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De l’Aragon au Frioul : esquisse d’une géographie des plafonds peints médiévaux

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Monique Bourin
, 
Maud Pérez-Simon
, 
Georges Puchal

Remerciements

Monique Bourin, Maud Perez-Simon et Georges Puchal

Texte intégral

1Ni les rencontres de Lagrasse ni les actes qui en sont issus n’auraient pu se tenir sans l’aide décisive de plusieurs personnes à qui la RCPPM tient à exprimer ses remerciements au seuil de ce volume. À l’origine de l’association, il y eut un géographe, Patrick Béziat, au sein du conseil municipal de Capestang, et le maire, Claude Guzovitch : la création du Centre d’interprétation du château des archevêques à Capestang et la restauration de la façade sont nés de leur volonté. À la Direction des affaires culturelles de Languedoc-Roussillon, le soutien chaleureux et tellement efficace de Delphine Christophe, conservateur régional des Monuments historiques, donna aux recherches sur les charpentes son développement régional et international. À elle revint la reconnaissance de l’importance de ce nouveau domaine de recherche et de la place que le beau village de Lagrasse pouvait y prendre. Les rencontres de Montpellier de 2013 qu’elle prit en charge sont aujourd’hui devenues un livre, Images de soi dans l’univers domestique (xiiie-xvie siècle) ; puis la DRAC publia dans la collection DUO sous le titre Images oubliées du Moyen Âge et mit en place, sous le même nom, l’exposition dans la maison du patrimoine de Lagrasse en 2014. Dans la foulée, le projet de la Maison aux images vit le jour et c’est en partie pour concevoir le programme scientifique qui aurait dû s’y exprimer que furent organisées les rencontres d’octobre 2015. Le conseil départemental de l’Aude, celui de l’Hérault et plus récemment le service régional de l’inventaire ont aussi été les soutiens très solides de la RCPPM.

2Jean Nogaret et Alain Girard ont été de ceux qui ont, en quelque sorte, porté l’association sur les fonts baptismaux. Présents au colloque fondateur de 2008, ils ont suggéré la création de l’association comme organe de rencontre de tous ceux, qui venant d’horizons variés, chercheurs, étudiants, métier du patrimoine, public intéressé, souhaitaient encourager les études portant sur ce patrimoine très mal connu qu’étaient les plafonds peints médiévaux. Jean fut ensuite l’incontournable président de nos rencontres et colloques successifs qui aidait à les préparer et les présidait avec fermeté et gentillesse. Et au moment de mesurer le chemin parcouru depuis la création de la RCPPM, vient le très fort souvenir du rôle fondamental de Benoît Brouns : par amitié, il accepta même d’en être le premier trésorier. Sa rigueur historique, son sens esthétique, les contacts qu’il avait créés au temps du festival estival de Villerouge-Termenés, puis à Avignon, marquent la RCPPM.

3Au fil des années se sont noués, à la RCPPM et autour d’elle, de multiples liens qui sont bien plus que des relations de travail. C’est le cas des collègues italiens et espagnols, dont nous avons fait la connaissance lors de rencontres de 2015 et avec qui nous travaillons désormais en étroite collaboration. Certains qui avaient contribué à fonder l’association y sont aujourd’hui moins présents ; d’autres y sont venus et apportent avec une formidable générosité leur savoir et leur temps. Les remercier n’est pas facile parce que c’est presque comme si la RCPPM s’autocongratulait. Pouvons-nous citer pêle-mêle Joël Roure, Frédéric Mazeran, Jean-Claude Schmitt, Jean-Pierre et Françoise Sarret, Frédéric Guibal, Laurent Girousse, Georges Gonsalvès, Valérie Dumoulin, Laurent Macé, Michel Hébrard, Bernard Galland, Sarah Boularand, mais aussi Jean-Louis Vayssettes, Jean-Bernard Mathon et Laure Barthet ? Bien sûr la RCPPM serait bien différente si elle ne bénéficiait pas de la vigueur de jeunes chercheurs qui en sont de vrais piliers, ainsi Cécile Bulté, Laura Ceccantini, Hugo Chatevaire et Delphine Grenet.

4Des rencontres de 2015, nous gardons un très beau souvenir. La RCPPM venait de s’installer à Lagrasse. Nous remercions René Ortega, maire de Lagrasse, et Simon Barreda, secrétaire de mairie, ainsi qu’Hervé Baro, conseiller départemental de l’Aude, qui nous ont si bien accueillis en nous ouvrant les portes de l’abbaye Sainte-Marie d’Orbieu et de la Maison du patrimoine et en mettant à notre disposition du personnel, des locaux et du matériel. Ces rencontres se sont aussi appuyées sur des adhérents et un public fidèles auquel ce livre est dédié.

5Au moment d’achever cet ouvrage, remercions par avance Laurent Tournier aux Éditions de la Sorbonne qui a la tâche de nous familiariser avec cette nouvelle forme d’édition qu’est l’édition en ligne et à qui nous le confions.

6Pour la RCPPM, avril 2019

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