Remerciements
p. 7-8
Texte intégral
1Pour commencer, je souhaite remercier la famille de René Rémond, son épouse, Josette, et ses enfants, Bruno, Marianne et Emmanuel. Alors que la disparition de leur mari et père était encore proche, ils ont libéralement accepté mon projet. Merci tout particulièrement à Josette et à Emmanuel Rémond de m’avoir accordé des entretiens et à Emmanuel Rémond de m’avoir ouvert ses archives personnelles.
2Ce travail s’appuie sur celui des conservateurs et des archivistes, en tout premier lieu sur celui de Marie-Odile Germain, conservatrice en chef du département des Manuscrits à la BnF, responsable du fonds René Rémond. J’ai eu le grand privilège de pouvoir consulter en primeur, au fur et à mesure qu’elle les classait et les estampillait, les boîtes venues de l’appartement de l’historien. Je la remercie pour sa confiance et son accueil toujours chaleureux malgré ses lourdes charges de travail. Je fais également part de ma reconnaissance à Danièle Neirinck, conservateur général du patrimoine, déléguée aux célébrations nationales, à Fabien Oppermann, conservateur du patrimoine, chef de la mission des Archives aux ministères de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, à Anne Rohfritsch, responsable du service des archives de l’université Paris Ouest-Nanterre La Défense, à Frédéric Douat et à Anne-Émilie Andrès, respectivement adjoint au directeur et archiviste aux Archives départementales des Hauts-de-Seine, à Pierre Mignaval, responsable des archives orales au Service d’histoire de l’éducation, à Sabrina Tricaud, chargée de recherches à l’association Georges-Pompidou. Je leur sais gré de m’avoir accordé de leur temps en me recevant et de m’avoir aiguillé, au sein des fonds dont ils avaient la responsabilité, vers les versements susceptibles d’éclairer mes problématiques. Certains documents nécessitaient une dérogation pour être communiqués. Je remercie Valéry Giscard d’Estaing et l’association Georges-Pompidou d’avoir accepté ma demande de consultation des archives de la présidence de la République, ainsi qu’Hervé Lemoine, directeur chargé des Archives de France au ministère de la Culture, et Pascal Geneste, conservateur en chef en charge des archives présidentielles, d’avoir donné une suite favorable à ma requête. Je n’oublie pas le personnel de ces différents services d’archives (notamment Thierry Holzer), des bibliothèques et de l’Inathèque, qui, par sa présence et son travail, permet aux chercheurs de travailler dans de bonnes conditions.
3Je remercie tous ceux qui ont accepté de me recevoir dans le cadre d’entretiens qui m’ont permis non seulement d’obtenir de précieuses informations pour mon sujet mais aussi de faire progresser ma réflexion : Jean-Claude Casanova, Hélène Fontanet, Patrick Fridenson, Colette Hazéra, Guy Lachenaud, Raymond-François Le Bris, Gilbert Léoutre, Jean-Louis Quermonne, Emmanuel Rémond, Josette Rémond, Jean-François Sirinelli, Jean-Pierre Soisson et Jean-Maurice Verdier.
4Je remercie Patrick Fridenson qui a relu et annoté les chapitres qui allaient constituer cet ouvrage. J’exprime aussi toute ma gratitude au réseau familial et amical qui a bien voulu emporter dans ses valises de vacances d’été un ou plusieurs morceaux du manuscrit : Jean-Sébastien Borghetti, Cécile Florentin, Georges-Henri Florentin, Marie Florentin, Irène Lainey, Florence Leroy, Guillemette Mercier, Sophie Mercier, Antoine Mercier, Florian Michel, et tout particulièrement Brigitte Mercier. Leur relecture attentive et acérée ainsi que leurs remarques m’ont non seulement permis d’évacuer certaines scories et d’attirer mon attention sur certaines défaillances, mais m’ont aussi donné du courage pour achever.
5Ma dette envers Philippe Boutry, qui a dirigé la thèse dont cet ouvrage constitue l’une des parties, est grande, non seulement parce que sans ses encouragements, je n’aurais vraisemblablement pas choisi ce sujet, mais aussi parce qu’il a su me guider dans cette recherche en suggérant des axes et en ouvrant des pistes tout en accueillant mon propre cheminement. Sa force tranquille m’a aidé à grandir en sagesse. Sa largeur d’esprit m’a incité à prendre de la hauteur et à tourner le dos aux analyses réductrices ou étriquées.
6Je remercie toute l’équipe des Publications de la Sorbonne, notamment Patrick Boucheron, leur directeur, Laurent Tournier, Valérie Chénieux, Audrey Orillard et Camille Abbey, pour leur confiance, leur écoute et leur travail qui a permis à ce projet d’aboutir.
7Pour terminer, je me tourne vers ma femme, Véronique, et mes deux enfants, Jean-Baptiste et Alice, qui m’ont accompagné au jour le jour pendant cette recherche, pour laquelle je leur ai souvent prélevé de mon temps et de ma disponibilité. Merci à Véronique pour ces samedis passés en bibliothèque, pour l’« intendance » qu’il a fallu assurer parfois presque seule, et pour avoir accepté la tâche fastidieuse de relire activement les annexes, les sources et la bibliographie.
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