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Remerciements

p. 4


Texte intégral

1Cet ouvrage est tiré d’une thèse de doctorat soutenu en 2008 à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Je tiens à adresser mes plus vifs remerciements à M. le professeur J. M. David, qui me proposa ce sujet et dirigea mes recherches sur la notion de concordia à la fin de la République romaine. Son enseignement, et ses analyses sur la politique romaine en général et sur mon sujet en particulier, m’apportèrent une aide capitale. Cet ouvrage lui doit également beaucoup pour les nombreuses corrections qu’il m’a proposées.

2Je tiens également à remercier les membres de mon jury, Mme E. Deniaux, MM. J. L. Ferrary et J.-P. Vallat, dont les remarques m’ont permis de corriger certains points pour cette publication.

3J’adresse également mes remerciements aux membres de l’ancienne équipe Phéacie, principalement Mme P. Schmitt Pantel et Mme V. Sebillotte Cuchet, au contact de qui je me suis familiarisé à des problématiques nouvelles pour moi, et plus généralement aux collègues et amis qui suivirent et encouragèrent la poursuite de ce travail.

4M. M. Hamon a bien voulu relire une grande partie de mon manuscrit et me proposer de nombreuses corrections et améliorations qui en rendront, je l’espère, la lecture plus aisée. Qu’il en soit ici vivement remercié.

5Je voudrais dédier ce travail à ma mère, en souvenir de ce temps où elle emmenait l’enfant d’une cité d’Île-de-France visiter d’autres cités autour de la Méditerranée.

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