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Mines, terres et société à Zacatecas (Mexique) de la fin du xviie siècle à l’indépendance

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Frédérique Langue

Remerciements

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1La réalisation de ce travail n’aurait pas été possible sans l’appui scientifique et matériel d’institutions et de personnes. Nous tenons à remercier ici le Ministère Espagnol des Affaires Extérieures qui en nous accordant une bourse de recherche, nous a permis de poursuivre les recherches entreprises dans les archives espagnoles, en particulier aux Archives des Indes de Séville ; le Ministère Mexicain des Relations Extérieures (Secretaría de Relaciones Exteriores) qui nous a permis dans les mêmes conditions d’approfondir une étude dont certaines hypothèses n’auraient pu être vérifiées sans cette immersion dans la réalité locale, passée et présente.

2De même sommes-nous redevables à certaines personnes de leur aide et de leurs encouragements, de leurs suggestions et des échanges d’idées, voire des localisations de documents auxquelles elles ont été à l’origine, plus particulièrement en Espagne : Juan Bravo (comte de Valle de Sûchil), José Jésus Hernández Palomo, Don Antonio Muro Orejon, Javier Ortiz de la Tabla, Mariano de Rétegui Bensusán, María Justina Sarabia et l’inspirateur de ce travail aux Archives des Indes, Ramon María Serrera Contreras ; au Mexique : Solange Alberro, Carmen Castañeda, Cuauhtémoc Esparza, Julieta julieta Franco, le Père Jesús Jiménez, Wigberto Jiménez Moreno, Roberto Moreno, Juan Urquiaga, le Père Juan Varela et la direction de la Banque Nationale du Mexique (Banamex), plus spécialement José Antonio Bátiz, pour nous avoir dévoilé ses trésors… manuscrits ; la direction et le personnel des archives et bibliothèques consultées, en particulier des magnifiques Archives des Indes et leur directrice Rosario Parra, pour les facilités offertes lors de la consultation des collections.

3Nous tenons enfin à remercier Susan Socolow, pour son appui constant et l’aide apportée à la réalisation des figures graphiques ; François-Xavier Guerra, qui en nous incitant à prendre en compte les sociabilités modernes, nous a permis de compléter l’approche économique et sociale, une orientation sans laquelle les conclusions de ce travail seraient restées incomplètes ; et François Chevalier, directeur de cette thèse, qui nous a fait partager ses profondes connaissances du Mexique et dont les conseils renouvelés ont guidé ce travail dans ses diverses étapes. La liste des personnes et amis auxquels je suis redevable de leur collaboration et de leurs encouragements voire de leurs tentatives de « diversion » ne peut être close en quelques lignes. Que les « oubliés » m’en excusent par avance. Ils auront été présents lors de l’élaboration finale de ce travail.

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