Version classiqueVersion mobile

Frontières de sable, frontières de papier

 | 
Camille Lefebvre

Remerciements

Texte intégral

1C’est un plaisir et un honneur pour moi de remercier tous ceux qui au cours de ces années de recherches m’ont aidée à construire et à penser ce livre. Ce projet a commencé sous la forme d’une thèse de doctorat dirigée par Pierre Boilley. C’est lui qui m’a offert ce sujet pour lequel je me suis passionnée, qui m’a formée par ses conseils, sa rigueur et son exigence, et qui m’a poussée à me rendre sur le terrain. Au Niger, j’ai rencontré une seconde famille sans laquelle ce livre ne serait pas le même. Ce livre est dédié à ceux qui sont pour moi de seconds parents, Issyad Ag Kato et Hadiza Akoli Issyad. Dans ce merveilleux pays, j’ai fait des rencontres passionnantes et j’ai pu effectuer mes recherches dans les meilleures conditions. Je tiens à remercier le personnel des Archives nationales du Niger et particulièrement le directeur Idrissa Yassambou, ainsi que le personnel de la bibliothèque de l’IRSH, du ministère de l’Éducation et de la Recherche, et de l’université Abdou Moumouni. De nombreux chercheurs m’ont reçue, aidée et guidée pour comprendre l’histoire de cette région, qu’ils en soient ici remerciés : Boureima Alpha Gado, Idrissa Kimba, Zakari Maikorema, Chaibou Maman, Mahaman Tidjani Alou, Mahamane Alio, Seyni Moumouni, Mamoudou Djibo, Mallam Issa. Je tiens aussi à exprimer l’immense dette intellectuelle que je ressens à l’égard de Djibo Hamani, qui fut pour moi un maître. Merci à tous les témoins nigériens et français qui ont accepté de répondre à mes questions, et particulièrement au regretté Jean Clauzel qui m’a introduite auprès de nombreux témoins. Que la terre lui soit légère. J’ai eu la chance au long de ces années de travailler dans un cadre extrêmement stimulant, le laboratoire CEMAf, devenu IMAf Je remercie tous les collègues qui m’ont aidée, qui ont répondu à mes questions et dont les conseils m’ont guidée, notamment : Marie-Laure Derat, Jean Fremigacci, Bertrand Hirsch, Dominique Juhé-Beaulaton, Véronique Lautier, Daniel Leblanc, Fabrice Melka, Henri Médard, Claude-Hélène Perrot, Jean-Louis Triaud et Liliane Daronian. Mais aussi mes camarades et amis doctorants en France et au Niger, Thomas Vernet, Élodie Apard, Roufai Ali, Daouda Marté, Estelle Sohier, M’hamed Oualdi, Robin Seignobos et Cheikhna Wagué, pour la plupart aujourd’hui docteurs. Je suis particulièrement reconnaissante à ceux qui à un moment ou à un autre ont relu des parties de ce qui était alors ma thèse, Thomas Vernet, Charles Grémont, Élodie Apard et Christine Apard, mais surtout Hélène Blais et Isabelle Surun dont l’exigence intellectuelle m’a sans cesse poussée plus loin et sans lesquelles je ne serais certainement pas la chercheuse que je suis aujourd’hui. Mais aussi ceux dont les relectures et les conseils m’ont aidée à faire de ma thèse un livre et qui ont considérablement contribué à l’améliorer, Frederick Cooper, Barbara Cooper, Dominique Casajus, Bertrand Hirsch, Marianne Lemaire, Éric Jolly, Aïssatou Mbodge-Pouye et particulièrement Benedetta Rossi. Je tiens enfin à exprimer ma gratitude à ceux sans qui ce travail n’aurait pu voir le jour, ma tante Sophie Seban, mon héroïne, mes parents, mon frère Antoine et bien sûr Búzio qui est mon premier lecteur, mon meilleur soutien et mon amour.

Le texte et les autres éléments (illustrations, fichiers annexes importés) sont sous Licence OpenEdition Books, sauf mention contraire.

Rechercher dans OpenEdition Search

Vous allez être redirigé vers OpenEdition Search