Pèlerinages d’empire
|Remerciements
Texte intégral
1Cet ouvrage est en partie issu d᾿une thèse de doctorat soutenue en 2012 à lʼuniversité de Poitiers. Je tiens tout d᾿abord à exprimer ma reconnaissance à mon directeur de thèse, Jérôme Grévy, ainsi qu᾿aux enseignants et étudiants de lʼInstitut dʼétudes politiques de Paris et des universités de Poitiers et de Limoges qui mʼont accompagné pendant toutes ces années et dont les remarques lors des cours ou séminaires que jʼai suivis ou animés mʼont aidé à progresser dans mes recherches.
2Ce travail doit également beaucoup aux échanges que j᾿ai pu avoir avec Slimane Zeghidour, mon compagnon de route pendant ces années de pèlerinage, et aux encouragements réguliers de Patrick Cabanel (École pratique des hautes études), John Tolan (université de Nantes) et Sylvie Thénault (CNRS) que je remercie pour son travail de relecture et ses conseils de correction au même titre que Jean-Charles Ducène (École pratique des hautes études) et Omar Saghi (Institut dʼétudes politiques de Paris) qui mʼa associé à l᾿exposition de l᾿Institut du monde arabe consacrée au ḥajj.
3Plusieurs séjours de recherches à lʼétranger ont été nécessaires pour réaliser ce travail dʼhistoire comparée. Je remercie Salwa Nacouzi (Agence universitaire de la francophonie) qui a facilité mes déplacements à Tunis et à Londres et Jean-François Chauvard qui mʼa accueilli à lʼÉcole française de Rome. Je ne saurais bien entendu oublier le Centre français et d᾿archéologie et de sciences sociales (CEFAS, Koweït) et plus particulièrement ses directeurs, Michel Mouton et Abbès Zouache, ainsi que les responsables de la Chaire des Dialogues des cultures de lʼuniversité Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Éric Vallet et Philippe Pétriat, grâce à qui jʼai pu approfondir mes recherches et qui ont supervisé le chantier de la traduction en arabe de ma thèse.
4Mes travaux sur lʼhistoire des empires doivent beaucoup au dynamisme de la recherche française en la matière. Je suis très reconnaissant à Hélène Blais (École normale supérieure) et Pierre Singaravélou (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne), à Sylvie Thénault (CNRS), Emmanuel Blanchard (université Versailles Saint-Quentin), mais aussi à Claire Fredj (université Paris Nanterre) et Alain Messaoudi (université de Nantes) de mʼavoir permis d᾿exposer mes travaux au fur et à mesure de leur avancement. Jʼadresse un remerciement tout particulier à Philippe Pétriat et Pierre Vermeren (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) qui ont souvent cité ma thèse dans leurs travaux.
5Et si l᾿ascèse du chercheur peut parfois être comparée à celle du pèlerin, le long travail de dépouillement des Archives diplomatiques de Nantes et de Paris et des Archives nationales d᾿Outre-Mer d᾿Aix-en-Provence a été grandement facilité par Anne-Sophie Cras, Damien Heurtebise et Isabelle Dion. Merci également à Augustin Jomier et Jean-Jacques Pérennes de m᾿avoir facilité l᾿accès aux richesses iconographiques de l᾿Institut dominicain du Caire.
6Enfin, sans la patience et le soutien de mes proches, sans les relectures attentives de Lidwine, ce travail n᾿aurait sans doute pas vu le jour. Qu᾿ils soient tous chaleureusement remerciés.
© Éditions de la Sorbonne, 2018