Les États-Unis et l’Unesco, 1944-1963
Les relations entre les États-Unis et l’Unesco ont toujours été complexes comme le démontre l’étude des 20 premières années de celles-ci. Lors de la création de l’Unesco quelques Américains ont énormément travaillé pour que cette Institution spécialisée des Nations- Unis existe. Leur rôle et leur apport sont ici soigneusement mis en évidence. Or, les premières déceptions arrivent rapidement car, à tort, du côté de Washington, on espérait voir l’Organisation participer efficacement à la lut...
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Note de l’éditeur
Ouvrage publié avec le concours du Conseil scientifique de l'Université de Paris I.
- Éditeur : Éditions de la Sorbonne
- Collection : Internationale | 47
- Lieu d’édition : Paris
- Année d’édition : 1996
- Publication sur OpenEdition Books : 09 décembre 2020
- EAN (Édition imprimée) : 9782859442361
- EAN électronique : 9791035103897
- DOI : 10.4000/books.psorbonne.48728
- Nombre de pages : 380 p.
Premiere partie. Les « hommes de bonne volonté » (1944-1946)
Deuxième partie. Argent, influence et idéologie (1947-1956)
Troisième partie. Anciennes bornes pour de nouvelles frontières (1957-1963)
Annexes
Les relations entre les États-Unis et l’Unesco ont toujours été complexes comme le démontre l’étude des 20 premières années de celles-ci. Lors de la création de l’Unesco quelques Américains ont énormément travaillé pour que cette Institution spécialisée des Nations- Unis existe. Leur rôle et leur apport sont ici soigneusement mis en évidence. Or, les premières déceptions arrivent rapidement car, à tort, du côté de Washington, on espérait voir l’Organisation participer efficacement à la lutte contre le communisme. Néanmoins, à la fin des années 1950, l’Unesco connaît un regain de faveur auprès du gouvernement américain. Et si l’hégémonie financière américaine à l’Unesco n’a jamais fait de doute, sa domination politique est mise en cause dès les premières années. Les États-Unis vont quitter l’Unesco en 1984, quand la première génération d’Américains, fondateurs de l’Unesco et fidèles malgré les déceptions a, depuis longtemps, quitté la scène politique.
L’auteur a utilisé une documentation inédite et a multiplié les enquêtes orales. Gail Archibald
© Éditions de la Sorbonne, 1996
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