Le péronisme
|Remerciements
Texte intégral
1A Mitou, à Jean Pierre, à mes chers amis "porteños", Nestor A. et Noémi Walter, sans lesquels ce livre n’aurait pu être écrit. A mes parents, également, René et Janine, pour ce voyage de 1973, premier pas dans le continent latino-américain.
2A mes professeurs de la Sorbonne et de l’Institut d’études ibéro-américaines, Paul-Jacques Guinard, Juan Murcia et Thomas Gomez, qui constituèrent mon jury de maîtrise.
3Aux Argentins Raúl Pajoni, directeur du Centre culturel argentin, Javier Fernandez, consul de la République d’Argentine, Héctor Robledo, de l’ambassade de Madrid, Conrado Solari Yrigoyen, Enrique Oliva, Président d’honneur de l’association de la presse latino-américaine à Paris, Juan Archibaldo Lanús, qui m’ont éclairé de leurs conseils avisés. A Blanca Lloret, chargé de mission au centre culturel argentin et à Marilynn Stone de Saintout, du service de presse de l’ambassade.
4A Alain Rouquié, spécialiste de l’Amérique latine et de l’Argentine, dont les écrits m’ont souvent servi de "garde-fou” et de référence.
5Au Dr Weiss, à Martine Geslin, à Daniel Olivet, à Pierre Bernard, à Marc Weinhammar, qui m’ont apporté une aide précieuse. A Georges Heilles, particulièrement, pour avoir sacrifié -avec quelle générosité- ses week-end et ses loisirs au cours de ces dernières semaines.
6A Susana Rinaldi à qui, entre deux avions, mon manuscrit a été confié.
7Aux photographes Patrick Acker et Pepe Fernández.
8A mes professeurs de langue et de civilisation hispanique, René Ramon, la famille Segui de Denia (qui est plus qu’un "professeur"), Micheline Durand, Ramón García-Pelayo, Maurice Molho.
9A mes premier et dernier maîtres de conférence, au cours de mes études de sciences politiques, pour ce qu’ils m’ont apporté, pour leur attention et leur sympathie : Pierre Joxe et Alain Gründ (je ne sais de quels yeux ils jugeront cette étude ...)
10A Charles Miossec qui, là-bas en Finistère, s’attache à promouvoir la démocratie du citoyen, et à l’action duquel je m’efforce de contribuer.
11Enfin au-delà de ces très sincères remerciements, je dédie ce livre à la mémoire de mes deux grands-pères : François Joncourt et Alain Guillerm.
© Éditions de la Sorbonne, 1990