envers les deux personnes anonymes, mandatées par les Éditions de la Sorbonne, et Marion Beetschen qui ont relu notre manuscrit et dont les commentaires ont été très précieux. Nous aimerions aussi remercier Pierre Singaravélou, directeur des Éditions de la Sorbonne, pour son soutien.
© Éditions de la Sorbonne, 2019