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La permanence de l’extraordinaire

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Rachel Renault

Remerciements

Texte intégral

1Ce travail n’aurait pas été possible sans le soutien et les conseils de très nombreuses personnes. Ma gratitude va en tout premier lieu à mes deux directrices de recherches : à Mme Christine Lebeau, pour sa présence qui m’a toujours donné une direction et un sens vers lesquels aller, pour ses remarques lumineuses et ses conseils qui m’ont souvent permis de comprendre la signification de ce que j’entreprenais et pour avoir accompagné ce travail, qui lui doit tant, depuis sa genèse. À Mme Barbara Stollberg-Rilinger, pour avoir bien voulu me faire bénéficier de ses conseils et de sa connaissance extraordinaire des réalités impériales, pour ses encouragements et sa bienveillance, comme pour l’inspiration toujours renouvelée puisée à ses travaux. Elle va également à Christophe Duhamelle, pour son soutien, pour le partage généreux de son érudition comme pour la stimulation née de ses analyses du « monstre impérial », et à Dominique Margairaz, pour ses encouragements, son enthousiasme à l’égard de ce travail depuis son commencement comme pour m’avoir appris ce que peut être une véritable histoire sociale et culturelle de l’économie.

2Je tiens également à remercier, avec une infinie reconnaissance, toute mon admiration et toute mon affection, celles et ceux qui ont bien voulu relire de nombreux passages de ce travail, et parfois son intégralité : Alexia Blin, pour son amitié indéfectible, sa présence infaillible, pour le partage intellectuel, la finesse de ses remarques et de ses conseils. Alexandre Dupont, pour son perpétuel enthousiasme vis-à-vis de ce travail, sa générosité et la complicité intellectuelle et amicale jamais démenties. Sébastien Schick, pour son amitié, son estime, son regard acéré, pour la profondeur de nos échanges, ses conseils et son soutien à chaque étape de ce travail, qui lui doit beaucoup. Marion Schumm, pour avoir été là sans discontinuer, pour m’avoir fait bénéficier de l’œil vif de la philosophe, pour la stimulation intellectuelle stupéfiante de chaque discussion, pour sa lecture exigeante, et pour son affection.

3Ma reconnaissance très profonde va également à Sylviane Cousin, Victor Demiaux, Catherine Fabre, Simon Godard, Élodie Oriol, Dominique Renault, Laurie Rousseville, Andreas Schlüter, Jos Stübner pour leur appui, leurs lectures et commentaires et surtout pour leur affection, sans laquelle ce travail n’aurait pas été possible. À Mathieu Grenet et Vincent Demont pour la finesse de leurs remarques et leur bienveillance, ainsi que pour avoir eu la gentillesse de relire ma prose. Au personnel des archives de Greiz et de Rudolstadt, pour leur accueil amical et enthousiaste, et à Chemnitz à Mme Brita Günther pour son aide si précieuse et la générosité avec laquelle elle a bien voulu me faire part de ses travaux.

4 Ce travail n’aurait pas non plus été possible sans l’appui de l’ensemble de mes proches, que je remercie pour leur soutien moral et parfois logistique, et pour la joie de les avoir auprès de moi. À Pierre Odin revient ici une place toute particulière.

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