Méthodes d’enregistrement des données en archéologie
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Texte intégral
1Nos remerciements s’adressent en premier lieu à Hélène Criaud, secrétaire de l’ED 112 ; sans son aide cette journée n’aurait pas été possible. Nous la remercions sincèrement pour son soutien dans l’organisation de cette journée doctorale, de la préparation jusqu’à la tenue et la présente publication de celle-ci. Nous remercions également l’ED 112, et plus particulièrement son directeur Pascal Butterlin, ainsi que le collège des Écoles doctorales de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne pour leur soutien financier. Cette treizième édition n’aurait pu être aussi réussie et conviviale sans la présence des auditeurs, composés de chercheurs, d’enseignants, de doctorants et d’étudiants venus écouter et prendre part aux discussions. Merci à tous les participants de cette journée pour l’apport qu’ils ont bien voulu apporter à cette journée, pour leur participation, orale ou écrite, et pour leur intérêt qui a permis de nourrir et de faire avancer un débat qui sera toujours d’actualité en archéologie : celui des méthodes d’enregistrement. Il faut enfin souligner le travail accompli par tous les contributeurs de cet ouvrage qui ont rendu cette publication possible.
2La treizième journée doctorale d’archéologie (ED 112) de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne s’est déroulée le mercredi 23 mai 2018 dans les locaux de l’Institut d’art et d’archéologie (3, rue Michelet, 75006 Paris). Le thème de la journée sur les méthodes d’enregistrement des données en archéologie a réuni quatorze présentations, neuf communications et cinq posters. L’objectif était de réunir des doctorants et des chercheurs d’horizons différents. Il semblait difficile d’aborder une question aussi vaste que les méthodes en archéologie sans intégrer le plus de périodes chronologiques possible ainsi que des aires géographiques diversifiées. La journée a réuni un grand nombre de laboratoires, d’équipes de recherche et d’institutions, majoritairement françaises et suisses. Cette volonté d’ouvrir la journée doctorale à d’autres pays s’est également illustrée par le choix du modérateur : Prof. Dr. Geert Verhoeven, senior researcher au Ludwig Boltzmann Institute que nous remercions chaleureusement pour sa venue. Il a su, tout au long de la journée, relancer les débats et questionner de façon pertinente les sujets abordés. Les discussions, en anglais et en français qui ont suivi les différentes interventions, ont été enrichissantes pour toutes les personnes présentes.
Les articles publiés dans cet ouvrage n’engagent que la responsabilité de leurs auteurs.
© Éditions de la Sorbonne, 2019