Remerciements
p. 9-10
Texte intégral
1Ce livre est la version allégée d’une thèse de doctorat soutenue le 1er décembre 2003 à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne. Le jury était composé de François Menant, professeur à l’École normale supérieure (président), Mathieu Arnoux, professeur à l’université Paris VII et directeur d’études à l’EHESS, Antoni Furió, professeur à l’Universitat de València, Claude Gauvard, professeur à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne (directeur de thèse), Robert Jacob, directeur de recherche au CNRS. C’est d’abord aux membres de ce jury que va ma gratitude pour l’attention qu’ils ont prodiguée au résultat de six années de travaux. C’est aussi pour moi un agréable devoir de remercier toutes les personnes qui ont contribué à leur achèvement.
2Claude Gauvard m’avait mise sur la piste des débiteurs et a ensuite assuré une direction de recherche aussi bienveillante et attentive qu’exigeante. Tout au long de ces années, François Menant n’a pas ménagé ses conseils et son soutien. Qu’il trouve ici l’expression de ma profonde gratitude pour la confiance qu’il n’a cessé de me témoigner. Par son entremise, j’ai notamment pu, à partir de 1997, participer aux rencontres qu’un groupe européen de chercheurs organisait depuis l’année précédente sur le thème général de l’endettement et du crédit médiévaux. Ces rencontres, organisées en particulier par Renato Bordone, Antoni Furió, Jean-Louis Gaulin et François Menant, n’ont pas eu seulement le mérite de rompre la solitude du travail de recherche, elles m’ont aussi permis d’enrichir considérablement l’approche du cas parisien.
3J’ai le plaisir d’exprimer ma reconnaissance à tous ceux qui m’ont fait confiance, en me proposant des postes d’enseignement et de recherche au sein de l’université française. Je pense d’abord aux enseignants du département d’histoire de l’université Paris I, en particulier à Claude Michaud, Monique Bourin, Alain Demurger et Joseph Morsel qui ont favorisé mes premiers pas dans l’enseignement supérieur. Je pense ensuite à Pierre Toubert qui, en m’ouvrant pendant deux ans un poste d’ATER auprès de la chaire d’histoire médiévale qu’il occupait au Collège de France, m’a permis d’avancer mes travaux et m’a prodigué sa gentillesse, ses encouragements et ses conseils éclairés. Je pense enfin aux enseignants du département d’histoire de l’université de Reims-Champagne-Ardenne, en particulier à Franck Collard, qui m’ont accueillie au sein de leur équipe.
4Les recherches sur les justices royales du Paris médiéval sont facilitées par la concentration de l’essentiel des sources aux Archives nationales de Paris. L’aide des conservateurs n’y fut pourtant pas vaine. Je remercie en particulier Françoise Hildesheimer qui m’a guidée dans les archives du Parlement de Paris, Isabelle Foucher, conservatrice des archives du Châtelet, et les responsables des microfilms, qui tous m’ont facilité l’accès aux documents durant ces années chaotiques pour les Archives nationales. Je remercie également les membres du Centre d’études et d’histoire juridique, en particulier Monique Bonnet, qui m’ont ouvert l’accès aux fichiers d’indexation des registres du Parlement, réalisés par leurs soins.
5En six ans, les personnes, chercheurs chevronnés, collègues ou amis, qui, au cours de séminaires ou d’échanges moins formels, m’ont conseillée, orientée ou simplement encouragée dans ce projet sont innombrables. Je craindrais en les énumérant toutes ici d’en oublier quelques-unes. Outre celles qui sont dûment citées au cours des pages suivantes, je veux cependant nommer ici : Véronique Beaulande, Paul Benoît, Caroline Bourlet, Martine Charageat, Benoît Descamps, Kouky Fianu, Stefan Gouzouguec, Anita Guerreau-Jalabert et les animateurs du Comité Du Cange, Yvolène Lemaresquier-Kesteloot, Corinne Leveleux, Yves Mausen, Francine Michaud, Gilles Postel-Vinay, Irène Rosier-Catach, Edna Yahil.
6Ma gratitude va enfin à Élisabeth Mornet qui a bien voulu suivre avec attention et patience l’édition de ce livre, ainsi qu’à Philippe Raimbourg et Bertrand Hirsch, directeurs des Publications de la Sorbonne qui ont accepté de le publier.
7Si la liste de mes dettes est déjà bien longue, j’ai surtout une dette infinie envers Pierre, mon infaillible soutien tout au long de ces années. Seuls Élie, Marc-André et Lucien pourraient témoigner de ce que ce livre lui doit.
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