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Le roi des rois et la photographie

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Estelle Sohier

Remerciements

Texte intégral

1Ce livre est issu d’une thèse de doctorat en histoire soutenue en décembre 2007 à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à l’université « L’Orientale » de Naples. C’est aussi le résultat d’un long parcours mené en Italie, en France, en Éthiopie et enfin en Suisse, parcours tout au long duquel de nombreuses personnes m’ont apporté leur soutien. Je les remercie pour leur aide et, au-delà, pour tous les moments partagés.

2Les professeurs Bertrand Hirsch et Alessandro Triulzi ont dirigé ma thèse de doctorat ; je les remercie pour leurs encouragements et pour leur précieux soutien aux moments opportuns. Plusieurs institutions m’ont permis de mener à bien ce travail par des appuis scientifiques et financiers : tout d’abord le Centre d’études des mondes africains (CEMAf) et l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne où j’ai eu la chance de bénéficier d’une allocation de recherche, l’université Franco Italienne qui m’a octroyé une bourse de cotutelle de thèse, et le Centre français des études éthiopiennes dont je remercie les directeurs Éloi Ficquet et Jean-François Breton.

3Au sein du CEMAf, j’ai eu la chance d’intégrer une équipe travaillant sur la Corne de l’Afrique, sous la direction de Bertrand Hirsch. Pour leur soutien et leur amitié, merci en particulier à Anaïs Wion, Claire Bosc-Tiessé, Marie-Laure Derat, Arnaud Kruczinski, Dimitri Toubkis. Au-delà de ce cercle, merci à tous les membres du CEMAf, particulièrement à Liliane Daronian pour ses conseils, ses encouragements et son amitié, Camille Lefebvre, M’hamed Ouald, Stéphanie Dujardin, et Fabrice Melka pour son aide dans la découverte des subtilités de la constitution d’une base de données.

4Le remaniement du manuscrit original de la thèse a été facilité par mon accueil au département de géographie et environnement de l’université de Genève, au sein d’une équipe stimulante et chaleureuse. Je suis extrêmement reconnaissante au professeur Jean-François Staszak pour son soutien, ainsi qu’à Lionel Gauthier. Nos échanges interdisciplinaires ont nourri ma réflexion.

5Ce travail n’aurait pu être mené à bien sans l’aide des nombreuses personnes qui m’ont ouvert des archives, des collections ou des fonds iconographiques publics ou privés, et m’ont autorisée à en reproduire des extraits. Un grand merci à abba Daniel Assefa, abba Yohannes Täklä Maryam, abba Berhé, abba Mussié et aux autres frères capucins qui m’ont accueillie, guidée et m’ont ouvert leurs archives à Paris, au musée des Franciscains à Rome, à Addis-Abeba et à Harar. Merci infiniment à Denis Gérard, toujours accueillant, serviable et chaleureux, qui m’a ouvert sa collection à Addis-Abeba, au professeur Luigi Goglia, à Silvana Palma pour ses précieux éclairages sur l’aventure du fonds Bertolani de l’IsIAO à Rome, à madame de Cacqueray pour m’avoir facilité la consultation du fonds Léon Robillard, à Michel Perret pour le fonds Michel Pasteau, à Michael Gervers et Wolbert Smidt pour la reproduction des documents issus de la base de données Mäzgäbä Seelat, enfin à mesdames Elisabeth Biasio et Salome Guggenheimer pour m’avoir facilité l’accès au fonds Alfred Ilg conservé au musée d’Ethnographie de l’université de Zurich.

6J’exprime toute ma reconnaissance à Serge Tornay, pour son soutien chaleureux depuis notre rencontre au musée de l’Homme en 2001, et pour la chance qu’il m’a offerte de publier un livre avec lui. Son savoir-faire et ses talents d’écrivain m’ont beaucoup appris.

7La lecture d’un article de Michel Perret est à l’origine de mon intérêt pour ce sujet. Je le remercie pour les nombreux conseils qu’il m’a donnés par la suite, pour sa bienveillance et son soutien. Je sais gré au professeur Shiferaw Bekele de m’avoir transmis nombre d’informations passionnantes, ainsi qu’au docteur Berhanou Abebe, trop tôt disparu, avec qui j’aurais aimé partager le résultat final de ce travail.

8Un grand merci à Anaïs Wion pour ses lectures à différentes étapes de l’élaboration du texte, ainsi qu’à Claire Bosc-Tiessé pour son aide décisive au début de la rédaction, et à mon père, Guy Sohier, à Marie-Laure Derat, Hervé Pennec, Stéphane Ancel, Giulia Bonacci, Yodit Herman, M’hamed Ouald, pour leurs patientes relectures et leurs conseils. J’exprime ma gratitude à Maria Luisa Giordano, du département de géographie et environnement de l’université de Genève, pour la réalisation de la carte de l’Éthiopie au temps de Ménélik II, ainsi qu’au professeur Alain Gascon pour son aide.

9Mon ami Brook Esseye m’a permis de mieux comprendre l’Éthiopie, sa culture, et de découvrir l’attachement que les Éthiopiens vouent à leur histoire et à leur pays. Il a été un soutien mais aussi un interlocuteur curieux et attentif, personne ô combien précieuse durant l’élaboration d’une thèse. Merci enfin à tous les amis qui m’ont accompagnée dans ce travail durant ces années, d’une façon ou d’une autre, en particulier Frédérique et Peggy, Dimitri, Alexander et Clarisse, Arnaud et Hauteclaire, Hermann, Vince, Giulia, Sylvie, Makeda, Yodit, Perrine, Stéphanie, Erika, Aude, François Liu, Christina et Cristina, Anahy et Irène. Merci à Adam, Valéria et Francesco pour leur accueil amical à Naples. Et à Violaine, ma mère, pour son soutien inconditionnel.

10Ce livre est dédié à Éliane Hédoin qui m’a transmis, entre bien d’autres choses, son intérêt pour l’histoire, et le goût des photographies.

Le texte et les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont sous Licence OpenEdition Books, sauf mention contraire.

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