Le marché du charbon, un enjeu entre l’Europe et les États-Unis de 1945 à 1958
|Remerciements
Texte intégral
1Ma profonde gratitude s’adresse aux responsables des Nations Unies à Genève, car ils ont contribué à améliorer la connaissance historique des années de la Libération. Je voudrais remercier en particulier Klaus Brendow, avec lequel les contacts ont été très appréciables. Ma reconnaissance va à toute l’équipe de représentants des Charbonnages des pays de la C.E.C.A. Leur accueil chaleureux et leur aide efficace m’ont aidée à aplanir les difficultés soulevées au cours des recherches. Qu’ils puissent voir là le résultat de cette fructueuse coopération. Je voudrais remercier surtout Marc Ippolito, alors responsable aux Charbonnages de France, qui a grandement encouragé la recherche dans ce domaine grâce à son enthousiasme et sa confiance.
2Du côté universitaire, je tiens à exprimer ma profonde reconnaissance à Alan Milward qui, à l’Institut Universitaire Européen à Florence, puis depuis la London School of Economics, a apporté à ce travail son soutien continu. Je voudrais particulièrement remercier René Girault de l’acquis tiré de son enseignement quant à la vision des Relations Internationales du xxe siècle, et de son souhait de voir aboutir ce travail. Je remercie chaleureusement Werner Albelshauser pour m’avoir guidée au début de la rédaction avec tout son intérêt, ainsi que John Gillingham pour ses encouragements. Ensuite, Patrick Fridenson a porté une attention particulière à ce travail, et je l’en remercie. Je remercie aussi Charles Maier qui a eu l’amabilité de répondre à mes questions et de me donner de précieux conseils. Tout particulièrement, je remercie le Président Emile Noël de l’Institut Universitaire Européen, qui m’a fait confiance à plusieurs reprises, en manifestant ainsi son intérêt pour la recherche universitaire. La Fondation de France a aussi participé à ce travail en m’octroyant un fonds d’aide, et je l’en remercie.
3L’ouvrage immédiat compte aussi dans la réalisation de ce travail. Que Chantai Talandier et Paul Veit puissent voir là mon hommage à leur affection et à leur générosité. Je voudrais remercier tout simplement mes parents pour le souvenir des discussions enthousiastes qui ont jalonné ces années, et leur dédier ce livre.
4Je garde en souvenir la douceur de la ligne des collines de la Toscane, soulignée par la lumière rose du soir. Ce travail s’achève sous le signe de la montagne, de la même façon qu’on sort d’une voie, et qu’on a la joie de contempler la beauté de l’horizon.
© Éditions de la Sorbonne, 1996